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Le conflit israélo-palestinien disséqué
« Il m’a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d’une manière suivie afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus. » Luc 1.3
AVERTISSEMENT : LA GRANDE MAJORITÉ DES TEXTES UTILISÉS DANS CES VIDÉOS PROVIENNENT DES ANCIENS MANUSCRITS BIBLIQUES DATÉS DE PLUSIEURS MILLIERS D’ANNÉES ET DONT LA FIABILITÉ A ÉTÉ DÉMONTRÉE PAR LES EXPERTS.
Les médias officiels : fidèles reflet des contres vérités
Souvent, sur un sujet sensible donné, il suffit de sonder la tendance générale véhiculée par les médias officiels pour s’apercevoir que la vérité est à l’extrême opposé et/ou que des éléments majeurs sont passés sous silence permettant ainsi de ne pas comprendre la réalité des enjeux. Le conflit israélo-palestinien illustre très bien cet état de fait. Cependant, la désinformation est tellement présente que de plus en plus de personnes attentives et curieuses démasquent aisément l’immense corruption médiatique dont les méfaits sont heureusement dévoilés grâce au seul média qui n’est pas encore totalement contrôlé ni censuré : internet.
Nul ne peut nier que la tendance des médias actuels et d’un grand nombre de personnes, est de rarement mettre en avant l’aspect religieux et biblique de ce conflit. Pourtant, essayer de comprendre le conflit israélo-palestinien sans considérer l’aspect religieux et spirituel, mène inévitablement à des conclusions erronées, incomplètes et même dangereuses. En effet, pour un conflit opposant deux populations profondément influencées par leur religion respective, cela serait une erreur majeure que de mettre de côté l’aspect spirituel et religieux des deux belligérants ; plus encore que dans n’importe quel autre sujet, cela reviendrait à essayer de regarder un film en noir et blanc sans audio alors que vous avez la possibilité de visionner la version Full HD avec un son Imax dans votre langue…
Sans se préoccuper des textes sacrés ni de la sagesse des sages, la tendance consiste à jeter l’opprobre sur le peuple d’Israël et à condamner son comportement criminel : un peuple colonisateur sans foi ni loi, un peuple raciste qui pratiquent l’apartheid, qui viole de nombreuses résolutions de l’ONU, massacrant des civils femmes et enfants par d’incessants raids aériens, et faisant de surcroît un blocus sur la bande de Gaza, transformant cette région en une prison à ciel ouvert pour les uns, un camps de concentration pour les autres, en bref : une zone infernale où règnent la mort et la pauvreté. Les palestiniens sont les victimes, Israël l’agresseur criminel. Ce n’est pas une guerre disent-ils, c’est un massacre, un génocide, un crime contre l’humanité. Dans les prochaines vidéos, nous verrons plus en détail pourquoi ces accusations contre Israël sont effectivement mensongères et basées sur des extrapolations complètes de la vérité, ainsi qu’une tendance à généraliser l’exception tout en présentant des faits largement sortis de leur contexte avec une volonté d’ignorer tous les faits contraires à ces thèses accusatrices.
Puisque la vérité se trouve souvent être à l’opposé de la tendance générale véhiculée par les médias officiels, cette série de vidéos manifestera et dévoilera volontairement quantité d’informations allant directement à contre courant de la pensée dominante. Les mauvaises langues jetteront toujours leur venin face à tout courant qui s’opposerait à leur propre conception des choses, cependant, il ne s’agira ici ni de sionisme ni d’antisionisme mais tout simplement d’une analyse logique et objective étayée par quantité de preuves irréfutables de la dimension divine, spirituelle, prophétique et donc biblique de ce conflit. Evidemment, le peuple d’Israël, le gouvernement et la politique sont loin d’être sans fautes, bien au contraire, et d’ailleurs quel gouvernement ou quel individu peut se prétendre sans faute ? Puisque les médias officiels se chargent donc très bien de mettre en avant le prétendu comportement criminel et fautif d’Israël, cette série de vidéo n’insistera pas ou peu sur ces aspects pour plutôt se concentrer sur des informations inédites très peu entendues car très peu relayées par la masse média incrédule et/ou complice de la corruption ambiante.
Fermer les yeux sur les fautes d’Israël ?
Avant tout, une clarification s’impose. Dès qu’une personne désire parler favorablement d’Israël, il est notable de constater le jugement hâtif de la plupart des opposants : « vous cautionner leurs crimes et leur comportement ». Envers tous ceux qui veulent jeter la première pierre sur qui que ce soit, Le Maître incontesté a fait cette célèbre déclaration : « Que celui de vous qui est sans péché, jette le premier la pierre » (Jean 8.7).
