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    Ouvriers trompeurs et déguisés

    Ouvriers trompeurs et déguisés (1)

     

     

    Ouvriers trompeurs et déguisés (2)

     

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     Les Signes dans l’Église!

     

    Les Signes dans l’Église!

    Par MARIO MASSICOTTE

     

     

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    Dieu est-Il une trinité ?

    Par Joseph Sakala,

    avec commentaires de Michelle d’Astier
    ???

    MAV: Etant donné les violentes réactions que suscite ce sujet dès qu’on l’aborde, voici un autre article, approfondi, sur le même sujet. L’enjeu de revenir à la vérité biblique en dénonçant ce dogme, comme étant apostat, est énorme. Car c’est sortir de ces faux Jésus qui sont donnés à toutes les dénominations et qui ne sont pas le Véritable ! 

     

    J’avais fermé les commentaires, pour éviter les réactions épidermiques « à chaud », mais je les ouvre pour ceux qui veulent partager leurs réflexions, mais je n’éditerai aucun commentaire virulent, venant de ceux qui sont enfermés dans leur forteresse dogmatique et qui ne veulent jamais en démordre.  J’invite tous les chrétiens intègres, tous ceux qui aiment la vérité, à lire attentivement, à vérifier dans les Écritures, et à  demander à Dieu la révélation. 

    Dès qu’on touche à ce fondement « chrétien », on touche à une vache sacrée !  «C’est notre doctrine, pas touche !» Le seul fait que les gens défendent âprement « leur doctrine », « leur conviction », est une démonstration que c’est une idole ! On n’a pas à défendre la Vérité: elle se défend très bien toute seule ! Comme disait Elie aux idolâtres:

     Criez à haute voix, puisqu’il (baal) est dieu; il pense à quelque chose, ou il est occupé, ou il est en voyage; peut-être qu’il dort, et il se réveillera (1R 18:27)

    Oui, quelle virulence lorsqu’on touche aux doctrines sur lesquelles nous avons bâti notre foi, même quand elles sont  erronées. Si je disais aux partisans de la Trinité: « Jésus-Christ n’est pas Fils de Dieu », ils me regarderaient  avec stupeur, éventuellement tristesse s’ils m’aiment, parce qu’ils sauraient que je suis dans l’erreur. Mais si on leur dit: Jésus-Christ, le Père et le Saint-Esprit sont UN, les voici se mettant à hurler: « non, ils sont trois ». Pourtant tout la Bible crie: Dieu est un, il n’y a qu’un seul Eternel, un seul Dieu, et Jésus Lui-même, qui est aussi la VÉRITÉ, a dit « le Père et moi nous sommes un ».


    (Shma Yisrael-Hear O Israel with Lyrics שמע O ישראל Messianic)

    Ils disent croire en Jésus mais ils ne croient pas Jésus !

    Ainsi en est-il, pour faire un parallèle,  avec tout le système ecclésial qui fait de l’église un bâtiment, avec un curé ou un pasteur à la tête: tous ceux qui lisent la Bible sérieusement réalisent que c’est une tradition humaine calquée sur les systèmes païens. Tout le monde le sait, et personne ne bouge. Pourquoi ? Une tradition qui arrange tout le monde, dominants comme dominés déchargés de toute responsabilité, mais qui fait que la puissance de Dieu ne se déverse qu’au compte-gouttes dans ces églises de pierres mortes, ou même pas du tout.

     Pourquoi les Pharisiens et les scribes ont-ils eu une telle haine meurtrière face à Jésus ? Leur système traditionnel permettait de maintenir leur domination sur le peuple, au nom de leur « savoir » (souvent déformé par la tradition: Jésus le leur a dit). De même aujourd’hui, tout le monde vénère les curés et les pasteurs en tant que, soi-disant, « détenteurs du savoir biblique », et « détenteurs du pouvoir spirituel ou religieux », ce que beaucoup croient légitime et réservé à ces « pros », tradition oblige. Pourtant tout le Nouveau Testament démontre que c’est une hérésie ! Mais cela fonctionne ainsi depuis 2.000 ans ou presque. Depuis Constantin, pour être précis ! Depuis faux dogmes, faux évangiles, fausses doctrines se sont multipliés et se multiplient en accéléré aujourd’hui, comme prophétisé par Jésus et quasiment tous les apôtres (Lire CECI, CECI et CECI)

     Qui remettrait en cause l’enseignement sur la Trinité qu’on nous sert depuis des siècles ? Tous ceux qui ont voulu le faire ont été excommuniés par le Vatican, brûlés vifs par l’Inquisition, marginalisés, muselés ou traités comme pestiférés par le système ecclésial issu tant du catholicisme que du protestantisme !

     Tant pis si cela m’arrive : je suis censée être déjà morte ! :-)

     Mais j’aime la VÉRITÉ et Celui qui est la VÉRITÉ !

    Jésus a dit : « Amen ! Amen ! Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. » ( Jean 8 :58)

     » AMEN! AMEN!: « Par ces mots souvent traduits pas « En vérité, en vérité », Jésus annonce qu’il va prononcer quelque chose de définitif, de primordial et d’incontournable. Ce début de verset: « Amen! Amen ! » doit toujours attirer notre attention !

    Jésus dit : 

    JE SUIS !

    C’est bien ainsi que Dieu s’est présenté à Moïse

    Exode 3:14 Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C’est ainsi que tu répondras aux enfants d’Israël : Celui qui s’appelle « je suis «  m’a envoyé vers vous.

    Dieu n’est pas une unité ou trois unités, comme le disent les trinitaires qui utilisent même le mot « substance » ! Quel blasphème que de réduire Dieu à de la matière ou même trois unités. Il est « JE SUIS », et Jésus est aussi JE SUIS, car il ne fait qu’un avec Dieu. Ni le Père, ni le Fils, ni le Saint-Esprit ne sont des « unités ». Ce qui est incommensurable, par essence, ne peut-être réduit à une unité ! En croyant expliquer par un vocabulaire facilement compréhensible, on déforme, on dévalorise, on réduit Celui que les cieux des cieux ne peuvent contenir. C’est une « image taillée » de plus ! On parlera du mot « personne » pour désigner « les trois personnes de la Trinité ». C’est tout aussi réducteur et blasphématoire.

    Dieu le Père, son Fils et son Saint-Esprit n’est qu’un, c’est : « je suis »

    Quand les soldats romains ont arrêté Jésus, il a dit (mots grecs) « eimi ego ». On le traduit généralement par « c’est moi ». Mais la traduction la plus juste, c’est « je suis« . Exactement les même mots grec qu’en Jean 8:58

    Philippe, alors qu’il n’avait pas encore compris qui était le véritable Jésus, lui dit : « MONTRE NOUS LE PÈRE ET CELA NOUS SUFFIT »

    Jésus va le rabrouer (je pense qu’Il le fait toujours pour les tenants de la Trinité qui font de Christ un deuxième Dieu, même s’ils s’en défendent) :

    Jean 14:9 Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis-tu : Montre-nous le Père ?

     

    Oh ! Ce n’était pas le corps de chair de Jésus qui était à l’image du Père : Jésus Lui-même a dit : « la chair ne sert de rien ». Dieu est Esprit. C’est l’Esprit de Christ qui est l’Esprit du Père. On ne voit pas un esprit, sauf s’il se matérialise. En l’occurrence, Dieu s’était matérialisé dans le Fils, par amour (il est le Fils de son amour) et pour sauver ceux qui croiraient !

    Oui, celui qui rencontre Jésus et le voit SPIRITUELLEMENT (Il est lumière) a vu le Père : Ils sont un !

    Après la résurrection, Thomas l’incrédule comprend soudain qui est vraiment Christ et il s’écrie :

    « MON SEIGNEUR ET MON DIEU !» (Jn 20 :28).

    Jésus répond : Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! »

     « Mon Dieu ! » : Il vient d’avoir la révélation de qui était le Véritable Jésus ! Emmanuel, Dieu parmi nous …

    On croit la vérité, parce que ce qu’on croit est fondé sur la Parole de Dieu, non sur des dogmes humains. Jésus et le Père font UN, avec un seul Esprit qui est l’Esprit de Dieu ; Et Jésus est Dieu.

    Au fait, quand Jésus dit: « Je suis le chemin, la Vérité, la Vie », cela fait-il trois personnes ? Quand Paul dit en 1Th 5:23: « que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ !» , s’adresse-t-il à trois personnes différentes ?

    La clé est dans le mot « ÊTRE ». Oui Dieu est: « Je suis »: un « ÊTRE » infini, Tout Puissant, omniscient et qui peut venir sur terre, en chair, mais « plein de grâce », tout en étant dans le troisième ciel, celui de sa gloire, car il est un ÊTRE que les cieux des cieux ne peuvent contenir. Il n’est pas une personne, mot réservé aux « terriens ».*

    * (Wikipedia: 

    Le mot personne provient probablement de l’étrusque Phersu et du latin Persona, mais déjà le mot grec prosopon désignait le masque que portaient les comédiens au théâtre, et aussi pour l’étrusque et le latin. Ces masques donnaient l’apparence, incarnaient chaque « personnage ». (Le film de BergmanPersona, y fait référence.)

    Le mot « personne » évoque donc l’idée d’une présence ou d’une absence « humaine ». Particulièrement inadapté pour Dieu ! Il n’est pas homme, rappelle la Parole.

    David n’avait aucun problème pour savoir que Dieu et le Saint-Esprit ne faisaient qu’un, pas deux « personnes » différentes !!!

     
    Ps 51:13 Ne me rejette Pas loin de ta face, Ne me retire pas ton esprit saint.
     
    Job n’avait aucun problème non plus  pour comprendre que le Dieu Tout Puissant qui se révèle à Lui est en même temps le RÉDEMPTEUR:
     
     
    Job 19:25 Mais je sais que mon rédempteur est vivant, Et qu’il se lèvera le dernier sur la terre.
     
    Eh oui, le rédempteur, qu’on appellerait Jésus lorsqu’il serait un homme sur terre, était déjà vivant: « il est, il était et il vient »
     
    Job n’avait pas trois dieux, pourtant lui aussi parle de l’Esprit de Dieu (Job 27:3 Tant qu’un souffle me restera, tant que l’esprit de Dieu sera dans mes narines), du Rédempteur qui un jour se lèverait sur terre mais qui étaient déjà « le vivant », le Tout-Puissant. Il savait qu’ils ne faisaient qu’un, pas trois !

    (Sh’ma Israel Adonai eloheinu adonai echad)

    Tout au cours des siècles, quantité de théologiens sérieux ont remis en cause cette « simplification trinitaire » adoptée comme dogme de base par l’Église romaine, et jamais vraiment remise en question par les courants protestants, qui le rebatise juste « tri-unité », comme si cela changeait quoi que ce soit. Au final, rien ! Jésus est mis au-dessous du Père et le Saint-Esprit en troisième place.

    Sainte_Trinite_190DQuand on voit les fruits que cela a apporté au cours des siècles: réduire Jésus à un enfant, un « petit Jésus » chez les Catholiques, à un simple homme choisi par Dieu chez les témoins de Jéhovah, à un « sous-Dieu » chez les évangéliques et les Pentecôtistes, c’est déjà une démonstration qu’il y a un gros problème dans un dogme: il entraîne des ravages spirituels. On reconnaît l’arbre à son fruit.

    Il y a plus grave:  le dogme de la Trinité a fait fuir des millions et des millions de Juifs loin du salut en Yeshua, parce qu’ils ont un saint respect de Dieu et qu’ils savent que Dieu est UN. Le christianisme traditionnel leur proposait une deuxième Dieu, plus tolérant et plus abordable… sauf que ce deuxième Dieu n’a jamais existé que dans des raisonnements humains. 

    Sans parler de la dissociation du Saint-Esprit d’avec le Dieu Tout-Puissant, en le déclarant « troisième personne » d’une Trinité imaginaire. Pour les Juifs, cela relevait du blasphème, ET C’EN EST UN ! 

    On voit d’ailleurs des dérapages désastreux chez les évangéliques qui invoquent le Saint-Esprit comme une PERSONNE INDÉPENDANTE DE DIEU, alors qu’il n’est pas un seul exemple dans la Bible de Chrétiens priant directement le Saint-Esprit, au lieu de prier le Père au nom de Jésus, comme ordonné par Christ. Et c’est Christ qui nous envoie le Saint-Esprit: Il l’a dit ! Quel esprit finissent-ils par invoquer, sans passer par Christ ? Chez les Catholiques (et la plupart des Protestants !), le Saint-Esprit est même identifié comme étant la TROISIÈME PERSONNE de la Trinité. « TROISIÈME » « PERSONNE » ? Ces deux mots ne sont-ils pas, chacun, UN BLASPHÈME CONTRE LE SAINT-ESPRIT DE DIEU ?

    Comment faire « concorder  » une supposée  Trinité avec le verset suivant: 

     
    Apoc 5:6 Alors je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un Agneau qui se tenait debout. Il semblait avoir été égorgé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre.
     
    L’Agneau immolé a  les sept esprits de Dieu… cela fait déjà 9 « personnes ». 9 dieux en 1 ?  Or l’Apocalypse nous parle à quatre reprises des « sept esprits de Dieu » et dans le verset ci-dessus, ce sont les « sept yeux de l’Agneau » qui sont les sept esprits de Dieu…  Et « sept cornes » évoquent sept formes d’autorité spirituelle ou temporelle.
     
    Quelle réduction charnelle que d’enfermer ce qui est sans commencement ni fin, ce qui est incommensurable, dans un concept humain qui n’a jamais été mentionné dans la Bible et qui a commencé à être suggéré plus d’un siècle après que les Ecritures aient connu leur achèvement définitif avec l’Apocalypse de Jean !
     
    Jésus lui-même – on parle du Jésus glorifié qui a retrouvé sa stature divine – déclare qu’il est le Tout-Puissant
     
    Apocalypse 1:7 Voici ! Il vient au milieu des nuées, et tout le monde le verra et même ceux qui l’ont percé et toutes les familles de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui, amen ! 8 « Moi je suis l’Alpha et l’Oméga » dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant.
     
    Ce qui est corroboré par la prophétie d’Isaïe concernant Jésus:
     
    9:6 Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule; On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.
     

    Jésus a dit: « MOI ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN ». UNITÉ. ECHAD. Oui, on le sait, tous les tenants de la Trinité ne cessent de rappeler que Jésus Lui-même parlait de son Père; Mais c’était Jésus HOMME qui le faisait… même s’il reste pour l’Éternité l’Agneau immolé qui s’est fait volontairement Fils, comme le rappellent les épîtres et l’Apocalypse.

    Il est écrit que la Parole de Dieu s’est faite chair. Jésus est la Parole de Dieu. Lors du baptême de Jésus, on a entendu une voix qui venait du ciel:

    Marc 1: 10 Au moment où il sortait de l’eau, il vit les cieux s’ouvrir, et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe. 11 Et une voix fit entendre des cieux ces paroles: Tu es mon Fils bien-aimé, en toi j’ai mis toute mon affection.

    Mais cette voix qui vient d’en Haut, c’est la Parole de Dieu ! Elle est sous sa forme humaine en train de sortir de l’eau, tout en étant dans le ciel. Dieu n’a pas « le don d’ubiquité », mais de multiplicité jusqu’à l’infini. « il remplit tout en tout », nous dit la Parole. Le Saint-Esprit apparaît – c’est la seule fois dans la Bible – sous une forme animale: une colombe, symbole de pureté, de fidélité et d’amour. RIEN N’EST IMPOSSIBLE À DIEU. Le Saint-Esprit étant UN avec Dieu, il habite tous les vrais croyants en Christ en même temps ! Des centaines de millions ?

