• Joni a gardé la foi, malgré la tétraplégie et un cancer

     

     

    Joni a gardé la foi, malgré la tétraplégie et un cancer
     

     

    Joni a gardé la foi, malgré la tétraplégie et un cancer

     

    14.08.15 - On connaissait Joni Eareckson Tada, la tétraplégique qui affirmait sa foi en Dieu. Aujourd’hui, Joni & Ken. Un amour à toute épreuve (éd. Ourania) retrace dans un récit à deux voix les coulisses de son mariage. Un témoignage authentique et stimulant, source à la fois de rires et de larmes.
    Entretien exclusif.
    En dévoilant vos difficultés de couple, quel message cherchez-vous à transmettre?
    Ken et moi avons appris que les meilleures relations ne sont pas servies sur un plateau d'argent. Elles sont construites. Mon handicap nous a forcés à une communication ouverte et honnête entre nous, et nous a conduits à nous confier en Dieu pour nos besoins.
    Dans votre couple, chacun avait un handicap: vous, la tétraplégie et Ken, une tendance à la dépression. Quels étaient vos atouts?
    Notre point fort à tous les deux, c’est d’avoir compris que nous sommes vulnérables. En reconnaissant nos faiblesses, nous puisons notre force auprès de Dieu, et Dieu seul. Ainsi, plus chacun se rapproche de Dieu, plus nous trouvons auprès de lui la capacité de nous encourager et de nous aimer.

    Vous est-il arrivé de penser que vous vous étiez trompée de mari?
    Honnêtement, cette pensée ne m’a jamais traversé l’esprit! Certes, notre relation m’a profondément déçue au début. Mais ceci m’a forcée à entamer une vie de prière pour Ken. Pendant qu’il regardait les matchs de football américain à la télévision, je parcourais ma Bible à la recherche de versets qui pourraient inspirer mes prières pour lui.
    Je n’ai pas observé de changements immédiats chez Ken, en réponse à mes prières. En revanche, j’ai constaté que mon attitude envers lui changeait progressivement. Ma déception s’est ainsi estompée et j’ai appris à apprécier d’autres qualités chez lui.
    Sans enfant, votre couple a néanmoins été «fécond» au profit des personnes handicapées. Racontez-nous une expérience qui vous a réchauffé le cœur.
    Chaque été, notre association organise des camps pour les familles dont l’un des membres souffre d’un profond handicap: vingt-sept à travers les Etats-Unis, dix-sept dans les pays en voie de développement. L’été dernier, une jeune fille trisomique m’a dit: «Joni, heureusement que vous vous êtes cassé le cou.
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