Il ne s’agit évidemment pas de fermer les yeux sur les fautes d’Israël : oui le gouvernement n’est pas parfait, oui les israéliens eux-mêmes commettent beaucoup de fautes, et nous-même, qu’en est-il ? Chaque pays n’a-t-il pas son lot de corruption et d’actions injustes et coupables ? Bien des israéliens savent eux-même que la presse est corrompue, que le gouvernement est loin d’être sans fautes, mais ce constat ne se limite pas à Israël. Nous-mêmes, sommes-nous parfaits ? Oui, il existe des extrémistes honteux et cruels au sein de la LDJ, du BETAR. Oui, des extrémistes sont présents dans ce peuple et évidemment il n’est pas question ici de justifier toutes ces dérives qui se retrouvent malheureusement partout.
D’un autre côté, beaucoup défendent aveuglément Israël avec parfois même une passion frisant le fanatisme religieux, tandis que d’autres ne cessent de s’y opposer aveuglément avec un automatisme machiavélique des plus
suspect. Lorsque certains s’opposent à tout dialogue jusqu’à déconsidérer toute personne n’étant pas juive de sang (pourtant la notion de pur sang n’existe pas dans le judaïsme), certains affirment gratuitement que les israéliens ne sont ni le peuple de Dieu, ni sur leur terre, tandis que d’autres encore vont parfois jusqu’à les taxer de nouveaux Nazis, de peuple monstrueux et criminel méritant la mort… Cependant, sans non plus idolâtrer ce peuple, il serait également totalement injuste de fermer les yeux sur les nombreux aspects positifs des israéliens, que cela soit aussi bien au niveau spirituel, intellectuel qu’humain.
Accuser ou faire des éloges d’une manière aveugle n’est jamais bonne chose. Les deux positions sont évidemment dangereuses et il s’agit une fois encore de trouver la balance juste et « le poids juste qui est agréable à l’Éternel » (Proverbes 11.1). N’oublions donc pas que Dieu lui-même, dans ce qu’il dit dans la Bible hébraïque, est très loin de n’avoir fait que des éloges sur son peuple, au contraire : Dieu s’est souvent irrité à la vue de leurs péchés et en de nombreuses reprises, Il les a sévèrement réprimandé en des termes loin d’être élogieux et par des sanctions particulièrement lourdes, à la hauteur de leurs transgressions. Le grand exil ayant duré plus de 2000 ans n’est pas le fruit du hasard. Cependant, Dieu a juré d’y mettre un terme. Comme un Père chérit son Fils, Dieu châtie ceux celui qu’il aime. Cependant, jamais il ne les a abandonné selon qu’il est écrit : « Je lui donnerai la guérison et la santé, je les guérirai, Et je leur ouvrirai une source abondante de paix et de fidélité. Je ramènerai les captifs de Juda et les captifs d’Israël, Et je les rétablirai comme autrefois. » (Jérémie 33.6) car l’Éternel est celui « qui fait la plaie et qui la bande; il frappe, et ses mains guérissent. » (Job 5.18).
Au lieu de fustiger le mauvais comportement de ce peuple, suivons donc la sagesse de Dieu qui nous invite à « prier pour la paix de Jérusalem » et « à consoler son peuple » mais aussi à ne pas se taire face à certains de leurs péchés : « Tu auras soin de reprendre ton prochain, mais tu ne te chargeras point d’un péché à cause de lui. » (Ésaïe 58.1)
Dieu est très clair, c’est un Dieu de Vérité et, tout en tenant ses promesses à leur égard, il prend soin de rappeler à la maison d’Israël certaines vérités afin que nul ne puisse concevoir de l’orgueil dans son coeur : « Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel : Ce n’est pas à cause de vous que j’agis de la sorte, maison d’Israël; c’est à cause de mon saint nom, sachez-le ! Ayez honte et rougissez de votre conduite, maison d’Israël ! ». Cependant, une malédiction se posera sur la tête de quiconque se permettrait de maudire et de médire sur le peuple de Dieu : « Je maudirai ceux qui te maudiront ». Dans tous les cas, il est évident qu’il ne faut jamais répondre « au mal par la mal » mais plutôt être « vainqueur du mal par le Bien », quelle que soit la personne.
Sur des sujets aussi épineux, il semble donc judicieux de laisser la parole aux divers spécialistes (voir vidéos et suite de l’article) afin de comprendre plus en détail des vérités souvent trop mises sous silence.
Preuve Divine et Historique de la Légitimité D’Israël
Les prophéties bibliques ne peuvent être plus claires : Dieu conduit son peuple contre vents et marrés jusqu’à destination selon qu’il est écrit : « Celui qui a dispersé Israël le rassemblera, Et il le gardera comme le berger garde son troupeau. » (Jérémie 31.10).