    Ce n’est ni une « personne », ni une colombe qui pourraient le faire !

    En Genèse 1:1,2 il est écrit:

    1 Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. 2 La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. 3 Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut.
     
    Dieu est là, le Saint-Esprit est là. « Dieu dit », donc la Parole de Dieu est là et la lumière c’est aussi Jésus (Jean 1). C’est Moïse qui a écrit ces mots avec la révélation du Saint-Esprit et c’est le même Esprit de Dieu qui le conduira à répéter les Paroles qu’il entend de la bouche de Dieu: 
     
     

    De 6:4 ÉcoutéIsraël ! l’Eternel, notre Dieu, est le seul Éternel.

     Jésus a dit que c’était même le premier commandement:

    Marc 12:29 Jésus répondit : Voici le premier (commandement) : Écouté, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l’unique Seigneur;

    Ce qui veut dire que tous ceux qui déclare que Dieu est TROIS personnes distinctes, même si on met « trois en un » pour parler d’unité ou de tri-unité, transgressent le premier commandement !

    DIEU EST UN: UN SEUL SEIGNEUR, UN SEUL ÉTERNEL !

    De 7:9 Sache donc que c’est l’Éternel, ton Dieu, qui est Dieu

    Pourquoi simplifier la toute puissance divine créatrice pour la mettre au niveau de nos capacités de raisonnement ? Nous ne pouvons pas comprendre ce mystère avec nos neurones, nous ne pouvons l’appréhender que par révélation divine. Je sais simplement ce que je constate. Ceux qui ont laissé Dieu leur parler à ce sujet et les éclairer, ont souvent une toute autre révélation de Jésus Christ que  le « petit Jésus », ou le Jésus copain. Comme Jean face à Jésus-Dieu qui lui apparaît en Apocalypse 1, ce qui le conduit à choir au sol: il est soudain bien loin, bien loin, du Jésus-homme qu’il a connu et avec qui il mangeait et cheminait. Ceux qui reçoivent cette révélation retrouvent une sainte crainte du Dieu Tout Puissant, qui est aussi Jésus Lui-même, sainte crainte qui a disparu des Églises au nom d’un « gentil » Jésus qui a tout endossé, ce qui ferait fermer au Père les yeux sur le péché.

    Pourtant l’Apocalypse avertit:
     
    Apocalypse 14:7 Il disait d’une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux.
      Qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux. ?
     Je lis:
     
    Co 1:16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.
     
    Jn 1: 3 Toutes choses ont été faites par elle (la Parole), et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle….10 Elle (la lumière) était dans le monde, et le monde a été fait par elle, 
     
    Jésus, le Créateur et l’Esprit de Dieu ne font qu’un ! ECHAD !
     
    Oui, Dieu a du envoyer des théophanies dans le monde, car nul ne peut voir Dieu en face et vivre. Et sa plus extraordinaire théophanie, c’est sa Parole acceptant de revêtir un corps de chair, un corps d’esclave, pour ôter le péché du monde et sauver ceux qui croiraient. Mais il y a eu beaucoup de théophanies auparavant, soit sous forme d’homme:
     
    - Melchisedek devant Abraham, ou bien un homme encadré de deux autres aux chênes de Mamré mais c’est un seul qu’Abraham appelle Seigneur, les deux autres étant des anges qui partent vers Sodome pour sauver Lot.
    - Le feu du buisson ardent devant Moïse.
    - L’homme à l’écritoire devant Daniel (10), « homme » qui déclare qu’il part combattre tous les rois de Perse (un combat qui va durer deux siècles, au plan terrestre, avant que la Perse soit renversée au profit de l’empire grec), ou
    - Le quatrième homme « à l’aspect d’un Dieu » dans les flammes où ont été jetés les trois amis de Daniel.
     
     
    Et l’on n’oublie pas Josué:
     
    Josue 5:13 Comme Josué était près de Jéricho, il leva les yeux, et regarda. Voici, un homme se tenait debout devant lui, son épée nue dans la main. Il alla vers lui, et lui dit : Es-tu des nôtres ou de nos ennemis ? 14 Il répondit : Non, mais je suis le chef de l’armée de l’Éternel, j’arrive maintenant. Josué tomba le visage contre terre, se prosterna, et lui dit : Qu’est-ce que mon seigneur dit à son serviteur ? 15 Et le chef de l’armée de l’Eternel dit à Josué : Ôté tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est saint. Et Josué fit ainsi.
     
    Même paroles presque que celles de Dieu à Moïse. Et Josué ne pouvait se prosterner que Devant Dieu ! Il craignait Dieu !
     

    (SHEMA YISRAEL by Micha’el Ben David)

    Qui est le chef de l’armée de l’Éternel. On le sait, c’est Jésus, mais il est l’Éternel Lui-même
     
    Hébreux 7: 2 D’abord, Melchisédec signifie roi de justice, de plus, il était roi de Salem, c’est-à-dire, roi de paix; 3 Il a été sans père, sans mère, sans généalogie, n’ayant ni commencement de jours, ni fin de vie; rendu semblable au Fils de Dieu, il demeure sacrificateur pour toujours.
     

    ÉTERNEL, MAIS RENDU SEMBLABLE AU FILS DE DIEU !

     
    N’énumérons pas tous les textes parlant d’une autre théophanie de Christ, apparaissant sous le nom de « l’ange de l’Éternel »… Théophanie de Christ ou théophanie de Dieu ? Peu importe, ils sont un.  Le terme « théophanie » signifie d’ailleurs: « Manifestation, apparition, révélation de Dieu ». Le Dieu invisible se manifeste dans le visible …
     
    Dieu fait ce qu’Il veut.
     
    Ps 115:3 Notre Dieu est au ciel, Il fait tout ce qu’il veut.
     
    Alors certains disent: OK, la Trinité n’existe pas, il n’y a pas trois personnes mais un seul Dieu, qui se manifeste sous trois formes:
     
    Quelles formes ?
     
    Ah ? Le feu d’un buisson ardent, puis un manteau « de dos » pour Moïse sur le mont Horeb, ou un doigt (qui grave la pierre). Un vieillard pour Esaïe. L’Ancien des jours en Apocalypse, un homme, un guerrier, un ange,  un lion, un agneau, une colombe, un aigle, l’étoile du matin, un Rocher, la manne, un bébé dans une étable,  le chef des armées de l’Éternel, le Crucifié, le Ressuscité, le Créateur, le Dieu Puissant, le Prince de la paix, l’homme revêtu d’un corps de gloire apparaissant avec Moïse et Élie, hors temps terrestre, devant trois apôtres, l’homme qui traverse les murs parce qu’il a changé de « matérialité » après sa résurrection, l’homme qui s’élève dans le ciel, défiant toutes les lois de la gravitation, en bénissant ses disciples  …
     
    Dieu aussi est comparé au Rocher, au Rédempteur, au Libérateur, au Sauveur, à Celui qui guérit, à Celui qui est notre Justice, notre bouclier, notre forteresse, etc.. Il est lumière, Amour, etc…
     
    On choisit quelle forme ?
     
    On choisit quel nom ? Adonaï, « je suis », Dieu d’Israël, Jésus, Jéhovah, YHWH,…
     
    Il y a déjà d’incroyables batailles de clocher entre les partisans de « Jésus » et ceux de « Yeshua »
     
    D’autres disent:  « Ils ont trois fonctions différentes ». Oui, il nous est donné certaines spécificités d’interventions divines:  le Saint-Esprit nous convainc, nous enseigne, nous console, parle par nos bouches… Jésus délivre, guérit, sauve, pardonne…. Le Père crée, délivre, pardonne, guérit, sauve. Mais Jésus aussi est le Créateur puisque « tout a été créé par lui »
     
    C’est l’Esprit de vérité qui nous conduit dans toute la vérité, mais c’est Jésus qui est la vérité ! 
     
    LA TRINITÉ, CELA NE TIENT PAS FACE À L’ÉCRITURE !
     
    Dieu est UN !
     
    Tiens, à propos du pardon. Tout l’Ancien Testament nous démontre que le pardon des péchés ne peut venir que du Père:
     
    Ps 13:4 Mais le pardon se trouve auprès de toi, Afin qu’on te craigne.
    Dan 9:9 Auprès du Seigneur, notre Dieu, la miséricorde et le pardon, car nous avons été rebelles envers lui.
     
    Et bien d’autres !
     
    Pourtant Jésus va dire à trois reprises:
     
    Or, afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés  (Marc 2:10 – Mt 9:6 – Lu 5:4)
     
    L’intéressant est qu’il est chaque fois spécifié: « sur terre ». En tant que Dieu fait homme, Jésus avait alors le pouvoir sur terre, et forcément dans une sphère géographiquement limitée. 
     
    C’est pourquoi il dira:
     
    Cependant je vous dis la vérité : il vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai. (Jn 16:7)
     
    Dans sa stature divine, qui ne fait qu’un avec le Père et le Saint-Esprit, il n’y a plus de limite; L’Esprit de Dieu allait se répandre sur tout chair, comme promis par Joël et réalisé à la Pentecôte
     
    On va donner beaucoup de références bibliques pour démontrer l’hérésie de la Trinité. Mais tout, au final, est dans Jean 1:1

    1 Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. 

    Voila : « La parole était Dieu« . Ce seul verset met par terre le dogme trinitaire !
     
    On pourrait continuer mais quand on voit tous les attributs conférés à Dieu dans l’Ancien Testament, on retrouve justement tout cela dans le NT : c’est infini ! Simplement, ils sont parfois plus différenciés dans le NT (ce n’est pas sûr !), mais observons que le Saint-Esprit nous conduit toujours à rendre gloire à Jésus et que Jésus homme faisait rendre gloire au Père, jamais à lui-même, car en tant qu’homme, il n’était qu’un homme, un serviteur, mais aussi le Messie et le Sauveur , « le grand pasteur des brebis ». Il était toute la Parole de Dieu faite chair. Il était Dieu et sera toujours celui qui est, qui était et qui vient. L’Éternel ….
     
    Prenons un cas: la délivrance. Jésus nous a ordonné de délivrer « en son nom ». Le nom de Jésus est au-dessus de tous les noms ! Mais lui délivrait au nom de qui ? Pas le sien ! Mais il dit: 
     
     
    Ma 18:28 Mais, si c’est par l’Esprit de Dieu que je chasse les démons, le royaume de Dieu est donc venu vers vous.
     
    Lu 11:20 Mais, si c’est par le doigt de Dieu que je chasse les démons, le royaume de Dieu est donc venu vers vous.
     
    Qui chasse ? Le nom de Jésus, le doigt de Dieu ou l’Esprit de Dieu ? Pas les trois, car les trois sont un ! Juste différentes manifestations sur terre de la présence de Dieu PAR SA TOUTE PUISSANCE, mais aussi – Jésus le dit – LE SIGNE QUE LE ROYAUME DE DIEU EST VENU VERS NOUS. Hé oui, Satan, déjà jugé, prêt à être vaincu, voyait une partie de la population terrestre échapper à son emprise: ceux qui confessent de leur bouche et croient dans leur coeur (au plus profond de leur être), que Jésus-Christ est venu en chair, a payé pour nos péchés, est ressuscité, glorifié, assis à la droite de Dieu mais ne faisant qu’un avec Dieu et son Esprit.
     
    Arrêtons de schématiser par une sémantique humaine ce qui échappe justement aux raisonnements et à la science humaine et croyons ce qui est écrit, et seulement ce qui est écrit. Le mot Trinité ? Introuvable dans la Bible ! L’expression: « Dieu en trois personnes », non seulement introuvable mais blasphématoire: Seul Jésus HOMME a été une personne sur terre. Maintenant il n’est qu’un avec le Père !
     
    1 Jean 2:2 Car la vie (Jésus) a été manifestée, et nous l’avons vue et nous lui rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée,
     
    Auprès ? C’est le terme grec « Pros », qu’on traduit par: avec, auprès, vers… Nous le retrouvons dans ce verset, très parlant:
     
    Mt 10 : 13: et, si la maison en est digne, que votre paix vienne sur elle; mais si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne à (pros) vous.
     

    Notre paix serait-elle une personne indépendante de nous ? Oui, Christ  est aussi NOTRE PAIX. 

    Une des caractéristiques des fausses doctrines, c’est que leurs adeptes en font de telles forteresses de convictions qu’ils occultent tout ce qui dans la bible ne va pas dans le sens de leurs convictions. C’est une démonstration d’idolâtrie. Ce n’est pas pour rien que les lettres aux sept Églises de l’Apocalypse se terminent par :

    « QUE CELUI QUI A DES OREILLES ENTENDE CE QUE L’ESPRIT DIT AUX ÉGLISES « 

    Apparemment, « ceux qui ont des oreilles pour entendre » sont une denrée rare dans les Églises des derniers temps ! Remarquons qu’à la dernière Église, ce n’est plus l’Esprit qu’on entend parler pour clore ce que Dieu a à dire à cette Église,  mais Jésus: « Si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre … »

     

     

    Mais au fait, quand l« l’Esprit dit », c’est la parole de Dieu, donc c’est encore et encore Jésus, à la fois Fils de Dieu et Père éternel (Es 9:6)

    ESPRIT DE DIEU OU ESPRIT DE CHRIST ?

    Si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. (Rom 8:9) – 

    1P 1:11 voulant sonder l’époque et les circonstances marquées par l’Esprit de Christ qui était en eux,
     
    Si l’Esprit de Christ n’est pas l’Esprit de Dieu, il faut ajouter une quatrième personne !!!!
     
    L’Apocalypse peut commencer par: « Révélation de Jésus-Christ… ». Je pense que la plupart de ceux qui se disent chrétiens, et ce depuis des siècles, ne connaissent pas le véritable, faute de l’avoir rencontré, faute de  la Révélation… Ou s’ils le connaissent et ont compris qui était le Véritable Jésus, ils se sont tus, par crainte des « autorités » despotiques qui ont mis autant de canons rigides dans les appellations Pentecôtistes ou évangéliques que dans le catholicisme et la Réforme. Même si du déblayage a été fait dans les fausses doctrines et faux dogmes, il est resté beaucoup de mensonges. Satan n’est pas appelé le Malin pour rien !
     

    L’Église a vraiment besoin d’une nouvelle Révélation de qui est le VÉRITABLE JÉSUS.

     
     

     

    Lisons l’article de Sakala

     En mauve les remarques ajoutées par MAV

    Dieu serait-Il une trinité ou une famille ? C’est ce que nous essayerons de déterminer dans ce message. La croyance populaire affirmant que Dieu serait une substance spirituelle existant sous forme de trois personnes distinctes est devenue la doctrine primordiale de nombreuses religions chrétiennes. Le concept apprécié de la trinité fait partie intégrante des croyances de la plupart des chrétiens, catholiques ou protestants, et ce depuis des siècles. Par conséquent, au 21ème siècle, près de 90 % des gens qui disent croire en Dieu conçoivent pareillement que Dieu est une trinité. Malgré cette croyance, injectée dans leur esprit dès leur jeunesse, la majorité de ces individus ne semblent pas comprendre, ni trop se soucier de souhaiter prouver si, en effet, ce que leurs églises leur prêchent est une vérité vérifiable dans les Saintes Écritures. Ils tiennent plutôt cette « doctrine » pour acquise, laissant gentiment aux théologiens le soin de s’occuper de l’aspect mystérieux d’avoir à expliquer cette doctrine.