L’objet de cet article n’est pas d’expliquer l’histoire d’Israël ni pourquoi Dieu a dispersé Israël et les ramène après plus de 2000 ans d’exil. Pour cela, nous vous conseillons divers ouvrages que nous recommanderons volontiers à ceux qui le demandent. La vidéo suivante permet aussi d’approfondir certaines choses : Le destin surnaturel du peuple d’Israël : la preuve ultime de l’existence et de la vérité du Dieu de la Bible
Dieu ne ment pas et il tient ses promesses faites aux patriarches Abraham, Isaac et Jacob. Dieu a promis de ramener Israël un jour sur leur terre d’origine et de mettre un terme à leur exil dans le monde entier. C’est précisément ce que le monde ne peut que constater depuis plus d’un siècle : Dieu ramène son peuple. Que vous soyez sionistes ou antisioniste, cela importe peu : Dieu agit par des voies que lui seul connaît en sorte que sa parole s’accomplit : « L’Éternel est notre Dieu; Ses jugements s’exercent sur toute la terre. Il se rappelle à toujours son alliance, Ses promesses pour mille générations, L’alliance qu’il a traitée avec Abraham, Et le serment qu’il a fait à Isaac; Il l’a érigée pour Jacob en loi, Pour Israël en alliance éternelle, Disant : Je te donnerai le pays de Canaan Comme héritage qui vous est échu. »
La Torah(Bible) nous dit qu’il y a 3000 ans, le peuple d’Israël devrait s’exiler de la terre d’Israël. Le peuple serait réparti aux 4 coins du monde. La Torah annonce qu’ils resteraient en petit nombre de personnes entre les nations du monde, et qu’ils n’auraient jamais de repos complet jusqu’à l’arrivée du Messie. De plus, ils attireraient sur eux l’attention du monde. Toutes ces choses ont lieu et se déroulent aujourd’hui encore.
Certains ouvrages de références de la littérature juive, en se basant sur une exégèse des textes bibliques, fournissent des détails prophétiques stupéfiants quant au déroulement de l’histoire, jusqu’au grand jour du jugement de Dieu et de l’arrivée du Messie. Le Zohar en fait partie. Le Zohar est un ouvrage qui apporte une étude approfondie de la Torah en y présentant des aspects ésotériques et mystiques. Bien que cet ouvrage semble détenir bien des vérités, il est formellement proscrit au profane de s’y aventurer sans une solide foi et une excellente connaissance des écritures. Les dangers pouvant en découler sont considérables.
Le Zohar écrit il y a 1800 ans, a prophétisé les 4 étapes suivantes :
1. Les Arabes régiront la Terre Sainte pour une longue période;
2. La terre sera désolée et vide au cours de leur règne;
3. Le peuple d’Israël reviendra en terre d’Israël tandis que les Arabes y résideront;
4. Les Palestiniens retarderont beaucoup les Juifs dans leur retour en Terre Sainte.
Aussi étonnant que cela puisse paraître pour le profane, tout s’est accompli à la lettre et nul ne peut le nier. Analysons donc quelques points de ces prophéties.
Il est dit qu’aucune nation ne sera en mesure de faire de la terre d’Israël une terre fructueuse au cours des 2000 ans d’absence du peuple d’Israël.
Ci-après, un texte exceptionnel du grand Chateaubriand, écrit dans les années 1800 et expliquant que l’état misérable dans lequel vivent les Juifs ne diminue en rien leurs droits sur la terre d’Israël. L’auteur du « génie du Christianisme » soutient, par ailleurs, que seul Israël est témoin et bénéficiaire d’un miracle permanent :
« Voyez cet autre petit peuple qui vit séparé du reste des autres habitants de la cité. Objet particulier de tous les mépris, il baisse la tête sans se plaindre ; il souffre toutes les avanies sans demander justice ; il se laisse accabler de coups, sans soupirer. Il a assisté dix sept fois à la ruine de Jérusalem et rien ne peut l’empêcher de tourner ses regards vers Sion. Quand on voit les Juifs dispersés sur la terre, selon la parole de Dieu, on est surpris, sans doute, mais, pour être frappé d’un étonnement surnaturel, il faut les retrouver à Jérusalem ; il faut voir ces légitimes maîtres de la Judée, esclaves et étrangers dans leur propre pays; Il faut les voir attendant, sous toutes les oppressions, un roi qui doit les délivrer. Les Perses, les Grecs, les Romains ont disparu de la terre ; et un petit peuple, dont l’origine précéda celle de ces grands peuples, existe encore sans mélange dans les décombres de sa patrie. Si quelque chose parmi les nations porte le caractère du miracle, nous pensons que ce caractère est ici. » (CHATEAUBRIAND Itinéraire se Paris à Jérusalem. 5ème partie. Oeuvre complète, Tome V p 392 Paris Garnier 1859).
Voici encore quelques extraits des écrits de Chateaubriand :
« Dans cette contrée, devenue la proie du fer et de la flamme, les champs incultes ont perdu la fécondité qu’ils devaient aux sueurs de l’homme; les sources ont été ensevelies sous des éboulements; la terre des montagnes, n’étant plus soutenue par l’industrie du vigneron, a été entraînée au fond des vallées, et les collines, jadis couvertes de bois de sycomores, n’ont plus offert que des sommets arides….