    Toutefois, ceux qui tentent de prouver que la doctrine de la trinité est juste se butent également à des maîtres qui leur disent : « L’esprit de l’homme ne pourra jamais saisir le mystère de la trinité. Il risquerait même de devenir fou pendant ses recherches. Par contre, celui qui renie la trinité risquerait de perdre son âme ».[1] Un tel paradoxe laisse l’individu sans aucun choix, sauf d’accepter aveuglément le concept de la trinité. Mais d’accepter une telle doctrine sans pouvoir la prouver est totalement contraire à l’instruction de la Bible qui nous dit, dans 1 Thessaloniciens 5:21 : « Éprouvez toutes choses ; retenez ce qui est bon. » L’apôtre Pierre aussi nous exhorte ainsi : « Mais sanctifiez dans vos cœurs le Seigneur Dieu. Et soyez toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect auprès de tous ceux qui vous demandent raison de l’espérance qui est en vous » (1 Pierre 3:15). Si nous devions simplement croire aveuglément et sans vérifier, comment saurions-nous, dans une ignorance totale, défendre nos croyances auprès de ceux qui questionnent l’espérance qui est en nous ? Cela n’a aucun sens et est dépourvu de logique.

    Il devient alors impératif pour tout chrétien de démontrer si la trinité est une véritable doctrine biblique ou carrément celle des hommes. À parcourir la littérature religieuse destinée aux laïques, on serait porté à croire que la trinité est très bien expliquée dans la Bible. Mais, en questionnant ces prétentions et en exécutant une véritable recherche biblique approfondie, nous découvrons assez rapidement que leur trinité est plutôt conçue sur une fondation scripturaire très instable. Pourquoi la doctrine centrale de la foi chrétienne serait-elle si difficile à comprendre ? N’y aurait-il pas une révélation biblique éclatante sur la doctrine de la trinité ? Jésus et Ses apôtres ne l’ont-ils pas prêchée ? Sûrement que la Bible devrait être truffée de passages clairs au sujet d’une doctrine aussi importante. Je vais peut-être en surprendre plusieurs en vous déclarant que, non seulement le mot trinité n’apparaît nulle part dans la Bible, mais il n’existe aucune preuve biblique qu’une telle hypothèse serait indiquée ou même suggérée dans la Parole de Dieu.

    Un bon nombre de théologiens admettent avec une certaine réticence que les Saintes Écritures ne sont pas explicites sur la doctrine « éminente » de la trinité. D’autres érudits concèdent que le premier chapitre de l’Évangile de Jean démontre clairement la préexistence et la divinité de Jésus, mais cela n’enseigne pas pour autant une doctrine trinitaire. Elle nous enseigne plutôt que Dieu S’est manifesté dans la chair humaine en tant que le Fils unique de Dieu, engendré par Son Esprit, pour apporter l’Alliance du Salut à Sa création. Jean nous déclare, dans Jean 1:1-4 : « Au commencement était la Parole [de Dieu et] la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait, n’a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. » Déclaré plus simplement, ce verset nous dit que la Parole de Dieu ne pouvait pas être avec une autre personne que Dieu. Tout comme ma parole n’est pas avec mon voisin, mais avec moi puisqu’elle fait partie de moi. Donc, si Dieu le Père est Dieu, Sa Parole est aussi Dieu puisqu’elle fait partie de Lui.

    Ce passage nous confirme clairement que Jésus, la Parole de Dieu dans la chair, était Dieu. 

    Elle nous déclare simplement que, puisque Dieu a toujours existé, Sa Parole était aussi en Lui depuis le commencement. C’est si clair et tellement logique qu’un enfant de dix ans pourrait facilement le comprendre. Il devient donc évident que toutes choses ont été faites par la Parole de Dieu puisque le roi David fut divinement inspiré d’écrire ceci, dans Psaume 148:5 : « Qu’ils louent le nom de l’Éternel ; car il a commandé [parlé], et ils ont été créés. » Il serait tout à fait raisonnable de conclure que : « Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait, n’a été fait sans elle ». Si tout ceci est vrai au sujet de Sa Parole, il fut tout à fait logique de couronner ce passage par ces mots : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. » Mais nulle part est-il question ou fait allusion à une trinité dans ce chapitre.

    Le passage très fréquemment utilisé dans le passé pour « prouver » une trinité était 1 Jean 5:7 « Car il y en a trois dans le Ciel qui rendent témoignage, le Père, la Parole, et le Saint Esprit *; et ces trois-là ne sont qu’un » (version David Martin). Est-il question d’une trinité ici ? Bien sûr que non ! Notez bien les mots utilisés dans ce verset. Il est bien écrit : « qu’il y en a trois dans le Ciel qui rendent témoignage ». Il ne dit pas « trois personnes », mais simplement « trois » : le Père, la Parole, et le Saint Esprit. Notez également qu’il n’est pas écrit le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, mais bel et bien le Père, la Parole et le Saint-Esprit. Les trois se rapportent exclusivement à un seul Dieu.

    Pour mieux comprendre de Qui il est question dans ce verset, laissons Jésus Lui-même nous instruire. Il nous dit que « Dieu est esprit » (Jean 4:24). Dans Lévitique 11:44, Dieu S’identifie en disant à Israël : « Car je suis l’Éternel votre Dieu ; vous vous sanctifierez, et vous serez saints ; car je suis Saint ». Nous voyons donc que l’Éternel, tout en étant Esprit, est aussi Saint. S’il est Esprit et qu’il est Saint, Il est alors le Saint-Esprit, tout en étant Dieu ! C’est simple ! Continuons.

    Consultons un étonnant passage dans la Genèse afin de poursuivre notre étude. Regardons avec quelle simplicité Dieu S’identifie dès le début de la Bible : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1:1). Donc, Dieu S’identifie comme l’Être suprême, Créateur de toutes choses, mieux connu comme le Père. Au verset 2, Dieu décrit une situation où la terre était devenue informe et vide, et les ténèbres étaient à la surface de l’abîme : « …et l’Esprit de Dieu se mouvait sur les eaux. » Dieu n’avait pas créé la terre dans cette condition (tohu et bohu), mais nous voyons ici le Saint-Esprit, ou l’Esprit de ce même Dieu en action sur les eaux. Au verset 3, il est écrit : « Et Dieu dit : Que la lumière soit, et la lumière fut. » C’était un ordre !

    Dieu parle, et quand Il parle, quelque chose arrive. Il a dit : « Que la lumière soit » et, par l’Esprit de Dieu, pour obéir à la Parole de Dieu, « …la lumière fut. » 

    Nous avons subséquemment un Dieu qui est Saint, qui est Esprit et qui Parle. Combien de Dieux voyez-vous ? Moi, je n’en vois qu’un seul. Donc, si Dieu est Dieu, tout ce qui sort de Lui est également Dieu. Ainsi, Dieu est Dieu, Son Esprit-Saint est Dieu, et Sa Parole est Dieu. Toujours le même Dieu qui S’exprime envers nous de trois façons différentes. Voilà ce que la Bible nous enseigne d’un couvert à l’autre. En conséquence, le verset de 1 Jean 5:7, qui déclare : « Car il y en a trois dans le Ciel qui rendent témoignage, le Père, la Parole, et le Saint Esprit ; et ces trois-là ne sont qu’un », n’apparaît plus dans la majorité des versions bibliques, principalement les modernes. La raison en est simple : il vient détruire deux fausses doctrines contraires ; celle de la trinité et celle prônant que Jésus n’est pas Dieu. Il n’est donc pas étonnant que la plupart des versions bibliques l’aient épongé, prétextant qu’il avait été ajouté au 8ème siècle par un scribe et ne fait pas partie du Texte Reçu. Cette allégation est donc fausse car elle détruit toute prétention à leur trinité prêchée depuis des siècles. Nonobstant, ce verset fait intégralement partie du Texte Reçu et malheur à ceux qui ont donné l’ordre de l’enlever de la Parole de Dieu.

    La trinité est une doctrine humaine empruntée aux religions païennes.

    Les Écritures nous disent carrément que Dieu est un, le Père, la Parole, et le Saint Esprit ; et ces trois-là ne sont qu’un, pas « trois ». En définitive, la doctrine de la trinité cherche à limiter notre Père céleste à seulement un tiers de la Divinité. Les trinitaires préconisent que malgré que Dieu est omnipotent, omniscient et tout-puissant, il Lui faut deux autres personnes pour accomplir ce rôle. Ne serait-il pas plus facile d’accepter simplement les Écritures au mot ? Nous n’avons qu’un seul Dieu qui peut Se manifester de toutes les manières qu’Il veut sans avoir besoin de Se voir divisé pour satisfaire à une doctrine d’homme.

    Après tout, pour satisfaire une situation de condescendance, Dieu a jadis pris une forme humaine pour souper avec Abraham (Genèse 18) et Il a lutté avec Jacob (Genèse 32) alors qu’Il avait également forme humaine. Dieu est de plus apparu à Abram sous la forme de Melchisédec, roi de Salem (Genèse 14:18). Notre Dieu tout-puissant peut Se manifester sous suffisamment de formes ; pas besoin de ces doctrines médiocres qui essaient de subdiviser la Divinité dans le but d’expliquer « comment » Il S’y prend. Les trinitaires commencent par diviser la Divinité pour que le Père soit une personne, le Fils Jésus une seconde personne et ensuite que l’Esprit en soit une troisième. Les Écritures n’ont jamais dit que Dieu est divisé en trois personnes. D’ailleurs, comment trois personnes pourraient-elles toujours exister sans qu’une parmi elles ne soit la première ? Sans réponse, les trinitaires en ont inventé une : « C’est un mystère auquel il faut croire sans le comprendre ». Quel Dieu d’amour pourrait nous imposer une telle foi aveugle et illogique ?

    Que Dieu ait décidé de prendre forme humaine en tant que Messie terrestre n’est pas difficile à accepter si nous acceptons de croire ce que les Saintes Écritures nous enseignent. Regardons dans la Parole de Dieu en partant des prophéties messianiques les plus célèbres. « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et l’empire est mis sur son épaule : on l’appellera l’Admirable, le Conseiller, le Dieu puissant, le Père d’éternité, le Prince de la paix » (Ésaïe 9:5). Où se trouve la trinité dans ce verset ? Dieu avait-Il oublié que Jésus ne devait être que le Fils et non le Père ? Pourtant, cette prophétie attribue le titre de Père d’éternité à Jésus. Donc, si Jésus était la personnification même du Père dans une chair humaine, Il n’était pas alors qu’une deuxième personne dans la Divinité, mais clairement un accomplissement de Dieu Lui-même dans le plan divin pour le salut de Sa création.

    Reformulons certains passages bibliques en soulignant de quelle manière la doctrine trinitaire en affecte la lecture. Dans Ésaïe 45:18 nous lisons :

    « Car ainsi dit l’Éternel, qui a formé les cieux, lui, le Dieu qui a formé la terre et qui l’a faite, lui qui l’a fondée ; qui ne la créa pas pour être déserte, mais qui la forma pour être habitée : Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre ! » 

    Ce verset détruit la possibilité d’une trinité, car Dieu Se déclare, non seulement comme étant l’Éternel le Créateur, mais confirme aussi qu’il n’y en a point d’autre. Jésus avait dit : « Moi et le Père, nous sommes un » (Jean 10:30). Cela met carrément à plat les disputes intellectuelles concernant le concept affirmant que Jésus serait la « seconde personne de la trinité » puisqu’il S’identifie Lui-même ici comme étant un avec le Père. La même personne !

    Selon la doctrine de la trinité, Jésus aurait dû plutôt dire : « Moi et le Père sommes deux et composons les deux-tiers d’une Divinité en trois personnes ». Or, Jésus a catégoriquement confirmé que : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point ». Donc, « Moi et le Père, nous sommes un » demeure toujours en vigueur. Un jour, Philippe Lui demanda : « Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit ». Jésus a répondu : « …celui qui m’a vu, a vu le Père » (Jean 14:9). En permettant l’infiltration de la doctrine de la trinité, on devrait lire : « Celui qui m’a vu a vu un tiers de la Divinité » Ce qui revient un peu à déclarer le Père comme étant seulement un tiers distinct de la Divinité. On voit bien que cela ne marche pas. Jésus est autant Père que Fils. Il n’est fait mention d’aucune séparation ou division et, donc, d’aucune trinité ! Dieu est un et seulement un. Il n’est pas une collection de personnages. Il peut Se manifester sous de nombreuses formes tout en demeurant toujours un.

    Alors, pour appuyer leur doctrine, les trinitaires utilisent le verset suivant : « Il y en a aussi trois qui rendent témoignage sur la terre ; l’Esprit, l’eau, et le sang ; et ces trois-là se rapportent à une seule chose » (1 Jean 5:8). Ces trois choses se rapportant à une seule chose, sont-elles un témoignage de trinité ? Le Saint-Esprit devient-il maintenant une chose au lieu d’une personne ? * Poursuivons ! C’est Jean lui-même qui nous fournit l’explication. « Et voici le témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle ; et cette vie est dans son Fils. Qui a le Fils, a la vie ; qui n’a point le Fils de Dieu, n’a point la vie » (1 Jean 5:11-12). Jean nous dit formellement que le salut et l’immortalité passent par Jésus et personne d’autre. Jean ne fait que confirmer les paroles de Pierre qui a dit : « Et il n’y a de salut en aucun autre ; car sous le ciel il n’y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4:12). Alors, oublions le salut par Bouddha, Hare Krishna, Mahomet et tous les autres « sauveurs » du monde.


     

    *Note MAV : Même le terme PERSONNE » utilisé pour désigner  le Saint-Esprit est, au final,  blasphématoire, comme je l’ai déjà souligné. Le mot « personne », selon le dictionnaire, ne peut représenter qu’un être humain. Le mot « personne » utilisé en Hébreux 1 est en fait une traduction anormale du mot grec « Hupostasis » trouvé dans quatre autres passages du nouveau Testament et toujours traduit par « assurance ». Voici le passage.

     
    Hé 1:3 qui, étant le reflet de sa gloire et l’empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s’est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts,
     
    Le mot grec rendu par empreinte est « Charakter », utilisé une seule fois dans la Bible, et qui signifie: « reproduction précise en tous points, un fac-simile ». Cela correspond à ce que Jésus a dit: « Celui qui m’a vu a vu le Père ».  Il parlait de son esprit, car Dieu est esprit !
     
     
     
    Dieu ne s’est pas défini comme une personne, mais comme un ÊTRE: « JE SUIS ». Un être céleste !

     

     

     

    Dans l’Ancien Testament, Dieu S’identifie comme le Rédempteur. « Ainsi dit l’Éternel, ton Rédempteur, qui t’a formé dès le sein maternel : C’est moi, l’Éternel, qui ai fait toutes choses, qui seul ai déployé les cieux et qui, par moi-même, étendis la terre » (Ésaïe 44:24).

    Comparez ce passage avec Colossiens 1:15-18 à propos de Jésus :

    « C’est lui qui est l’image* du Dieu invisible, le premier-né de toutes les créatures. 16Car c’est en lui [Jésus] qu’ont été créées toutes choses dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, soit les trônes, soit les dominations, soit les principautés, soit les puissances. Tout a été créé par lui et pour lui. 17Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui. 18Et c’est lui qui est la tête du corps de l’Église ; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin qu’il tienne le premier rang en toutes choses. »


     

    * NOTE MAV: le mot « image », pour le terme grec « eikon » (qui a donné « icone »), est quelque peu dérangeant puisque le deuxième commandement interdit de faire des « images », ou des « représentations » des choses célestes: On trouve ce mot ailleurs, par exemple « la splendeur de l’Evangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu. » . Et puis: « l’image du Dieu invisible », c’est tout de même un peu étrange ! En fait, il n’existe pas de mot français qui puisse rendre le vrai sens. Il serait plus judicieux de proposer: « la révélation dans le terrestre du Dieu invisible ». Le terme hébreu « Tselem », souvent aussi traduit par « Image » dans l’AT, est plus explicite. Car il peut aussi être traduit par « ressemblance », « ombre »  « figure »… . Le mot « personnification » utilisé par l’auteur de l’article est sans doute le mieux approprié.Car Jésus s’est bien fait « personne humaine » en se dépouillant justement de son existance divine.

     
    Phi 2:6 lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, 7 mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; 8 et ayant paru comme un simple homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. 

     

     

    Or, le Père, l’Éternel dans Ésaïe 44:24, a créé toutes choses par Lui-même et pourtant, Colossiens attribue ces mêmes actions au Fils, Jésus. Il est donc clair, selon les Écritures, que Jésus n’est pas relégué à la seule position de Fils, seconde personne de la Divinité, mais Jésus en chair humaine était aussi la personnification même du Père ! Comment pouvons-nous savoir que Yahvé était le Père et non une pré-incarnation du Messie ? Facile, lisons :

    « Car c’est toi qui es notre père ! Quand Abraham ne nous connaîtrait pas, quand Israël ne nous avouerait pas, toi, Éternel, tu es notre père ; notre Rédempteur, voilà ton nom de tout temps ! » (Ésaïe 63:16).

    L’Éternel est irrévocablement le Père. Il est également le Rédempteur !

    Continuons : « C’est moi, c’est moi qui suis l’Éternel, et il n’y a point de Sauveur que moi » (Ésaïe 43:11). Voilà qui démontre clairement que l’Éternel est tout aussi bien notre Père que notre Rédempteur et notre Sauveur. Pourtant, la doctrine de la trinité essaie de séparer Dieu, en assignant un rôle au Père et un rôle différent au Fils comme Sauveur/Rédempteur. Cela ne fonctionne pas ainsi ! Ces problèmes disparaissent si nous reconnaissons que Yahvé est Dieu, que le Messie est Yahvé et que, par conséquent, Yahvé et le Messie sont une seule et même personne. Les distinctions trinitaires entre le Père, le Fils et le Saint-Esprit entrent en conflit avec les Écritures, lesquelles ne font aucune subdivision au sein de la Divinité. Il n’y a qu’un seul Dieu, Yahvé, point ! Qui fut le Messie pré-incarné ? Le même que le Messie incarné ― c’est Yahvé, ou seul Père, Créateur, Seigneur et Dieu.

    Revenons cependant à ces trois éléments dans 1 Jean 5:8, et comment l’Esprit, l’eau et le sang appuient le témoignage de cette vérité biblique. Dans Romains 8:16, nous lisons :

    « Car l’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu. »

    L’eau, par contre, représente le baptême.

    « Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, nous avons été baptisés en sa mort ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous marchions, nous aussi, dans une vie nouvelle. Car si, lui devenant semblables dans sa mort, nous avons été faits une même plante avec lui, nous le serons aussi à sa résurrection ; sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché soit détruit, et que nous ne soyons plus asservis au péché » (Romains 6:3-6).

    Finalement, le sang représente notre justification devant Dieu par la mort et la crucifixion de Jésus qui payait ainsi la rançon de tous nos péchés, nous réconciliant avec le Père.

     « Étant donc maintenant justifiés par son sang, à plus forte raison serons-nous sauvés par lui de la colère de Dieu. Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils ; à plus forte raison, étant déjà réconciliés, serons-nous sauvés par Sa vie »(Romains 5:9-10).

    Voilà pourquoi : « nous nous glorifions même en Dieu, par notre Seigneur Jésus-Christ, par lequel nous avons maintenant obtenu la réconciliation » (v. 11).

    Est-ce que nous comprenons vraiment la profondeur des paroles de Jésus, quand Il a dit à Ses disciples : « Allez donc et instruisez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit*, et leur apprenant à garder tout ce que je vous ai commandé ; et voici, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. Amen ! » (Matthieu 28:19-20) ?

    Ce n’était sûrement pas parce que Dieu est une trinité. La Bible ne nous donne aucune indication de la sorte. Les éléments de ce verset nous indiquent plutôt le processus établi par Dieu sur la terre pour parvenir au salut. La mort de Jésus pour nos péchés, Sa résurrection et notre baptême pour assurer notre résurrection à l’immortalité, si nous Lui demeurons fidèles jusqu’à la fin.

    Note MAV. * Remarquons qu’il n’est pas écrit: « au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-esprit ». Il n’y a qu’un nom pour les trois. Dieu n’a pas de nom ! Le Saint-Esprit non plus ! C’est « JE SUIS »

     
    Zac 14:9 L’Eternel sera roi de toute la terre; En ce jour-là, l’Eternel sera le seul Eternel, Et son nom sera le seul nom
     
    Justement, Jésus est l’ÉTERNEL et il n’y en a qu’un seul
     
    1 En effet, ce Melchisédek, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut,….-qui est d’abord roi de justice, d’après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c’est-à-dire roi de paix,- 3 qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie,-mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu,-ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité.
     
    Sil est « est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie »C’est qu’il est éternel, et c’est de Jésus que l’on nous parle. ET C’EST LUI, VOLONTAIREMENT ,-« qui est rendu semblable au Fils de Dieu »
     
    Et il ne nous est donné qu’un seul nom:
     
    Ac 4:12 Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.
     
    Jésus Lui-même a souvent dit: « JE SUIS »
     

    Alors, pourquoi baptiser dans ces trois noms ?* D’abord, au nom du Père à cause de Sa bonté pour nous avoir amenés à la repentance. « Ou méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de son long support, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te convie à la repentance ? » (Romains 2:4). Parce que c’est du Père : « De qui toute famille, dans les cieux et sur la terre, tire son nom » (Éphésiens 3:15). Ensuite, au nom du Fils, car c’est Lui qui est mort en versant Son sang pour nos péchés afin de nous réconcilier avec le Père. Et finalement au nom du Saint-Esprit : « Car l’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu » (Romains 8:16). Plusieurs théologiens ne semblent pas réaliser comment l’unicité du Père, du Fils et du Saint-Esprit se manifeste dans le miracle du salut de chaque converti. C’est ainsi que la trinité est le résultat direct de cette incompréhension.

    * MAV Je répète, en fait, il ne nous est donné qu’un nom pour les trois, car il sont UN. Cela explique pourquoi les apôtres ont déclaré ceci:

    Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.
     
    Jésus HOMME a ordonné de demander au Père son Esprit Saint, mais il a prophétisé: JE VOUS ENVERRAI LE SAINT ESPRIT ! »
     
     

    Nous savons que chaque individu est prédestiné au salut depuis la création du monde. Cependant, le Père est Celui qui Se réserve le droit exclusif de déterminer le moment précis pour attirer cet individu et le donner à Christ. Dans Jean 6:44, Jésus Lui-même a déclaré ceci : « Personne ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne l’attire ; et je le ressusciterai au dernier jour. » Quand la personne accepte cet appel au point de désirer le baptême comme signe externe de son engagement, Dieu lui donne Son Esprit pour le guider, et donne ensuite ce converti à Christ qui Se charge personnellement de ce futur Élu dans son cheminement vers le Royaume à venir. Donc, la manifestation de Dieu se fait de trois façons chez cette personne. Il n’y a aucune trinité impliquée ici, mais le Seul et unique Dieu nous dévoilant de quelle façon le véritable salut parvient à Son enfant, futur membre de Sa Famille.

    Donc, la trinité n’est pas biblique et n’a aucun fondement dans les Saintes Écritures. Alors, comment est-elle parvenue à s’infiltrer dans les différentes églises ? Voici un début de réponse. L’ancienne idée monothéiste a volé en éclats lors de la première venue de Jésus sur cette terre. Voilà un homme qui Se disait Fils de Dieu, et cela avait totalement bouleversé les Juifs de Son temps. Pendant des siècles, ces Juifs croyaient en un seul Dieu (nous parlons ici de la grande majorité des Juifs et non pas des « initiés » de la Kabbale dont il sera question plus loin). Donc, s’ils acceptaient les prétentions de ce Jésus, ils craignaient de devenir comme les nations païennes des alentours qui avaient plusieurs dieux. Alors, ils voulurent lapider Jésus qui leur demanda pourquoi. « Les Juifs lui répondirent : Ce n’est point pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce qu’étant homme, tu te fais Dieu »(Jean 10:33). C’était une question légitime pour eux, n’ayant pas compris que Jésus était en réalité leur Dieu manifesté en chair humaine, descendu du ciel pour leur parler du salut.

    Alors, Jésus les questionna ainsi : « Dites-vous que je blasphème, moi que le Père a sanctifié et qu’il a envoyé dans le monde, parce que j’ai dit : Je suis le Fils de Dieu ? Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez point. Mais si je les fais, et quand même vous ne me croiriez point, croyez à mes œuvres, afin que vous connaissiez, et que vous croyiez que le Père est en moi, et que je suis en lui » (Jean 10:36-38).

    N’ayant rien saisi de ce que Jésus leur annonçait, la communauté juive a carrément rejeté son Messie. Et, jusqu’à ce jour, les Juifs orthodoxes n’ont jamais accepté Jésus en tant que Messie. Néanmoins, les Juifs libéraux admettent que Christ était un grand homme, peut-être même un prophète. Mais pas les étudiants du Talmud et de la Kabbale qui Le considèrent toujours comme un « bâtard », fils d’une prostituée (Marie) ayant couché avec un soldat romain… !

    C’est écrit noir sur blanc dans le Talmud !

    Marie enceinte d’un soldat romain ? Et c’est écrit noir sur blanc dans le Talmud ? Quel sacrilège venant d’un peuple que Dieu a sorti d’Égypte pour Se faire une nation ! Regardons ce que la Parole de Dieu nous donne comme document officiel :

    « Or, la naissance de Jésus-Christ arriva ainsi : Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent été ensemble. Alors Joseph, son époux, étant un homme de bien, et ne voulant pas la diffamer, voulut la renvoyer secrètement. Mais comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et lui dit : Joseph, fils de David, ne crains point de prendre Marie pour ta femme ; car ce qui a été conçu en elle est du Saint-Esprit ; et elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de JÉSUS (Sauveur) ; car c’est lui qui sauvera son peuple de leurs péchés » (Matthieu 1:18-21).

    Et, au verset 23, nous lisons :

    « Voici, la vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils, et on le nommera EMMANUEL, ce qui signifie : DIEU AVEC NOUS. »

     Ces étudiants du Talmud et de la Kabbale qui considèrent toujours Jésus comme un « bâtard », fils d’une prostituée (Marie) ayant couché avec un soldat romain, devront un jour se repentir de cette attitude satanique !

    Les apôtres de Jésus avaient très bien compris la divinité de Jésus quand ils ont découvert ― par le même Saint-Esprit qui avait engendré le Christ ― qui était vraiment Jésus. Ils ont admis volontiers que la divinité de notre Seigneur ne nécessitait pas une autre doctrine pour expliquer qu’il n’y avait qu’un seul Dieu et non deux. Alors, qui était donc Jésus de Nazareth ? Nous découvrons jusqu’ici que la Bible n’enseigne pas la doctrine de la trinité. Mais nous sommes confrontés à une question importante : Qui est Jésus ? Était-Il simplement un homme qui a vécu une vie si parfaite que Dieu a décidé de l’appeler « Fils de Dieu » ? Ou était-Il vraiment Dieu ayant volontairement décidé de Se faire un corps d’homme pour venir payer la rançon du péché en offrant Son sang pur et sans tache et mourir à la place de tous les humains ? Dans certains milieux théologiques, le fait de rejeter la trinité impliquerait également de rejeter la divinité de Jésus. Heureusement que des hommes inspirés ont compris que la doctrine de l’incarnation de Dieu en homme ne forme pas une autre doctrine appuyant la trinité.

    De nos jours, certains aspects du christianisme demeurent confus sur la véritable identité de Jésus. La majorité croient dans une trinité mystérieuse, alors qu’une minorité professent que Jésus fut créé par Dieu pour réaliser une œuvre étonnante. Désolé, mais les deux groupes sont dans l’erreur. Alors, pourquoi toute cette confusion ?

    L’identité de Jésus est clairement dévoilée dans la Bible depuis des siècles. 

    Tandis qu’un bon nombre de « chrétiens » s’employèrent à s’excommunier et à se tuer les uns les autres à propos de la question concernant Jésus, la réponse était enregistrée dans la Bible de façon nette et précise, et cette explication n’est pas du tout en harmonie avec ce qui est enseigné dans les églises, même présentement.

    Christ n’est pas une deuxième Personne dans la trinité, et Jésus ne fut pas créé par Dieu : Il est le Créateur Dieu !!

    Pour découvrir qui est Jésus, allons au commencement. Le commencement est mentionné à au moins deux endroits dans la Bible. Le premier se trouve au début de la Genèse et l’autre dans l’Évangile de Jean. L’apôtre Jean nous décrit qui fut Jésus avant de venir sur terre en tant que Sauveur de l’humanité. Dans Jean 1:1-3, nous lisons :

    « Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait, n’a été fait sans elle. »

    Donc, si la Parole de Dieu était avec Dieu dès le commencement, elle ne pouvait pas avoir été créée par Dieu. La Parole était la manifestation de l’expression du désir de Dieu. Dieu parla et la chose FUT. De cette façon : « Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait, n’a été fait sans elle ». Au verset 14, nous lisons : « Et la Parole a été faite chair, et a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité, et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père. » Ainsi donc, la Parole de Dieu fut incarnée dans un corps humain afin de nous annoncer la formidable possibilité du salut.

    Même si nous arrêtions notre étude du Nouveau Testament ici, nous aurions déjà une connaissance au delà de tout doute que Jésus était Dieu et qu’Il était Celui qui a créé Adam (Genèse 2:7). Car Jean déclare carrément que la Parole, Celui qui est devenu le Christ, avait créé toutes choses. Si les chrétiens avaient continué à croire ce qui est cité dans ces versets, la doctrine de la trinité ne se serait jamais infiltrée dans l’Église. Néanmoins, Jean n’est pas le seul dans le Nouveau Testament à nous dévoiler la préexistence de Christ. Regardons ce que Paul a écrit aux Corinthiens :

     « Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, et qu’ils ont tous passé au travers de la mer ; et qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer ; et qu’ils ont tous mangé de la même nourriture spirituelle ; et qu’ils ont tous bu du même breuvage spirituel ; car ils buvaient de l’eau du rocher spirituel qui les suivait ; et ce rocher était Christ » (1 Corinthiens 10:1-4).