…. On a observé que les Juifs étrangers qui se fixent à Jérusalem vivent peu de temps. Quant à ceux de la Palestine, ils sont si pauvres, qu’ils envoient chaque année faire des quêtes parmi leurs frères en Egypte et en Barbarie….
…. J’avais commencé d’assez longues recherches sur l’état des Juifs à Jérusalem depuis la ruine de cette ville par Titus jusqu’à nos jours; j’étais entré dans une discussion importante touchant la fertilité de la Judée » – Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem.
Voici ce qu’en dit Mark Twain : « Une contrée désolée dont le sol est assez riche… Il y a une désolation ici que même l’imagination ne peut rendre l’éclat de la vie et de l’action….Nous n’avons pas vu un être humain sur tout le trajet … On rencontrait à peine un arbre ou un arbuste. Même l’olivier et le cactus, les amis rapides du sol sans valeur, avaient presque déserté le pays.» – Mark Twain, The Innocents Abroad. London 1881.
Bien des écrits historiques ont depuis longtemps fait le point sur l’histoire de la région. Sur la base de témoignages de gens qui sont venus visiter le pays, la Terre d’Israël était presque vide d’habitants jusqu’au début du siècle (Ce qui est bien loin de la thèse selon laquelle les Palestiniens se trouveraient ici depuis des centaines, si ce n’est des milliers d’années!)
Alphonse de Lamartine vint en visite dans la région en 1835 Dans son livre Souvenirs d’Orient, il écrivit :
« A l’extérieur des portes de Jérusalem, nous n’avons pas rencontré âme qui vive et nous n’avons entendu aucune voix humaine ». Cette description fut confirmée par l’écrivain américain Mark Twain qui vint en visite en Terre d’Israël en 1867. Dans son livre Les Promeneurs Incrédules, il écrivit: « On ne peut trouver de mots pour décrire la désolation qui règne ici Même l’imagination la plus féconde ne pourrait la peupler de vie et d’animation. Nous sommes parvenus à Tabor et nous n’avons rencontré aucune âme qui vive sur notre chemin ». Le consul britannique de Palestine rapportait en 1857 que « Cette terre est en majeure partie vide d’habitants; Par conséquent, le recours le plus urgent est de la peupler d’habitants. »
En fait, le recensement officiel réalisé par les pouvoirs ottomans en 1882, affirme qu’il n’y avait alors en Terre d’Israël que 141 000 musulmans arabes et non arabes : Une hausse de 450 % en 40 ans seulement. En 1938, il atteint plus d’un million (hausse de 800 % en 56 ans seulement). La population augmenta particulièrement dans les régions qui étaient peuplées par les Juifs.
« …quelques fûts de colonnes de granit, quelques chapiteaux sculptés se rencontrent ça et là, autour des fontaines, sous les pieds de votre cheval et vous aurez la peinture la plus exacte et la plus fidèle de la délicieuse plaine de Zabulon, de celle de Nazareth, de celle de Saphora et du Thabor. Un tel pays, repeuplé d’une nation JEUNE ET JUIVE, cultivé et arrosé par des mains intelligentes fécondé par un soleil du tropique, produisant de lui-même toutes les plantes nécessaires ou délicieuses à l’homme depuis la canne à sucre et la banane jusqu’à la vigne et à l’épi des climats tempérés, jusqu’au cèdre et au sapin des Alpes ; – un tel pays, dis-je, serait encore la terre de promission (promise) aujourd’hui, si la Providence lui rendait un peuple, et la politique du repos et de la liberté. » (Voyages en Orient, tome I p 307- Œuvres complètes, Paris, chez l’auteur, 1861, L’auteur décrit les paysages de Judée).
Il est dit que lorsque les Juifs retourneront en Israël, la terre redeviendra fructueuse. La Terre Sainte reconnaîtra ses vrais propriétaires, qu’elle a attendu durant près de 2000 ans. Seul Dieu peut être à l’origine de ce miracle. Tant que le temps n’est pas arrivé, la terre ne donnera pas ses fruits.
Voici quelques prophéties bibliques écrites il y a plus de 2500 ans :
Joel 2 : « Car les plaines du désert reverdiront, Car les arbres porteront leurs fruits, Le figuier et la vigne donneront leurs richesses. Et vous, enfants de Sion, soyez dans l’allégresse et
réjouissez-vous En l’Eternel, votre Dieu, Car il vous donnera la pluie en son temps, Il vous enverra la pluie de la première et de l’arrière-saison, Comme autrefois. Les aires se rempliront de blé, Et les cuves regorgeront de moût et d’huile. Je vous remplacerai les années Qu’ont dévorées la sauterelle, Le jélek, le hasil et le gazam, Ma grande armée que j’avais envoyée contre vous. Vous mangerez et vous vous rassasierez, Et vous célébrerez le nom de l’Eternel, votre Dieu, Qui aura fait pour vous des prodiges; Et mon peuple ne sera plus jamais dans la confusion. Et vous saurez que je suis au milieu d’Israël, Que je suis l’Eternel, votre Dieu, et qu’il n’y en a point d’autre, Et mon peuple ne sera plus jamais dans la confusion. »
Ésaïe 51 : « Ainsi l’Eternel a pitié de Sion, Il a pitié de toutes ses ruines; Il rendra son désert semblable à un Eden, Et sa terre aride à un jardin de l’Eternel. La joie et l’allégresse se trouveront au milieu d’elle, Les actions de grâces et le chant des cantiques. »
Ésaïe 4.18 : « Je ferai jaillir des fleuves sur les collines, Et des sources au milieu des vallées; Je changerai le désert en étang, Et la terre aride en courants d’eau »
Ésaïe 35.1-2 : « Le désert et le pays aride se réjouiront; La solitude s’égaiera, et fleurira comme un narcisse; Elle se couvrira de fleurs, et tressaillira de joie, Avec chants d’allégresse et cris de triomphe; La gloire du Liban lui sera donnée, La magnificence du Carmel et de Saron. Ils verront la gloire de l’Eternel, la magnificence de notre Dieu. »
Amos 9.13-15 : « Voici, les jours viennent, dit l’Eternel, Où le laboureur suivra de près le moissonneur, Et celui qui foule le raisin celui qui répand la semence, Où le moût ruissellera des montagnes Et coulera de toutes les collines. Je ramènerai les captifs de mon peuple d’Israël; Ils rebâtiront les villes dévastées et les habiteront, Ils planteront des vignes et en boiront le vin, Ils établiront des jardins et en mangeront les fruits. Je les planterai dans leur pays, Et ils ne seront plus arrachés du pays que je leur ai donné, Dit L’Eternel, ton Dieu. »
Ésaïe 27.6 : « Dans les temps à venir, Jacob prendra racine, Israël poussera des fleurs et des rejetons, Et il remplira le monde de ses fruits. »
Alors que pendant plus de 2000 ans, la terre était en friche et sans vie, ne donnant aucun fruit et avec peu d’habitants, une miraculeuse transformation s’opère depuis seulement un siècle, et précisément à partir du moment où les juifs ont commencé à revenir sur leur terre. Aujourd’hui, le monde en parle en ces termes :
« Israël est un important exportateur de produits frais et un leader des technologies agricoles, et ce malgré un climat peu propice à l’agriculture. »
Qui peut nier l’évidence ?
Les vaches israéliennes produisent la plus grande quantité et la meilleure qualité de lait au monde. Les vaches israéliennes détiennent le record du monde de la production de lait. La production moyenne annuelle dépasse même la production de lait des vaches hollandaises et américaines. Israël est l’un des leaders mondiaux pour la production de semences et l’invention de nouvelles variétés de fruits et de légumes.
• En 1995, des instituts de recherche agronomique israéliens dirigés par le Prof. Nahum Keidar et le Prof. Haim Rabinowitz, ont créé une nouvelle variété de tomates, les tomates cerises, qui ont connu un succès international et sont vendues dans le monde entier. Toutes les variétés de tomates créées par le Prof. Keidar sont cultivées maintenant dans des dizaines de pays, d’Europe au Mexique et d’Afrique du Sud au Maroc et en Iran. Les semences de toutes les variétés sont produites uniquement en Israël – à sa demande. Les melons de la variété Galia ont été produits en Israël à l’Institut Volcani et sont devenus la principale variété consommée en Europe.
• Les épices israéliennes constituent de 60 à 70% du marché européen des épices.
Israël a inventé des techniques pour cultiver certains fruits hors saison, qui sont commercialisés dans le monde entier, par exemple des fraises, des kakis et des framboises.
Source : http://www.29november.org/upload/1329385718.pdf
Il est aussi dit qu’avec le rassemblement du peuple Israël, les enfants d’Israël commenceront le processus de retour à la Thora et ses commandements :
Dans un interview récent, voici le commentaire fait par le Rav Ron Chaya : « Un sondage rendu public il y a quelques jours indiquait que de plus en plus d’Israéliens tendent à se rapprocher du judaïsme et de la pratique des commandements. Pendant 2 000 ans, les rabbins ont vécu en Diaspora. Aujourd’hui, la majorité du monde de la Torah vit en terre d’Israël. Or, la kédoucha (la sainteté) de la Terre d’Israël fait que cette Torah a un « impact spirituel » beaucoup plus puissant, comme il est dit : « Il n’y pas de Torah comme celle d’Eretz(terre) Israël ». Et je pense que le mérite de cette étude de Torah est pour beaucoup dans ce phénomène mondial de téchouva(Repentance).
Mais le plus incroyable dans tout cela, est que le système laïque lui-même devient demandeur de yiddishkeit (éducation juive religieuse). Sous l’impulsion de l’ancien ministre de l’éducation Guideon Sa’ar a été mise en place une politique de collaboration entre les écoles laïques et différents organismes religieux et éducatifs de tendances variées pour organiser des cours de Torah à l’école même, ou bien des activités éducatives sur des thèmes juifs (respect du Shabbat etc).