    Paul nous confirme clairement que Jésus-Christ était la Parole de l’Ancien Testament, Celui qui parla à Moïse et qui dirigea Israël hors de l’esclavage en Égypte. Il agissait déjà comme la Parole puissante qui, non seulement a créé toute chose, mais aussi Celui qui maintient toute Sa création par Sa Parole puissante. Regardons ensemble ce que Paul nous dévoile dans Hébreux 1:1-3 : « 

    Dieu ayant autrefois parlé à nos pères, à plusieurs reprises et en diverses manières, par les prophètes, nous a parlé en ces derniers temps par son Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses ; par lequel aussi il a fait le monde ; et qui, étant la splendeur de sa gloire et l’empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, ayant opéré par lui-même la purification de nos péchés, s’est assis à la droite de la Majesté divine dans les lieux très hauts. »

    Les trinitaires citent souvent Genèse 1:26-27 pour tenter de prouver la trinité de Dieu :

    « Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. 27Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle. »

    Comme par hasard, les trinitaires oublient qu’avant le Concile de Nicée, l’on comprenait déjà que « faisons » et « notre » signifiaient que Dieu parlait avec Ses anges conseillers. Dans sa vision apocalyptique sur l’île de Patmos, l’apôtre Jean entend une voix qui lui dit : « Monte ici, et je te ferai voir les choses qui doivent arriver après celles-ci. » Jean poursuit, dans Apocalypse 4:2-4 :

    « Et aussitôt je fus ravi en esprit ; et voici, un trône était dressé dans le ciel, et quelqu’un était assis sur ce trône. Et celui qui était assis, paraissait semblable à une pierre de jaspe et de sardoine ; et le trône était entouré d’un arc-en-ciel, qui paraissait comme une émeraude. Autour du trône il y avait vingt-quatre autres trônes ; et je vis sur ces trônes vingt-quatre Anciens assis, vêtus de vêtements blancs, et ayant sur leurs têtes des couronnes d’or. »

    Ces Anciens assis sur des trônes nous indiquent que Dieu utilise des anges puissants pour Le conseiller sur plusieurs choses, quoique la décision finale dans l’exécution du projet soit toujours prise par Dieu.


     

    Note MAV. Il y a une autre dimension et c’est une dimension d’amour. Dieu est amour. Dieu a donné à ses créatures, anges ou hommes, de l’intelligence, des pouvoirs de décision et leur laisse prendre leurs responsabilités. Il ne veut pas des marionnettes autour de Lui, mais des êtres saints et utiles. On en a une révélation dans 1R22, entre autres (car tout le livre de l’Apocalypse montre l’implication personnelle des êtres qui entourent Dieu)

    19 Et Michée dit: C’est pourquoi, écoute la parole de l’Éternel: J’ai vu l’Éternel assis sur son trône, et toute l’armée des cieux se tenant devant lui, à sa droite et à sa gauche. 20 Et l’Éternel dit: Qui est-ce qui séduira Achab, afin qu’il monte et qu’il périsse à Ramoth de Galaad? L’un répondait d’une façon et l’autre d’une autre. 21 Alors un esprit s’avança et se tint devant l’Éternel, et dit: Je le séduirai. Et l’Éternel lui dit: Comment? 22 Et il répondit: Je sortirai, et je serai un esprit de mensonge dans la bouche de tous ses prophètes. Et l’Éternel dit: Tu le séduiras, et même tu en viendras à bout. Sors, et fais ainsi.

    Hé oui, même les démons et anges rebelles ont droit à la Parole et à faire des propositions à Dieu ! On le voit dans les trois premiers chapitres de Job, ou  dans:

    car l’accusateur de nos frères, qui les accusait jour et nuit devant la face de notre Dieu, a été précipité. (Apoc 12:10)

    Le début du verset, c’est: 

     
    Apoc 12:10 Puis j’entendis dans le ciel une grande voix, qui disait: Maintenant sont venus le salut et la force, et le règne de notre Dieu, et la puissance de son Christ;
     
    En l’occurrence: qui est la grande voix dans le ciel ? La Bible ne dit pas si c’est un ange, Dieu Lui-même, ou Jésus, sa Parole…
     

     

    Les trinitaires tentent d’imposer l’argument que, puisque les anges ne peuvent créer, la pluralité de « faisons » et « notre », au verset 26, ne doit indiquer que Dieu seulement. Mais, si Dieu est le seul objet de la pluralité du verset 26, on devrait donc lire, au verset 27 : « Et Ils créèrent l’homme à leur image ». Mais ce n’est pas le cas. Au lieu de cela, le verset 27 est bel et bien au singulier : « Et Dieu créa [le mot hébreu bara (« créa ») est au singulier et son action ne peut pas indiquer un réalisateur pluriel (i.e., « il » bara et non « ils » bara)] ». Ainsi, dans le verset 26, la pluralité indique Dieu parlant à Ses anges conseillers, alors que l’acte même de la  création de l’homme au verset 27, nous indique le Dieu unique agissant seul. Donc, la pluralité du verset 26 ne peut tout simplement pas être utilisée pour tenter de prouver que Dieu est une trinité.

    Si nous étudions la Genèse plus attentivement, nous y découvrons des preuves supplémentaires montrant que Dieu emploie le « nous » pour Se référer à Lui-même et à Ses anges conseillers :

    « Et l’Éternel Dieu dit : Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Et maintenant prenons garde qu’il n’avance sa main, et ne prenne aussi de l’arbre de vie, et qu’il n’en mange, et ne vive à toujours. 23Et l’Éternel Dieu le fit sortir du jardin d’Éden, pour cultiver la terre d’où il avait été pris. 24Il chassa donc l’homme ; et il plaça à l’orient du jardin d’Éden les chérubins et la lame d’épée flamboyante, pour garder le chemin de l’arbre de vie. » (Genèse 3:22-24).

    Le « nous », ici, indique encore Dieu S’adressant à Ses anges*. Ils discutent du fait que l’homme avait décidé de s’approprier lui-même la connaissance du bien et du mal qui n’appartenaient auparavant qu’à Dieu et à Ses anges. Donc, Dieu, ayant examiné ce problème avec Ses anges conseillers, en envoya quelques-uns, nommés chérubins, pour garder l’entrée du jardin d’Éden. Il existe plusieurs endroits dans les Saintes Écritures expliquant les fonctions concernant les anges, afin de mieux illustrer leur rôle dans les cieux et sur la terre. Paul nous les décrit ainsi dans Hébreux 1:14 :

    « Ne sont-ils pas tous des esprits destinés à servir, et envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent hériter du salut ? » 


     

     

    * Note MAV : Sans oublier les mystérieux fils de Dieu (au pluriel), dont il est question en Genèse 6: «  2 Les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles.. » 4 « parce que les fils de Dieu venaient vers les filles des hommes, et elles leur donnaient des enfants » ou Job: 

     
    Job 1:6 Or, il arriva un jour que les fils de Dieu étant venus se présenter devant l’Éternel, Satan vint aussi au milieu d’eux;
     
    2:1 Or, il arriva un jour que les fils de Dieu étant venus se présenter devant l’Éternel,
     
    38:7 Quand les étoiles du matin poussaient ensemble des cris de joie, et les fils de Dieu, des acclamations?
     

     

    Dieu envoie souvent des anges pour aider les humains, parfois pour leur révéler un message important.

    Regardons ensemble un autre incident où des anges sont impliqués, cette fois avec Jacob. Dans Genèse 28:10-12, nous lisons :

    « Mais Jacob partit de Béer-Shéba, et s’en alla à Charan. Et il arriva en un lieu où il passa la nuit, parce que le soleil était couché. Il prit donc une des pierres du lieu, en fit son chevet, et se coucha en ce lieu-là. Alors il eut un songe ; et voici, une échelle était dressée sur la terre, et son sommet touchait aux cieux ; et voici les anges de Dieu montaient et descendaient par elle. »

    Cela nous indique que les anges surveillent la création et rapportent tout à Dieu. Cette échelle fut utilisée comme un symbole dans le songe de Jacob où les anges montaient et descendaient pour accomplir ce travail. Les anges étant des esprits se déplacent à la vitesse de la pensée et n’ont vraiment pas besoin d’une échelle pour se déplacer entre le ciel et la terre. Mais dans cette activité, les anges apprennent aussi des choses nouvelles sur les humains et transmettent cette information à Dieu dans ces divers rôles qu’Il leur assigne.

    Jésus Lui-même nous a confirmé l’unicité éternelle existant entre le Père et Lui en déclarant en toute simplicité : « Le Père et Moi nous sommes UN ».

    La doctrine de la trinité est fondée sur la présomption que Dieu Se manifestait en tant que Père dans l’Ancien Testament et en tant que Jésus-Christ dans le Nouveau, avec le Saint-Esprit qui venait compléter le trio. 

    Six cents années avant la naissance officielle de Jésus en chair et en os, le prophète Daniel a vu ceci dans une vision :

    « Je regardais, dans ces visions de la nuit, et je vis comme le Fils de l’homme qui venait sur les nuées des cieux, et il vint jusqu’à l’Ancien des jours, et on le fit approcher de lui. Et on lui donna la domination, la gloire et le règne, et tous les peuples, nations et langues le servirent. Sa domination est une domination éternelle qui ne passera point, et son règne ne sera point détruit » (Daniel 7:13-14).

    Le Fils de l’homme décrit par Daniel est nul autre que Celui qui est venu évangéliser Son peuple dans la personne de Jésus-Christ. Mais, dans cette vision, Daniel va au-delà, au temps futur de Son retour en puissance pour régner sur le monde entier dans « une domination éternelle qui ne passera point, et son règne ne sera point détruit ». Ce Fils de l’homme ne pouvait donc pas être un simple homme créé par Dieu, selon les Témoins de Jéhovah, pour venir accomplir une œuvre spéciale. L’Ancien des jours, dans ce passage, est nul autre que l’Être Divin appelé « Père » dans le Nouveau Testament. Jésus a également fait référence à cette vision dans la parabole suivante :

    « Il dit donc : Un homme de grande naissance s’en alla dans un pays éloigné pour prendre possession d’un royaume, et s’en revenir ensuite » (Luc 19:12).

    * Note MAV : Il est très intéressant de remarquer que Jésus, du début de son ministère jusqu’à sa crucifixion, s’est toujours présenté Lui-même comme « fils de l’homme » (pus de 60 fois !)… Tout en disant faire UN avec le Père. 

     

    Il faut faire attention de ne pas se laisser leurrer par la possibilité que le Père et Jésus soient deux Personnes dans la même divinité. Rien n’est plus loin de la vérité. À chaque endroit où le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont mentionnés, ce n’est jamais pour nous indiquer une pluralité en Dieu, mais plutôt une unicité dans laquelle Dieu Se manifeste selon Son bon plaisir pour nous expliquer comment Il agit dans les différentes circonstances qu’Il veut rendre claires à notre compréhension.

    Jésus Lui-même nous a dit : « Toutes choses m’ont été données par mon Père ; et nul ne connaît qui est le Fils, que le Père, ni qui est le Père, que le Fils, et celui à qui le Fils le voudra révéler » (Luc 10:22). Notez que cette révélation à savoir qui est le Père et qui est le Fils est donnée en exclusivité à ceux « à qui le Fils le voudra révéler ». Il ne faut donc pas s’étonner de constater que très peu de personnes détiennent vraiment, avec conviction, la connaissance démontrant que la trinité n’est pas biblique, sauf ceux « à qui le Fils le voudra révéler ». Le révélateur de toute connaissance divine est Jésus. Car :

    « Personne n’a jamais vu Dieu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître » (Jean 1:18).

    Dans Jean 16:28, Jésus a déclaré : « Je suis issu du Père, et je suis venu dans le monde ; je laisse de nouveau le monde, et je vais au Père. »

    Jésus venait de dire clairement qu’Il était littéralement sorti du Père, comme un enfant sort du sein de sa mère, et Il est venu nous faire connaître le Père pour ensuite retourner vers Lui. Jésus est venu sur terre et une de Ses fonctions était de nous révéler par la manifestation du Père dans le Fils, que le but principal de la création des humains était, pour Dieu, de Se former une famille avec qui Il partagerait l’univers créé expressément pour eux. Donc, en tant qu’élus futurs du Royaume, nous sommes à présent dans le sein du Père, avec cette connaissance extraordinaire que Jésus nous a révélée, attendant patiemment la manifestation soudaine d’une partie de Sa Famille Divine et immortelle lors du retour de Jésus. Les Élus de la Première Résurrection !

    « Heureux et saint celui qui a part à la première résurrection ! La seconde mort n’a point de pouvoir sur eux ; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et régneront avec lui mille ans » (Apocalypse 20:6).

    Si Jésus n’avait pas révélé cette vérité, il n’y aurait aucun moyen pour nous de connaître le Père, ni Son désir pour Sa création. Dans Matthieu 11:27, Jésus nous dit :

    « Toutes choses m’ont été données par mon Père ; et nul ne connaît le Fils que le Père ; et nul ne connaît le Père que le Fils, et celui à qui le Fils aura voulu le faire connaître. »

    Avec tout ce pouvoir venant directement du Père, Jésus pouvait alors déclarer :

    « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai. Chargez-vous de mon joug, et apprenez de moi, parce que je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes ; car mon joug est aisé, et mon fardeau léger » (vs 28-30).

    Jésus n’était pas une autre Personne à qui le Père a tout donné. Jésus était la personnification même du Père vivant dans la chair humaine, venant nous offrir le soulagement de nos peines tout comme un bon père le fait pour ses enfants.

    Dieu est éternel ! Il a toujours été et vit toujours dans le présent, car le temps fut créé pour les humains. Dans Malachie 3:6, nous lisons : « Car je suis l’Éternel, je ne change pas. » Dieu n’a jamais été jeune pour devenir vieux. Il a toujours été et ne change pas ! Aux Hébreux, Paul dit : « Jésus-Christ est le même, hier et aujourd’hui, et pour l’éternité » (Hébreux 13:8). Et, finalement, Jésus Lui-même nous révèle ceci : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin, dit le Seigneur, Celui QUI EST, et QUI ÉTAIT, et QUI SERA, le Tout-Puissant »(Apocalypse 1:8). Nous avons dans ces trois passages une preuve irréfutable que le Dieu de l’Ancien et du Nouveau Testament est le même.

    Dans Ésaïe 8:13-14, nous découvrons une prophétie très intéressante : « Sanctifiez l’Éternel des armées ; que lui soit votre crainte et votre frayeur. Il sera un sanctuaire, mais aussi une pierre d’achoppement et une pierre de chute pour les deux maisons d’Israël ; un piège et un filet pour les habitants de Jérusalem. » Certains érudits bibliques proclament que ce verset ne colle uniquement qu’à Celui qui devait venir sous le nom de Jésus-Christ. Mais regardons ce que Pierre nous dit, dans 1 Pierre 2:6-8 :

    « C’est pourquoi il est dit dans l’Écriture : Voici, je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse ; et qui croira en elle, ne sera point confus. Vous en recevrez donc de l’honneur, vous qui croyez ; mais pour les incrédules, la pierre que ceux qui bâtissaient ont rejetée, est devenue une pierre angulaire, et une pierre d’achoppement et un rocher de scandale ; en désobéissant à la parole, ils se heurtent contre elle, et c’est à cela qu’ils ont été destinés. »

    Cette même prophétie fut le sujet de la bénédiction de Siméon sur Jésus.

     « Et Siméon les bénit, et dit à Marie sa mère : Voici, cet enfant est mis pour la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et pour être en butte à la contradiction » (Luc 2:34).

    Personne ne peut alors nier que Jésus était en effet l’Éternel des armées de l’Ancien Testament, la pierre d’achoppement et un rocher de scandale pour les incrédules, mais d’honneur pour ceux qui croiraient en Lui. Les chefs religieux du temps de Jésus ne pouvaient pas concevoir que Jésus était vraiment Dieu ; pourtant, l’Ancien Testament qu’ils transcrivaient depuis des siècles était plein de prophéties sur Lui. Alors que Jésus était sur la terre, même s’Il était la Parole vivant dans une chair humaine, il faut toujours se rappeler que Jésus :

    « Lequel étant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à saisir [une chose à laquelle on s’accroche] d’être égal à Dieu ; mais il s’est dépouillé lui-même, ayant pris la forme de serviteur, devenant semblable aux hommes ; et, revêtu de la figure d’homme, il s’est abaissé lui-même, en se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix » (Philippiens 2:6-8).