Ceci est sans compter les initiatives privées lancées par les écoles qui visent au même but : faire connaître le patrimoine juif religieux à des élèves qui n’y ont pas accès. La cerise sur le gâteau est constituée par ces élèves des écoles laïques qui réclament le droit de prier en minyan à l’école même (Prière accompagnée de dix adultes mature dans la foi)…
Note du site : surnommé « l’Aigle de la Synagogue » par Thomas d’Aquin, le rambam est considéré comme « le second Moïse du judaïsme ». Ces oeuvres ont profondément influencé le judaïsme : http://www.fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/1085518/jewish/Le-Rambam.htm
Le Rambam a dit : « A la fin des temps, le peuple juif fera Téchouva ». C’est ce que nous pouvons constater de nos jours. L’antisémitisme exacerbé qui s’exprime de nouveau librement aujourd’hui n’a d’autre fonction que de nous amener à nous remettre en cause et à opérer un retour vers Dieu et Sa Torah, comme l’explique rav El’hanan Wasserman (principal élève du ‘Hafets ‘Hayim) dans Kovets Maamarim. »
Le Talmud décrit la période immédiate avant l’avènement du Messie comme une période de troubles. Il y aura une récession mondiale et les gouvernements seront contrôlées par des despotes. C’est dans ce cadre troublée que le Messie arrivera ce qui est …. Exactement la Situation Mondiale actuelle !
Preuve archéologique, juridique et politique de la légitimité d’Israël
Bien que l’analyse des seules prophéties bibliques devraient inciter chacun à reconsidérer totalement le débat actuel au sujet du conflit israélo-palestinien, voici maintenant quelques arguments plus « terre à terre » concernant la légitimité d’Israël et l’origine de la Palestine.
Les pierres et le sol du Golan, de la Judée de la Samarie et de Jérusalem regorgent de vestiges hébreux. Les fouilles archéologiques des terres d’Israël sont à elles seules un témoignage historique et scientifique des antiques propriétaires de cette région apportant du même coup une pierre solide à l’édifice de l’authenticité des Saintes-Ecritures. Chaque arpent de terre porte les traces de destructions précédentes qui, pendant des siècles, ont interdit l’accès aux Lieux saints juifs et parfois ceux des chrétiens. Pourtant ceux-là mêmes qui sont revenus après deux mille ans sur cette terre ravagée et qui l’on construite, ont inscrit dans leur déclaration d’indépendance le droit à la liberté d’accès aux lieux saints de toutes les religions.
Voici un article dans lequel Joseph Farah, journaliste spécialiste du moyen orient, nous fait une excellente synthèse de la situation :
« Permettez-moi d’affirmer clairement et simplement ceci: les Juifs en Israël n’ont pris la terre de personne.
Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert (1)
Au début du XXe siècle cela commença à changer. Des Juifs venus du monde entier se mirent à revenir dans leur patrie ancestrale,
la Terre Promise que Moïse et Josué avaient conquise, des millénaires auparavant, ainsi que le croient Chrétiens et Juifs, sous les ordres directs de Dieu. Cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas toujours eu une forte présence juive sur cette terre, en particulier dans et autour de Jérusalem. En 1854, selon le compte-rendu publié dans le New York Tribune, les Juifs représentaient les deux tiers de la population de cette ville sainte. Quelle est la source de cette statistique ? Un journaliste, envoyé spécial au Moyen-Orient pour le Tribune. Il s’appelait Karl Marx, oui ce Karl Marx là.
Un guide de la Palestine et de la Syrie, publié en 1906 par Karl Baedeker, illustre ce fait : alors même que l’Empire Ottoman musulman régnait sur la région, la population musulmane de Jérusalem était minime. Ce livre estime la population totale de la ville à 60.000 habitants, dont 7.000 Musulmans, 13.000 Chrétiens et 40.000 Juifs. « Le nombre de Juifs s’est considérablement accru durant les dernières décennies, malgré l’interdiction d’immigrer ou de posséder des terres qui leur est faite », déclare ce livre. Bien que les Juifs y soient persécutés, ils venaient quand même à Jérusalem et y représentaient la vaste majorité de la population, déjà en 1906. Et bien que les Musulmans proclament aujourd’hui Jérusalem comme la troisième ville sainte de l’Islam, quand la ville était sous régime musulman, ils ne lui manifestaient que très peu d’intérêt.
Lorsque les Juifs vinrent, drainant les marécages et faisant fleurir les déserts, un phénomène intéressant se produisit. Les Arabes suivirent. Je ne les en blâme point. Ils avaient de bonnes raisons de venir. Ils ytrouvaient des emplois. Ils venaient pour la prospérité. Ils venaient pour la liberté. Et ils vinrent nombreux.