    Trop de ministres croient que Jésus, dans Son acte d’humilité, S’est Lui-même dépouillé de Sa divinité. C’est faux, puisque dans la chair humaine, Jésus était toujours Dieu, mais dans Son humilité Il S’est dépouillé de Sa toute-puissance afin de vivre comme un serviteur, Se rendant obéissant jusqu’à la mort sur la croix. Mais lorsque le temps fut venu de S’offrir en sacrifice pour tous les péchés du monde, regardons ensemble la dernière prière qu’Il a adressée au Père : « Et maintenant, glorifie-moi, Père, auprès de toi, de la gloire que j’avais auprès de toi,avant que le monde fût » (Jean 17:5). L’embarras était que les Juifs ne pouvaient pas concevoir que Dieu S’abaissât au point de devenir un homme. Pourtant, c’est exactement ce qui est survenu : Dieu a consenti à Se faire homme afin que nous puissions un jour devenir à notre tour des Enfants de Dieu. Et, au lieu de le faire par une manifestation de super puissance, Dieu a consenti à le faire par un acte d’humilité. « Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3:16). Donc, l’impact et l’importance de ce verset devient encore plus clair. C’est par l’humilité de notre Créateur que nous serons glorifiés un jour dans Sa Famille.

    Reste maintenant à déterminer si le Saint-Esprit est une autre personne pour compléter cette fameuse trinité si longtemps enseignée par beaucoup de religions. Je regrette, mais vous pouvez scruter la Bible de la Genèse jusqu’à l’Apocalypse et vous ne trouverez aucune référence au Saint-Esprit comme étant le troisième membre d’une trinité. La Bible nous instruit à savoir que : « Toute l’Écriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour former à la justice » (2 Timothée 3:16). Il faut alors prouver, par les Saintes Écritures seulement, si, en effet, une trinité divine existe. L’Ancien Testament n’envisage aucune  possibilité du Saint-Esprit comme étant une personne, mais plutôt comme la puissance de Dieu. Nous avons vu au début de ce message que Jésus nous a dévoilé que « Dieu est Esprit » (Jean 4:24). Dans Lévitique 19:2, Dieu dit à Israël : « Soyez saints, car je suis saint, moi, l’Éternel, votre Dieu ».

    Si Dieu est Esprit et qu’Il est Saint, Il est donc le Saint-Esprit, et non une autre Personne dans une trinité.

    Mais n’est-il pas écrit dans Matthieu 28:19 que Jésus a dit à Ses disciples : « Allez donc et instruisez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » ? Les trinitaires marquent ce verset pour montrer que Dieu était une tri-unité. Néanmoins, aucun des autres évangiles ou épîtres n’emploie cette expression, et la pratique courante des apôtres était de garantir le baptême par le nom de Jésus seulement. Incidemment, en dépit du fait que les trinitaires se cramponnent à ce verset, le passage ne prouve en rien une trinité. Le texte ne va jamais jusqu’à dire que les trois mentionnés composent une tri-unité divine. Puisque Jésus EST Dieu, quiconque est baptisé au nom de Jésus-Christ est déjà baptisé au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et au nom* du Créateur, du Rédempteur, du Maître, du Juge Suprême, etc. Vous saisissez ? Un Dieu très VASTE !


     

     

    * Note MAV : Nous avons déjà rappelé qu’on ne nous donnait pas trois noms, mais UN SEUL: Jésus !

     

     

    Dans l’Ancien Testament, toute référence au Saint-Esprit témoigne de la puissance de Dieu en action et non d’une troisième Personne. Un exemple se trouve dès le début de la création où nous lisons : « Or la terre était informe et vide, et les ténèbres étaient à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait sur les eaux. Et Dieu dit : Que la lumière soit ; et la lumière fut »(Genèse 1:2-3). Dieu parla et Son Esprit agit et la lumière fut. Le Nouveau Testament nous révèle une continuité du même concept que dans l’Ancien, avec la révélation que l’Esprit de Dieu peut habiter une personne. Alors, nous voyons des passages où la puissance de Dieu dirige si bien un converti qu’il entend Sa voix. « Alors l’Esprit dit à Philippe : Approche-toi, et rejoins ce chariot » (Actes 8:29). Ainsi, Philippe obéit et se dirigea vers le chariot de l’eunuque. Dans les voyages de Paul et de ses amis : « Étant venus en Mysie, ils se disposaient à aller en Bithynie ; mais l’Esprit ne le leur permit pas. »

    Même Simon le magicien avait compris que le Saint-Esprit était une puissance venant de Dieu. « Mais Simon voyant que le Saint-Esprit était donné par l’imposition des mains des apôtres, leur offrit de l’argent, en disant : Donnez-moi aussi ce pouvoir, afin que tous ceux à qui j’imposerai les mains reçoivent le Saint-Esprit »(Actes 8:18-19).

    C’est ce même pouvoir qui a poussé Philippe à aller vers l’eunuque et qui a fait comprendre à Paul d’aller évangéliser ailleurs.

    Le véritable travail de l’Esprit de Dieu nous est dévoilé par Paul en ces mots : « Et si l’Esprit de Celui [Dieu] qui a ressuscité Jésus des morts, habite en vous, Celui qui a ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels, par Son Esprit qui habite en vous »(Romains 8:11).

    On ne se moque pas de l’Esprit de Dieu nous dit Jésus !

    « C’est pourquoi je vous dis que tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné. Et si quelqu’un a parlé contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais celui qui aura parlé contre le Saint-Esprit n’en obtiendra le pardon, ni dans ce siècle, ni dans celui qui est à venir » (Matthieu 12:31-32).

    Même aux pharisiens, Jésus a dit : « Mais si je chasse les démons par l’Esprit de Dieu, le règne de Dieu est donc venu vers vous » (Matthieu 12:28). Jésus leur annonçait que le Roi du Royaume à venir était également Celui qui chassait les démons en leur présence par le Saint-Esprit.

    Nous avons ici une preuve évidente que le Saint-Esprit est la puissance de Dieu en action et non une personne. Si le Saint-Esprit était une personne à part égale dans une trinité, il aurait lui-même chassé les démons au lieu que ce soit Jésus qui l’utilise pour accomplir ce travail. Donc, le blasphème contre le Saint-Esprit est un sacrilège contre la puissance même de Dieu par laquelle Il a tout créé, et maintient continuellement toute cette création par Sa Puissante Parole. Quel est le témoignage des Saintes Écritures sur le Saint-Esprit ? Dans Zacharie 4:6, nous lisons :

    « Alors il reprit et me dit : C’est ici la parole de l’Éternel, qu’il adresse à Zorobabel, disant : Ce n’est point par [ta] puissance, ni par [ta] force, mais par mon Esprit, a dit l’Éternel des armées. »

    Le prophète Michée a déclaré :

    « Mais moi, je suis rempli de force, de l’Esprit de l’Éternel, de jugement et de courage, pour déclarer à Jacob son crime et à Israël son péché » (Michée 3:8).

    L’Esprit est la puissance créatrice de Dieu agissant également dans Ses serviteurs.

    En prophétisant sur la venue future du Messie, Ésaïe a écrit :

    « Mais il sortira un rejeton du tronc d’Isaï, et un surgeon naîtra de ses racines. Et l’Esprit de l’Éternel reposera sur lui, l’Esprit de sagesse et d’intelligence, l’Esprit de conseil et de force, l’Esprit de science et de crainte de l’Éternel » (Ésaïe 11:1-2).

    L’Esprit est la puissance qui nous donne aussi la sagesse, l’intelligence, le conseil, la force. la science et la crainte respectueuse de Dieu. L’Esprit est également un don. Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit ceci, dans Actes 2:38 :

    « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour la rémission de ses péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. »

    Dans Actes 2:17, nous lisons : « Il arrivera dans les derniers jours, dit Dieu, que je répandrai de mon Esprit sur toute chair, vos fils et vos filles prophétiseront ; vos jeunes gens auront des visions, et vos vieillards auront des songes. »

    Le Saint-Esprit peut donc être répandu sur nous.

    Ce phénomène n’était pas destiné exclusivement aux Juifs. « Et tous les fidèles circoncis, qui étaient venus avec Pierre, furent étonnés de ce que le don du Saint-Esprit était aussi répandu sur les Gentils » (Actes 10:45). Au jeune Timothée, Paul a dit : « C’est pourquoi je te rappelle de rallumer le don de Dieu qui t’a été communiqué par l’imposition de mes mains » (2 Timothée 1:6).

    Il est donc possible pour le chrétien d’éteindre l’Esprit en lui, car, dans 1 Thessaloniciens 5:19, Paul nous exhorte : « N’éteignez point l’Esprit. » L’Esprit est actif et doit être constamment utilisé par celui qui le reçoit. Dans Matthieu 1:18, il est écrit : « Or, la naissance de Jésus-Christ arriva ainsi : Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent été ensemble. » L’Esprit est ce qui a engendré Jésus en chair humaine, ainsi que le chrétien qui doit devenir un enfant de Dieu.

    Et, dans Romains 8:9, Paul déclare : « Pour vous, vous n’êtes point dans la chair, mais dans l’esprit, s’il est vrai que l’Esprit de Dieu habite en vous. Or, si quelqu’un n’a point l’Esprit de Christ, celui-là n’est point à Lui. »

    Si le Saint-Esprit est une personne, vous avez également dans ce verset l’Esprit de Dieu et l’Esprit de Christ, donc trois Esprits et deux Dieux. Alors, la trinité en serait-elle rendue à cinq personnes ? Je plaisante ; néanmoins, nous découvrons jusqu’où on peut pousser un mensonge si on décide de tordre la Parole de Dieu pour lui faire dire ce qu’on veut. Poursuivons notre étude. Dans la parabole des dix vierges l’Esprit est comparé à l’huile, qui éclaire un individu pour sortir des ténèbres, et non à une personne. L’Esprit est aussi notre garantie que Dieu accomplira Sa promesse envers nous lors de notre baptême.

    Dans Éphésiens 1:14, Paul nous certifie ceci, au sujet du Saint-Esprit : « Lequel est un gage de notre héritage, pour la rédemption de ceux qu’Il S’est acquis, à la louange de Sa gloire. »

    L’Esprit est notre espérance.

    « Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs, par l’Esprit-Saint qui nous a été donné » (Romains 5:5).

    Il répand l’amour de Dieu dans nos cœurs. L’épître à Tite nous dit :

    « Mais lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le bain de la régénération, et le renouvellement du Saint-Esprit, qu’il a répandu avec richesse sur nous, par Jésus-Christ notre Sauveur » (Tite 3:4-6).

    L’Esprit nous renouvelle constamment depuis qu’il a été répandu avec richesse sur nous, dans notre cheminement vers le Royaume.

    Vous noterez que, dans aucun de ces passages, il n’est jamais question que le Saint-Esprit soit une personne. Est-ce qu’une personne peut être « répandue », « rallumée », « éteinte », ou puisse « vivre dans un autre » ou encore « vivre dans le cœur d’un autre » ? Nous avons clairement vu l’ange dire à Joseph, dans Matthieu 1:20 : « car ce qui a été conçu en elle est du Saint-Esprit. »

    Pourtant, à Ses disciples, Jésus a clairement dit : « Et je prierai le Père, qui vous donnera un autre Consolateur, pour demeurer éternellement avec vous » (Jean 14:16).

    Jésus appelle Dieu Son Père et non le Saint-Esprit. Si le Saint-Esprit était une personne, il serait le Père de Christ, puisque Jésus a été conçu en Marie par le Saint-Esprit. Ce qui veut dire que, lorsque Jésus priait au Père, Il ne S’adressait pas à la bonne personne. Voilà une preuve additionnelle que le Saint-Esprit n’est pas une personne, mais bien la puissance même du Père en action. Il est malheureux que toute cette vérité soit polluée par plusieurs et orientée vers « …les incrédules, dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’esprit, afin qu’ils ne soient pas éclairés par la lumière du glorieux Évangile de Christ, qui est l’image de Dieu » (2 Corinthiens 4:4).

    Mais la bonté de Dieu fera en sorte que les yeux des voilés soient ouverts un jour, et ils comprendront.*


     

     

    * Note MAV : Je dis AMEN ! AMEN ! AMEN ! Car je m’associe à cette espérance, et c’est pour cela que je publie ce message et tout le travail que j’y ai ajouté. Père, ouvre les yeux des aveugles !!!!… Au nom de Jésus !

     

     

    Voici comment l’apôtre Matthieu nous raconte la naissance de notre Messie.

    « Or, la naissance de Jésus-Christ arriva ainsi : Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent été ensemble. Alors Joseph, son époux, étant un homme de bien, et ne voulant pas la diffamer, voulut [rompre ses fiançailles et] la renvoyer secrètement. Mais comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et lui dit : Joseph, fils de David, ne crains point de prendre Marie pour ta femme ; car ce qui a été conçu en elle est du Saint-Esprit ; et elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de JÉSUS (Sauveur) ; car c’est lui qui sauvera son peuple de leurs péchés » (Matthieu 1:18-21).

    Jésus fut littéralement conçu dans le sein de Marie par l’Esprit de Dieu, devenant ainsi Son Fils Unique. Jésus Lui-même nous le confirme ainsi :

    « Je suis issu du Père, et je suis venu dans le monde ; je laisse de nouveau le monde, et je vais au Père » (Jean 16:28).

    En s’adressant aux Romains convertis, Paul leur explique ainsi ce qu’est un véritable chrétien : « Pour vous, vous n’êtes point dans la chair, mais dans l’esprit, s’il est vrai que l’Esprit de Dieu habite en vous. Or, si quelqu’un n’a point l’Esprit de Christ, celui-là n’est point à Lui »(Romains 8:9).

    Notez que le vrai chrétien est habité, et par l’Esprit de Dieu et par l’Esprit de Christ. Et, aux versets 16-17, on peut lire : « Car l’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu. Et si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers ; héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ ; si toutefois nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui. »

     Tout cela nous indique clairement que Dieu n’est pas une trinité exclusive et impénétrable, mais plutôt une famille en formation dans laquelle Dieu le Père est en train de Se former une immense Famille avec qui Il veut partager Son univers en héritage.

    Dans Genèse 1:26, Dieu dit : « Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance », et, aux versets 27-28 : « Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle. Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Croissez et multipliez, et remplissez la terre. »

    Le plan divin était alors entamé afin de créer une abondance d’héritiers dans cette Famille divine, et non des descendants du singe en évolution. Chaque fois que Dieu fait quelque chose, laquelle est inévitablement bonne, Satan invente une contrefaçon, inévitablement mauvaise et mensongère, pour tenter de discréditer Son œuvre. C’est ainsi que Satan a inspiré l’idée de l’évolution pour détourner l’humanité de Son Créateur. Et donc, aujourd’hui, le véritable problème n’est plus une trinité pour les humains, mais plutôt le fait d’adorer plusieurs dieux. C’est la mission du Nouvel Age et d’autres qui prêchent ouvertement que l’homme n’a pas besoin de Dieu, car il possède déjà tous les ingrédients en lui pour être dieu.

    Pourtant, il n’y a qu’une seule famille divine en préparation.

    « Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils, afin que celui-ci soit le premier-né de plusieurs frères ; et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés » (Romains 8:29-30).

    Le mot « Dieu » inscrit dans Genèse 1:1 est Élohim dont la forme est plurielle, indiquant dès le début de la Bible que Dieu avait pour but initial de Se former une Famille divine avec plusieurs Enfants. Et tous ceux qui persisteront à prêcher que l’homme n’a pas besoin de Dieu, car ils possèdent déjà tous les ingrédients en eux pour être des dieux, seront exclus de cette Famille divine parce qu’il n’y aura aucune place pour les rebelles. Apocalypse 22:18-19 nous déclare :

     « Je proteste à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre que si quelqu’un y ajoute, Dieu fera tomber sur lui les plaies écrites dans ce livre ; et si quelqu’un retranche des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part du livre de vie, et de la sainte cité, et des choses qui sont écrites dans ce livre. »

    Tordre volontairement la Parole de Dieu comporte des conséquences terribles.

    Les trinitaires aiment souligner que le mot « Dieu » devrait être traduit par « dieux » puisqu’il vient du mot hébreu Elohim qui est pluriel. On avait jadis compris l’utilisation d’elohim pour démontrer jusqu’à quel point le Dieu hébreu était unique, complet et parfait en comparaison des autres dieux. La forme plurielle prouve l’immensité de Dieu, et non une trinité ! Seul Yahvé était un Dieu comprenant tout : un pouvoir complet et la souveraineté sur toute Sa création. Et vous noterez que, malgré qu’elohim soit au pluriel, il est employé dans un contexte comme s’il était au singulier (c’est-à-dire, elohim est utilisé dans « Moi, l’Éternel ton Dieu », et jamais « Nous, l’Éternel tes Dieux »).

    Voici quelques exemples parmi tant d’autres :

    « Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car je suis l’Éternel ton Dieu [Elohim], un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants, jusqu’à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent » (Exode 20:5).

    « Parle à toute l’assemblée des enfants d’Israël, et dis-leur : Soyez saints, car je suis saint, moi, l’Éternel, votre Dieu [Elohim» (Lévitique 19:2).

     « Car c’est moi, l’Éternel ton Dieu [Elohim], qui te prends par la main et qui te dis : Ne crains point, je suis ton aide ! » (Ésaïe 41:13).

    Paul nous explique le processus familial de Dieu dans 1 Corinthiens 12:20, où, en parlant de l’Église, il dit : « Mais maintenant il y a plusieurs membres, et un seul corps [famille]. »

    La trinité est une création d’homme inspirée par Satan pour brouiller la véritable intention de Dieu de former une Famille éternelle.

    Vous noterez que les oiseaux, les poissons, les reptiles et les animaux ont tous été créés selon leur espèce, mais seuls les humains furent créés selon l’image de Dieu et à Sa ressemblance.

    Dans Actes 17:29, Paul nous dit : « Étant donc de la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l’or, ou à de l’argent, ou à de la pierre taillée par l’art et l’industrie des hommes. »

    Étant de la race divine, nos yeux doivent être portés sur les choses spirituelles et non matérielles.

    L’apôtre Jean avait très bien compris le plan de Dieu quand il nous dit : « Voyez quel amour le Père nous a témoigné, que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Le monde ne nous connaît point [encore], parce qu’il ne l’a point connu. Bien-aimés, nous sommes à présent enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que quand il sera manifesté, nous serons semblables à Lui, parce que nous le verrons tel qu’il est » (1 Jean 3:1-2). Avec le Saint-Esprit en nous, nous sommes déjà engendrés en tant qu’enfants de Dieu, mais nous naîtrons de nouveau par la résurrection en tant que véritables Fils et Filles de Dieu.

    « Et je serai votre Père, et vous serez mes fils et mes filles, dit le Seigneur tout-puissant » (2 Corinthiens 6:18).

    Plus nous étudions ces merveilleux versets, plus nous saisissons la profondeur de leur sens quand Paul nous déclare : « En effet, il était convenable que Celui pour qui et par qui sont toutes choses, voulant amener à la gloire plusieurs enfants, rendît parfait le Prince de leur salut, par les souffrances. Car tous, et Celui qui sanctifie, et ceux qui sont sanctifiés, relèvent d’un seul ; c’est pourquoi il n’a point honte de les appeler frères » (Hébreux 2:10-11).

    Les pages de la Bible sont remplies d’instructions sur le plan de Dieu pour tous les humains. Pourtant, la majorité des humains sont toujours aveugles à cette vérité primordiale. Cependant, le plan de Dieu est très clair. Pour amener à la gloire plusieurs enfants, Dieu commença par rendre parfait Jésus, le Prince de leur salut, par les souffrances. Subséquemment, Celui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés relèvent tous de Jésus, le premier-né d’entre les morts. Étant ainsi descendu à notre niveau, Jésus n’a point honte de nous appeler frères.

    Mais pour quelle raison la majorité des humains demeurent-ils toujours aveugles à cette vérité essentielle ?

    Simplement parce que : « le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, [est] celui qui séduit tout le monde » (Apocalypse 12:9).

    C’est Satan qui a inspiré la doctrine de la trinité au monde afin de l’aveugler face à la possibilité de pouvoir régner avec Dieu, ce qui était impossible à Lucifer et à ses anges. « Car auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit : Tu es mon Fils, je t’ai engendré aujourd’hui ? Et encore : Je serai son Père, et il sera mon Fils ? » (Hébreux 1:5).

    Il déplut à Lucifer d’apprendre cette vérité, et il décida donc d’attaquer le Trône de Dieu.

    « Alors il y eut un combat dans le ciel. Michel et ses anges combattaient contre le dragon ; et le dragon combattait avec ses anges. Et ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne se retrouva plus dans le ciel » (Apocalypse 12:7-8).

    Étant ainsi précipités sur la terre, Lucifer est devenu Satan (adversaire), et ses anges, devenus démons, continuent jusqu’à ce jour à séduire le monde entier, sauf ceux que Dieu appelle individuellement comme Élus dans Son gouvernement à venir.

    En raison de la connaissance qu’ils n’ont aucune place dans le gouvernement de Dieu, ils cachent depuis 6 000 ans la vérité extraordinaire aux humains sur leur potentiel de devenir les héritiers de Dieu. En créant la trinité dans l’esprit des humains, ils séduisent les gens à croire que Dieu est une trinité exclusive de trois personnes seulement, non accessible aux humains. C’est ainsi que la grande majorité des gens n’ont aucune conception qu’ils furent créés pour naître dans la Famille Divine. Satan par contre, veut convaincre le monde que Dieu est limité à trois personnes seulement, et non destiné à devenir une merveilleuse famille pour former un Royaume universel. Voilà la vérité biblique sur la trinité.

    Introduction de la doctrine de la trinité dans le christianisme

    Les « pères de l’Église » (catholique) qui ont statué sur la doctrine de la trinité se sont exécutés principalement lors du Concile de Nicée, premier concile œcuménique, convoqué par l’empereur Constantin en l’an 325 apr. J.-C. Il n’existe nulle trace antérieure de la doctrine de la trinité*, ni dans la Bible, ni dans les écrits des premiers chrétiens, ce concept étant véhiculé uniquement par les religions à mystères du paganisme babylonien et platonicien. On peut donc dire que le début de l’Église catholique remonte à ce concile tenu à Nicée où la doctrine biblique commença à être écartée en faveur des concepts païens. L’empereur Constantin visait alors à établir un consensus doctrinal en rassemblant les religions sous une même bannière. Ce faisant, il put introduire le mithraïsme et le babylonisme au sein de la nouvelle mouture dite chrétienne et universelle (catholique). Parmi les grands acteurs de ce concile sournois, nous retrouvons des noms célèbres, comme Athanase d’Alexandrie et Eusèbe de Césarée, deux apostats qui renversèrent la foi en lui donnant une signification différente en prétendant vouloir défendre la divinité de Jésus-Christ contre l’arianisme[2]« Pour Athanase, Christ devint un homme afin que l’homme devienne Dieu … Il s’opposa à la doctrine de l’Arianisme sur cette base. Ce concept d’Athanase fut une déviation de la foi extrêmement dangereuse, car elle ouvrit la porte au paganisme. » [Rousas John Rushdoony,


     

    *Note MAV: certains affirment que c’est antérieur. Notamment le mot « Tinité » fut utilisé par Tertullien. Wikipedia écrit: Le Souverain pontife souligna, à propos de la Sainte Trinité : « De plus, Tertulien accomplit un pas immense dans le développement du dogme trinitaire : il nous a donné en latin le langage adéquat pour exprimer ce grand mystère, en introduisant les termes « une substance » et « trois personnes ». De même, il a beaucoup développé aussi le langage qui exprime correctement le mystère du Christ, Fils de Dieu et vrai homme5. ». Donc une nouvelle théologie avec un mot que la Bible n’a jamais utilisé et qui réduit Jésus et le Saint-Esprit à des « personnes », tout comme le Père. Il y a ausssi une déclaration d’Irénée, vers l’an 200.« Nous avons reçu le baptême pour la rémission des péchés au nom de Dieu père et au nom de Jésus Christ le fils de Dieu incarné et mort et ressuscité, et dans l’Esprit saint de Dieu. (Démonstration de la prédication apostolique, 3) » ». Nous voyons déjà qu’il est rajouté dans la Bible qui ne dit jamais « au nom de Dieu le Père, au nom du Fils et au nom du Saint Esprit », mais « au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit« . 

     

    De ce premier concile œcuménique sortit deux crédos, l’un nommé Credo de Nicée, rédigé par Athanase, et le Credo d’Athanase qui porte son nom, mais qui fut écrit par un des disciples d’Augustin. La forme des trinités présentée dans ces crédos se compose de deux dieux et une déesse que l’on déguisa sous des noms chrétiens et bibliques. Ces concepts de la trinité sont devenus les doctrines pivots du catholicisme et, jusqu’à un certain degré, du protestantisme. En réalité, elles proviennent directement du néo-platonisme et des religions à mystères de Babylone et d’Égypte, du Druidisme et du Mithraïsme.

    The New Encyclopaedia Britannica (1976), Micropaedia, tome X, p. 126, dit ceci : « Le mot Trinité ne figure pas dans le Nouveau Testament. La doctrine qu’il désigne n’y est jamais énoncée explicitement. Jésus et ses disciples n’ont certainement pas voulu renier le Shema de l’Ancien Testament, savoir : “ Ecoute, Israël, l’Eternel notre Dieu est le seul Eternel ”(Deutéronome 6:4). Cette doctrine a pris forme progressivement, sur plusieurs siècles et à travers bien des controverses … Vers la fin du IVe siècle … la doctrine de la Trinité avait reçu en grande partie la forme qu’elle a toujours gardée depuis. »

    La nation d’Israël, comme le démontre l’histoire du peuple de Dieu à ses débuts, ne croyait pas à la trinité, mais au Shema que nous venons de lire. Par contre, les Babyloniens et les Égyptiens adoraient des triades de divinités. Les nations païennes avaient-elles donc acquis une connaissance de la nature de Dieu plus précise que celle d’Abraham et de Moïse avec qui l’Éternel avait passé des alliances ? Il me semble que poser la question, c’est y répondre.

    Dans The Encyclopedia Americana (1956), tome XXVII, p. 194L, nous pouvons lire : « De Jérusalem à Nicée, on est loin d’avoir cheminé en ligne droite. La doctrine trinitaire du IVe siècle ne donnait pas une idée exacte des croyances des premiers chrétiens sur la nature de Dieu ; elle en constituait au contraire une déviation. »

    Après la mort des apôtres, et au fil des siècles qui suivirent, il y eut des divisions dans le christianisme naissant. Des sectes surgirent, résultats de divers schismes de « chrétiens » qui n’étaient pas en accord avec la saine doctrine et qui se séparèrent des congrégations enseignant l’héritage reçu de Christ et de Ses apôtres. De toutes ces nouvelles sectes, une domina particulièrement sur les autres : l’Église catholique romaine. Cette église fit sentir son influence dans tous les coins de l’Empire romain. Cependant, ce n’est qu’en son sein que l’on enseignait la doctrine trinitaire. En dehors, il n’en était pas question et on ne s’accordait pas avec elle. Seules les Églises catholique et orthodoxe enseignèrent le concept de la trinité dans le monde de la chrétienté et ce, jusqu’à l’époque de la Réforme, en 1517. Les Réformateurs, dont la grande majorité émergea des milieux catholiques, récupérèrent la doctrine trinitaire et l’amenèrent avec eux dans les églises protestantes.

    Origine véritable de la doctrine de la trinité :

    la Kabbale et les mystères de Babylone

    Ainsi, ce n’est pas par une étude poussée des Écritures que les « pères de l’Église » catholique ont « découvert » le concept de la trinité. Se sont-ils sincèrement trompés ou avaient-ils plutôt un motif caché ? Pourquoi ont-ils inséré la trinité dans leurs divers crédos ? Ces fameux « pères de l’Église » ― à ne jamais confondre avec les apôtres et les disciples de Christ de l’Église du premier siècle ― étaient imbibés d’ésotérisme et de gnosticisme. Ils baignaient déjà dans la kabbale et ils croyaient à ses dogmes tordus. Ils faisaient carrément partie de ce que Christ appelle la Synagogue de Satan dans Apocalypse 3:9, descendants de ceux qui ont tué Jésus-Christ. Ils adoraient donc de faux dieux et tenaient à les faire entrer dans le christianisme naissant. C’est ainsi qu’ils ont introduit peu à peu, concile après concile, les multiples fausses doctrines ésotériques de la Religion à Mystères et les fêtes du paganisme babylonien. Donc, ils ont fini par insérer le concept d’un Dieu en trois personnes au sein même du christianisme officiel du temps de Constantin.

    À partir d’ici, je vais tirer des extraits d’un livre qui enseigne la Kabbale. Le texte est parfois ardu à comprendre et étrange dans sa description des concepts babyloniens, mais il démontre que l’enseignement de la trinité n’a rien de chrétien et remonte en des temps bien antérieurs à l’époque de Jésus. Constatons d’abord une connexion étroite entre la pensée kabbalistique et la pensée catholique :

    « La science de la Kabbale rend impossible le doute en matière de religion, parce que seule elle concilie la raison avec la foi en montrant que le dogme universel diversement formulé, mais au fond toujours et partout le même, est l’expression la plus pure des aspirations de l’esprit humain éclairé par une foi nécessaire. Elle fait comprendre l’utilité des pratiques religieuses qui, en fixant l’attention, fortifient la volonté, et jette une lumière supérieure également sur tous les cultes. Elle prouve que le plus efficace de tous les cultes est celui qui par des signes efficaces rapproche en quelque sorte la divinité de l’homme, la lui fait voir, toucher et en quelque sorte se l’incorporer. C’est assez dire qu’il s’agit de la religion catholique. Cette religion, telle qu’elle apparaît au vulgaire, est la plus absurde de toutes parce qu’elle est de toutes la mieux révélée ; j’emploie ce mot dans son véritable sens, revelare, revoiler, voiler de nouveau. Vous savez que, dans l’Évangile, il est dit qu’à la mort du Christ, le voile du temple se déchira tout entier et tout le travail dogmatique de l’Église à travers les âges a été de tisser et de broder un nouveau voile. » [Papus (Dr Gérard Encausse), La Cabbale – tradition secrète de l’occident, Éd. Dangles, Paris, p. 48.]

    C’est un outrage de dire que l’Église aurait servi à revoiler la vérité ! Mais il faut comprendre que l’auteur kabbalistique parle de l’Église catholique. Or, refermer le voile du Temple, c’est refuser de reconnaître le Sacerdoce royal et éternel de Christ en Melchisédec. Mais, dans la kabbale, Jésus n’est pas reconnu comme le Christ.

    « J’ai établi dans mes ouvrages que le culte chrétien-catholique est la haute magie organisée et régularisée par le symbolisme et la hiérarchie … Si le dogme chrétien-catholique est entièrement kabbalistique, il en faut dire autant de ceux des grands sanctuaires de l’ancien monde. » [p. 49.]

    Les deux derniers paragraphes en disent long sur l’influence des kabbalistes sur la création du catholicisme. Dès ses débuts, l’Église du Vatican fut un nid truffé de kabbalistes et de sorciers. Il n’est donc pas étonnant de voir qu’elle adopta la doctrine de la trinité, doctrine qui remonte au temps de Nemrod.

    La Kabbale est le livre sacré de la magie juive à travers les siècles par laquelle passe aujourd’hui l’enseignement de tous les préceptes de la Religion à Mystères de Babylone la Grande. Voici ce que raconte encore le kabbaliste Gérard Encausse dans son livre :

    « La Cabbale rabbinique, relativement récente comme rédaction, était connue de fond en comble dans ses sources écrites ou orales par les adeptes juifs du premier siècle de notre ère. Elle n’avait certainement pas de secret pour un homme de la valeur et de la science de Gamaliel … Avant tout, précisons le sens du mot Cabbale [ou Kabbale] … Ce mot a deux sens, selon qu’on l’écrit, comme les Juifs, avec le Q [Qabalah], c’est-à-dire avec la vingtième lettre de l’alphabet assyrien, celle qui porte le nombre 100, ou avec le C, la onzième lettre du même alphabet, celle qui porte le nombre 20. Dans le premier cas, le nom signifie TransmissionTradition, et la chose reste ainsi indécise ; car tant vaut le transmetteur, tant vaut la chose transmise ; tant vaut le traditeur, tant vaut la tradition.. » [p. 8.]

    « Nous croyons que les Juifs ont transmis assez fidèlement ce qu’ils ont reçu des savants Kaldéens, avec leur écriture et la refonte des livres antérieures par Esdras, guidé lui-même par le grand Maître de l’Université des Mages de Kaldée, Daniel. » [p. 9.]

    Comme nous le verrons plus loin, on prête ici des intentions aux patriarches et aux prophètes de Dieu qui sont impossibles à concilier avec ce que nous lisons dans la Bible. Cependant, on concède que les rabbins rédacteurs de la Kabbale ont reçu leur Tradition « des savants Kaldéens » ou Chaldéens, c’est-à-dire, les prêtres de l’ancienne Babylone.

    « La Kabbale est une des plus célèbres parmi les doctrines de l’Occultisme traditionnel ; elle est l’expression de la philosophie ésotérique des Hébreux. Son père ou mieux son fondateur est le patriarche Abraham, d’après les rabbins … Il paraît, au dire des plus fameux rabbins, que Moyse [Moïse] lui-même, prévoyant le sort que son livre devait subir et les fausses interprétations qu’on devait lui donner par la suite des temps, eut recours à une loi orale, qu’il donna de vive voie à des hommes sûrs dont il avait éprouvé la fidélité, et qu’il chargea de transmettre dans le secret du sanctuaire à d’autres hommes qui, la transmettant à leur tour d’âge en âge, la fissent ainsi parvenir à la postérité la plus reculée. Cette Loi orale que les Juifs modernes se flattent encore de posséder se nomme Kabbale, d’un mot hébreu qui signifie ce qui est reçu, ce qui vient d’ailleurs, ce qui se passe de mains en mains … Comme Moyse était un initié égyptien, la kabbale doit offrir un exposé complet des mystères de Mizraïm ; mais il ne faut pas oublier non plus qu’Abraham fut pour beaucoup dans la constitution de cette science ; et comme le nom de ce personnage symbolique et sa légende indiquent qu’il représentait un collège de prêtres chaldéens, on peut dire que la kabbale renferme aussi les mystères de Mithras. Je ne puis donner ici les preuves de tout ce que j’avance… » [pp. 52-53.]

    J’attire votre attention sur ce flagrant anachronisme. Les rabbins veulent nous faire croire que Moïse aurait reçu de Dieu une Loi orale (la Kabbale) en même temps que la Loi écrite (la Torah), deux systèmes légaux ou doctrinaux se contredisant en tout point. Comme si Dieu avait dit à Moïse : « Écris ceci et donne-le au peuple pour qu’il le suive. » Puis, Dieu aurait dit à Son patriarche : « Maintenant, écoute cette autre loi que tu transmettras oralement et qui viendra détruire ce que je te prescris par écrit. »

    Ces rabbins adorent-ils un Dieu incohérent ? Oui, en vérité ! Mais il ne s’agit pas du seul vrai Dieu. Ils ont pour dieux le diable et eux-mêmes ! Vous noterez ensuite que l’auteur de ce livre affirme que Moïse n’aurait pas reçu cette loi orale de Dieu, mais qu’il l’aurait apportée avec lui d’Égypte. Puis, l’auteur arrive avec Abraham en disant que c’est plutôt lui qui aurait hérité de cette Kabbale des Chaldéens, en supposant qu’il faisait partie d’un collège de prêtres païens ! Faut quand même le faire ! Un paragraphe rempli de contradictions et d’incohérence. Mais également révélateur sur l’origine de la Kabbale. L’auteur peut bien dire qu’il n’a pas trouvé de preuves à tout cela !

    « La théorie de la Kabbale pratique se rattache à la théorie générale de la magie. » [p. 33.]

    « L’explication mystique de ce Tarot formait la base de l’enseignement oral de la magie pratique qui conduisait le kabbaliste initié jusqu’à la prophétie. » [p. 36.]

    La Kabbale, c’est la magie dont l’Éternel a dit qu’Il ne voulait pas que nous la pratiquions sous quelque forme que ce soit. De plus, c’est cette Kabbale, ou Tradition que Jésus condamna en termes sans équivoque quand Il S’adressa aux pharisiens qui la pratiquaient. Il devient évident que les kabbalistes n’adorent pas le Dieu de la Bible.

    Maintenant, passons à ce qui nous intéresse plus particulièrement : la doctrine de la trinité. Dans les passages qui vont suivre, il n’est pas nécessaire de tout comprendre le charabia complexe de l’ésotérisme kabbalistique. L’essentiel est de bien saisir que le concept de la trinité tire son origine l’origine du culte ésotérique.

    « 1) Depuis la lettre aleph ) jusqu’à la lettre w iod le monde invisible, c’est-à-dire, le monde angélique, (intelligence souveraine recevant les influences de la première lumière éternelle attribuée au Père de qui tout émane). 2) Depuis la lettre n caph jusqu’à celle nommée tsadé c différents ordres d’anges qui habitent le monde visible, c’est-à-dire le monde astrologique attribué à Dieu le Fils, qui signifie la divine sagesse qui a créé cette infinité de globes circulant dans l’immensité de l’espace dont chacun est sous la sauvegarde d’une intelligence spécialement chargée par le créateur de les conserver et les maintenir dans leurs orbes, afin qu’aucun astre ne puisse troubler l’ordre et l’harmonie qu’il a établis. 3) À partir de la lettre tsadé c jusqu’à la dernière nommée t thau, l’on désigne le monde élémentaire attribué par les philosophes au Saint-Esprit. C’est le souverain Être des êtres qui donne l’âme et la vie à toutes les créatures. » [pp. 76-77.]

    La Kabbale divise l’alphabet hébreu en trois sections qui rejoignent ainsi la trinité que l’on retrouve dans la Religion à Mystères de Babylone et par suite dans tous ses ersatz.

    « Si l’on en croit l’antique tradition orale des Hébreux ou Kabbale, il existe un mot sacré qui donne, au mortel qui en découvre la véritable prononciation, la clé de toutes les sciences divines et humaines. Ce mot que les Israélites ne prononcent jamais et que le grand prêtre disait une fois l’an au milieu des cris du peuple profane est celui qu’on trouve au sommet de toutes les initiations, celui qui rayonne au centre du triangle flamboyant au 33e degré franc-maçonnique de l’Écossisme, celui qui s’étale au-dessus du portail de nos vieilles cathédrales, il est formé de quatre lettres hébraïques et se lit iod-hé-vau-hé tNtw. » [p. 90.]

    L’adoration du Tétragramme (la gématrie ou l’évocation d’une formule magique) s’est donc répandu partout dans les diverses religions et dans les sociétés secrètes.

    « Au-delà de la Trinité considérée comme loi, rien n’existe plus. La Trinité est la formule synthétique et absolue à laquelle aboutissent toutes les sciences, et cette formule, oubliée quant à sa valeur scientifique, nous a été intégralement transmise par toutes les religions, dépositaires inconscients de la Science Sagessedes primitives civilisations. » [p. 93.]

    Voilà ! Est-ce assez clair ?

    « La Kabbale établit d’abord une loi générale, dont la création entière ne sera qu’une application. Cette loi, c’est la trinité, dérivée d’une unité primordiale, si l’on étudie les origines, aspirant à la fusion en l’Unité si l’on étudie les fins, ou se développant en un cycle si l’on étudie la vie ou la période d’état. » [p. 103.]

    Et ne pas croire à cette trinité nous fait porter l’anathème des « initiés » de la kabbale !

    « La première manifestation Divine, celle par laquelle Dieu créant le principe de la Réalité crée par là même éternellement sa propre immortalité : c’est la Trinité. Cette Trinité première, prototype de toutes les lois naturelles, formule scientifique absolue autant que principe religieux fondamental, se retrouve chez tous les peuples et dans tous les cultes plus ou moins altérée. Que ce soit le Soleil, la Lune et la Terre ; Brahma, Vichnou, Siva ; Osiris-Isis, Horus ou Osiris, Ammon, Phta ; Jupiter, Junon, Vulcain ; le Père, le Fils, le Saint-Esprit ; toujours elle apparaît identiquement constituée. La Kabbale la désigne par les trois noms suivants : ChocmahBinahKether. » [pp. 151-152.]

    En faisant un survol des systèmes doctrinaux des innombrables religions qui pullulent dans le monde, on se rend compte qu’il y a une multitude de trinités groupant les faux dieux. Toutefois, elles proviennent toutes de la même souche : Nemrod (le Père), Sémiramis (la Mère ou le Saint-Esprit) et Thammuz (le Fils). Et l’on ose associer le seul vrai Dieu unique à tous ces faux dieux païens et ce, au sein même des églises se disant « chrétiennes » et proclamant croire à la Bible !

    « La philosophie panthéiste étudie la vie de Dieu ou cet être collectif appelé par la Kabbale Adam-Ève (tNtw). C’est l’humanité qui s’adore elle-même dans un de ses membres constituants. Les théistes et les religions étudient surtout l’Esprit de Dieu. De là leurs discussions subtiles sur les trois personnes et leurs manifestations. Mais la Kabbale est au-dessus de chacune de ces croyances philosophiques ou religieuses. Elle synthétise le Matérialisme, le Panthéisme et le Théisme dans un même total dont elle analyse les parties sans cependant pouvoir définir cet ensemble autrement que par la formation mystérieuse de Wronski : X. » [p. 156.]

    « Cette idée de Trinité se retrouve partout dans le Sepher … Considérons chaque Trinité comme une seule personne et nous allons voir apparaître une Trinité positive, une Trinité négative et l’Unité qui les accorde dans le Septénaire. » [p. 200.]

    Le concept de triades de divinités existe depuis des siècles avant la première venue de Jésus-Christ. Elle est au centre de la théologie ésotérique que fonda Nemrod à Babel et elle se perpétua ensuite parmi les sectes d’initiés et les sociétés secrètes qui se succédèrent. La trinité, c’est du polythéisme, c’est-à-dire, l’adoration d’une multitude de dieux groupés en triades plus ou moins fermées. C’est également la négation du seul vrai Dieu unique !

    Les trinitaires ne trouveront donc aucune Écriture qui déclare : « Il n’y a qu’un Dieu consistant en trois personnes » dans la Bible. C’est plutôt dans les anciens écrits ésotériques inspirés par Satan qu’ils retrouveront ce concept étrange de trois personnes n’en formant pourtant qu’une seule, ceci défiant toute logique.

    La conclusion de ce débat est subséquemment très simple : Dieu est un et la doctrine de la trinité est et sera toujours en conflit perpétuel avec les Écritures.

    La Famille de Dieu n’est pas fermée aux humains comme Satan nous le laisse croire depuis Adam et Ève. Au contraire, cette famille est accessible à tous ceux qui veulent faire la volonté de Dieu pour y parvenir. Cette famille divine vous est également ouverte ainsi qu’à votre famille et à vos amis.

    Vous pouvez ainsi naître immortel un jour, avec un corps glorieux comme celui de Jésus lors de Sa résurrection, et vivre éternellement à l’image de Dieu lors du retour de Jésus. La clé est d’accepter Jésus et Son sacrifice ultime comme étant le seul par lequel il vous est possible d’atteindre l’immortalité. Ayant alors accepté ce défi, il vous faut demeurer fidèle au cheminement déjà tracé par votre Sauveur durant la balance de votre vie. La route sera parfois difficile et remplie d’épreuves : « Mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin sera sauvé », Jésus Lui-même vous le confirme dans Matthieu 24:13. C’est ce que je souhaite de tout cœur à tous ceux qui seront touchés par ce message au point de vouloir donner leur vie à Dieu et cheminer ainsi vers le majestueux Royaume qu’Il viendra établir bientôt sur cette terre.

    [1] « La révélation chrétienne de Dieu comporte un paradoxe. Il n’y a qu’un seul Dieu et le monothéisme de l’Ancien Testament est fidèlement maintenu. Ce Dieu se manifeste comme Père qui a un Fils, avec lequel il est en relation dans l’unité d’un même Esprit. Non pas trois dieux, mais un seul Dieu en trois personnes, auxquels l’Écriture donne trois noms divins, en les distinguant avec précision : Père, Fils et Saint-Esprit, qui accomplissent, dans cette communion divine, un même salut pour les hommes. » [Catéchisme pour adultes, par Les évêques de France, Association épiscopale catéchistique, 1991, p. 148.]

    « Quand nous considérons l’œuvre de notre rédemption, nous reconnaissons ce que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ont fait pour nous. Nous pouvons jeter un regard sur le plus profond mystère de notre Foi, le mystère d’un seul Dieu en trois personnes […] La vérité d’un seul Dieu en trois Personnes est le plus grand mystère de notre FoiNous ne pouvons pas le comprendre. Il nous faudrait l’intelligence de Dieu. » [Catéchisme biblique, Éditions Fides, 1962, Imprimatur 1957, pp. 110-111.] (Les mots mis en gras le sont par nous.)

    [2] Arianisme : Doctrine d’Arius, qui enseignait que, dans la Trinité, le Fils n’est pas égal au Père, qu’il n’est pas de même nature et ne participe pas à son éternité. La divinité du Christ n’était donc que secondaire et subordonnée. (L’arianisme, qui causa des troubles graves sur les plans religieux et politique, fut condamné par le concile de Nicée [325] et par celui de Constantinople [381].) [Petit Larousse Illustré, 1988.]

    Gloire, Hommage et Louange au seul vrai Dieu : le Dieu d’Israël !

    Dans la même ligne:

    OUI A ELOHIM, NON A LA TRINITE: JUIFS Venez A Jesus (EMMANUEL)



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