Winston Churchill observa en 1939: « Ainsi, loin d’y être persécutés, les Arabes sont arrivés en masse dans ce pays, s’y sont multipliés jusqu’à ce que leur population augmente même plus que les communautés juives de par le monde n’avaient pu mobiliser de Juifs. »
Puis arriva 1948 et la grande partition. Les Nations Unies proposèrent la création de deux Etats dans la région, l’un juif, l’autre arabe. Les Juifs l’acceptèrent avec gratitude. Les Arabes la rejetèrent férocement et déclarèrent la guerre.
Les leaders arabes demandèrent aux Arabes de quitter la zone pour ne pas être pris dans les échanges de tirs (Note Thomas : vrai et vérifié dans les dossier d’archives déclassifiés). Ils pourraient revenir dans leurs maisons, leur dit-on, après qu’Israël soit écrasé et les Juifs détruits. Le résultat ne fut pas celui qu’ils escomptaient. Selon les estimations les plus courantes, plusieurs centaines de milliers d’Arabes furent déplacés du fait de cette guerre, mais non par une agression israélienne, non par un accaparement des propriétés foncières par les Juifs, non par un expansionnisme israélien. En réalité, il existe de nombreux documents historiques montrant que les Juifs ont instamment demandé aux Arabes de rester et de vivre avec eux en paix. Mais, tragiquement, ces derniers choisirent de partir.
54 ans plus tard, les enfants et petits-enfants de ces réfugiés vivent encore beaucoup trop souvent dans des camps de réfugiés, et ce non du fait de l’intransigeance israélienne, mais parce qu’ils ont été abusivement utilisés comme outil politique par les puissances arabes. Ces pauvres malheureux auraient pu être installés en une semaine par les riches Etats arabes pétroliers, qui contrôlent 99,9% de la totalité des territoires du Moyen-Orient, mais ils sont gardés comme de véritables prisonniers, remplis de haine envers la mauvaise cible, les Juifs, et utilisés comme armes en tant que martyrs-suicide
par les détenteurs
arabes du pouvoir.
Telle est la véritable histoire moderne du conflit arabo-israélien. Jamais les Juifs n’ont arraché les familles arabes de leur foyer. Quand la terre avait un détenteur, les juifs en achetaient les titres de propriété largement excessifs, pour pouvoir avoir un lieu où vivre à l’abri des persécutions qu’ils avaient subies partout dans le monde.
Dire que les Israéliens ont déplacé qui que ce soit est un énorme et flagrant mensonge dans d’une longue série de mensonges et de mythes qui ont amené le monde au point où il est prêt à commettre, encore une fois, une autre grande injustice envers les Juifs. »
Origine de la Palestine, une invention ?
Voici un autre Article de Joseph Farah dans lequel, une fois encore, il nous livre un excellent exposé à ce sujet :
« La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu’ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?Et bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd’hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu’ils considèrent sacrés. Surpris ?
Alors comment expliquer qu’avant la guerre des Six Jours en 1967, il n’y eu aucun mouvement sérieux de revendication d’indépendance palestinienne ?« Avant 1967 ? » me direz-vous, « les Israéliens n’occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem » C’est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n’est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu’Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est. Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu’une seule résolution de l’ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non.
Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu’Israël ait gagné cette guerre ? La vérité est que la Palestine est un Mythe !Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1300 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en « Alea Capitolina », mais cela ne rencontra pas le même succès.
La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire. Jamais !
Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain.
Il n’existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens (la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques). Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient.Israël ne représente que O,1% de la superficie régionale ! Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c’est précisément là que se situe le noeud du conflit qui les oppose à Israël. Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n’y suffiront pas. Qu’en est-il des lieux saints de l’Islam ? Il n’y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque ? Vous pouvez l’être. Je suis persuadé que vous n’entendrez jamais cette vérité brutale de la part d’aucun média international. C’est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : « la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l’Islam », après la Mecque et Médine. Et bien, sachez que c’est faux ! En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !). Il n’existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem. Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l’Islam ? Les Musulmans, aujourd’hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée « le Voyage Nocturne »(1). Il y ait fait état d’un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit « du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l’enceinte ». Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l’Islam et Jérusalem – connexion faite de rêve, d’imagination, d’interprétations et de mythe. Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu’à l’époque du patriarche Abraham. Le Mont du Temple : le site le plus saint du judaïsme.
La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon.C’est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d’insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J’y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu’ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ? Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu’un homme aujourd’hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s’il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité. La poursuite des mensonges n’apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de milliers d’années pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs. »devenir l’Etat d’Israël, l’émigration arabe n’a vraiment commencé que dans les années 1920, c’est-à-dire après l’arrivée de la deuxième vague d’immigrants sionistes. Les nouveaux arrivants musulmans, désireux d’améliorer leur niveau de vie, venaient des pays arabes voisins, de Syrie, d’Egypte, d’Irak, de Jordanie, d’Arabie saoudite. Et pour information, les « Palestiniens » n’ont jamais été chassés d’une terre sur laquelle ils ne résidaient pour la plupart que depuis une vingtaine d’années. Au contraire, les dirigeants israéliens les ont supplié de rester chez eux en 1948 (cf. l’appel radio de Golda Meier), mais la plupart ont choisi d’obéir aux exhortations mensongères de leurs imams et leaders : partez maintenant, vous reviendrez une fois la victoire acquise sur les Juifs pour vous partager leurs dépouilles, sinon les Juifs vont vous massacrer, violer les femmes (cf. le mythe de Deir Yassin), etc… . Les moins malhonnêtes parmi ces leaders l’ont admis par la suite. Source : http://www.dreuz.info/2014/01/jusquen-1890-la-palestine-etait-un-desert-abandonne-les-juifs-lont-fait-fleurir/ Note du site : Beaucoup se plaisent à citer ce que l’on appelle les « nouveaux historiens israéliens » dont les études remettraient en cause les faits avérés. Cependant ces mêmes personnes oublient une fois encore de citer les noms et les études de plusieurs de ces mêmes « nouveaux historiens » dont les travaux ne font que confirmer ce qui est dit ici.Concernant la sourate du Coran parlant soit-disant de la mosquée actuelle de Jérusalem, voici ce qu’en dit Francis NADIZI, islamologue :
« Existe-t-il une base solide qui prouverait qu’il est ici parlé de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem ? La réponse est : Non ! Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que en l’an 732 par les omeyades par le calife Omar qui fit de Jerusalem une capitale administrative (voir dossier archeologie dans migdal). Durant cette période, il n’y avait que des églises dans la ville et sur le Mont du Temple se trouvait une synagogue.
Vers l’an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, elle fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l’incompréhensible sourate 17 du Coran. Mahomet ne pouvait donc pas penser à cette mosquée quand ces descendants ecrivirent le Coran, puisqu’elle n’exista que trois générations après sa mort. D’ailleurs Mahomet n’éprouvait pas de sympathie particulière pour Jérusalem. Il permit à ses fidèles de prier tournés vers Jérusalem pendant quelques mois, pensant ainsi convaincre les juifs de se tourner vers l’islam. La tentative ayant échoué, il prononça, l’interdiction de prier en direction de Jérusalem. Jerusalem ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint. »Pour terminer cet article, voici un lien intéressant répondant d’une manière clair et concise aux différentes attaques formulées contre Israël.
http://rootsisrael.com/kit-de-defense-disrael-sur-internet/
Note importante :
Bien que faisant l’objet du plus grand respect de la part de toute l’équipe du site et bien que nombre de leur propos et enseignements Toraniques soient infiniment précieux, en dehors de cette série vidéo, plusieurs enseignements des rabbins présentés dans cette série ne reflètent pas nécessairement les opinions du site web notamment dans leur refus de reconnaître Yéshua comme étant le Messie venu une première fois sous la forme du Messie Ben Joseph (Messie souffrant à l’image des épreuves de Joseph) avant de revenir sous la forme du Messie ben David, c’est à dire le Messie Roi des rois qui revient pour la délivrance finale, rétablir la vérité et faire régner la paix dans le monde, Messie attendu également par les juifs. Ces choses se produisent afin que s’accomplissent ces paroles de l’écriture :
« Une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu’il est écrit : Le libérateur viendra de Sion, Et il détournera de Jacob les impiétés; Et ce sera mon alliance avec eux, Lorsque j’ôterai leurs péchés ». Et quelque part ailleurs dans l’écriture, il est écrit : « Dieu leur a donné un esprit d’assoupissement, Des yeux pour ne point voir, Et des oreilles pour ne point entendre, Jusqu’à ce jour. » Il est cependant à noter qu’il existe des centaines de milliers de juifs ayant eu la révélation de Yéshua(Jésus) comme étant le Le Messie annoncé par les prophètes de la Torah (Bible Hébraïque). Leurs enseignements parfaitement en phase avec le contexte des saintes écritures et de la pensée hébraïque sont très précieux et permettent de toujours mieux comprendre les grandes erreurs qui se sont glissées dans le Christianisme moderne, depuis l’émergence du catholicisme dans les premiers siècles, avec notamment la fausse doctrine du remplacement : l’église remplacerait Israël. Bien qu’il existe énormément de chrétiens sincères ayant expérimenté le pardon des péchés et la joie du Salut offerts par le Messie Yéshua, il est indéniable de constater qu’en se coupant de ses racines, le mensonge et l’erreur ont inévitablement imprégné l’église et attiré beaucoup de maux sur l’ensemble des croyants. Le retour aux sources n’en sera que plus bénéfiqueLe conflit israélo-palestinien disséqué - Partie 1 :
Influence et Héritage Biblique d'Israël
Le conflit israélo-palestinien disséqué-Partie 2: Légitimité divine d’Israël & origines de la Palestine des temps
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