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    «Nous nous promènerons bientôt avec des puces électroniques dans le corps» : le coronavirus est une théorie du complot pour Marat Safin

     

     

    L’ancien joueur de tennis Marat Safin a confié dans une interview récente que pour lui la pandémie de coronavirus qui touche la planète avait un but précis…

     

     

    Joueur très technique mais au caractère assez curieux de temps en temps tout au long de sa carrière (1996-2009), le Russe a confié une théorie assez étrange. Pour le vainqueur de l’US Open 2000 et de l’Open d’Australie 2005, cette pandémie était prévue et aurait pour but l’implantation massive de puces électroniques dans la population.

    «En 2015, Bill Gates avait annoncé que ce que nous devions redouter c’était une pandémie, pas une guerre nucléaire, a-t-il relaté à Sports.ru. Ils avaient même fait une simulation au forum économique de Davos. Bill Gates ne prédisait pas l’avenir, il le savait, c’est tout. Je pense qu’on ne nous dit pas tout à propos de cette pandémie, mais les gens croient tout ce qu’on leur raconte à la télé. (…) Certains pensent que la civilisation va s’éteindre. Je ne le pense pas. En revanche, nous nous promènerons bientôt avec des puces électroniques dans le corps.»

    Marat Safin poursuit et pense même que certains «puissants économiques» sont derrière tout ça. «Je pense qu’il y a des gens bien plus puissants que les grands leaders mondiaux et ce sont eux les vrais maîtres du monde, les maîtres de l’argent, explique le Russe. Ils ont le pouvoir de renverser facilement l’ordre établi. Appelez ça un gouvernement de l’ombre, appelez-le comme vous voulez. Je pense que nous ne savons même pas qu’ils existent. Il y a des noms connus comme les Rothschild et les Rockefeller, mais il y a quelqu’un d’autre derrière eux.»

    Source: CNEWS

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    Bill Gates veut exporter le système national d’identification de l’Inde dans le monde entier

     

    Ce n’est pas seulement un système de score de crédit social qui se répand dans le monde entier à partir de la Chine qui menace le peuple libre du monde ; le programme national d’identification Aadhaar de l’Inde a le plein soutien de Bill Gates et de la Banque mondiale comme modèle à suivre pour les autres pays.

    M. Gates a déclaré dans une interview accordée à CNBC en 2018 que c’était « dommage » si quelqu’un pensait qu’Aadhaar était un problème de vie privée :

    La Fondation Gates s’est engagée à financer la Banque mondiale en vue d’étendre le programme d’identification à d’autres pays.

    Bien que M. Gates plaide qu’il n’y a pas de problème de protection de la vie privée avec M. Aadhaar, plusieurs affaires ont été portées devant la Cour suprême de l’Inde pour des motifs de violation de la vie privée.

    Le système d’identification a subi de graves atteintes à la sécurité, l’accès à un milliard d’identités étant vendu moins de 10 $ par WhatsApp.

    L’un des documents déposés devant les tribunaux (Mathew Thomas c. Union of India) décrit en détail l’essor du système de crédit social de la Chine, comparant l’initiative indienne Aadhaar au programme chinois.

    L’aspect le plus sensationnel de cette histoire est peut-être le fait que la même société technologique internationale qui fournit l’infrastructure à Aadhaar fabrique également les permis de conduire aux États-Unis.

    Idemia (anciennement Morpho), est une multinationale d’un milliard de dollars. Elle est responsable de la mise en place d’une part importante des systèmes de surveillance et de sécurité biométriques dans le monde, opérant dans environ 70 pays. Parmi les clients américains de l’entreprise figurent le Département de la Défense des Etats-Unis, la Sécurité intérieure et le FBI.

    Le site de la société indique que Morpho « …construit et gère des bases de données de populations entières… » depuis de nombreuses années.

    Aux États-Unis, Idemia participe à la délivrance de permis de conduire dans 42 États.

    Idemia pousse maintenant les essais de licences numériques aux États-Unis. Le Delaware et l’Iowa sont parmi les cinq États impliqués dans les essais cette année. Avec les licences mobiles, les forces de l’ordre pourront « faire des pings » avec le smartphone d’un conducteur pour leur permis de conduire.

    Le gouvernement indien a récemment annoncé un programme de reconnaissance faciale pour surveiller toutes les plateformes de médias sociaux, appelé Advanced Application for Social Media Analytics.

    Les Big Tech utilisent la Chine, l’Inde, la Corée du Sud et d’autres pays pour tester des villes intelligentes, des systèmes de surveillance et des technologies de commandement et de contrôle qui sont déployés furtivement en Occident.

    Source: Old Thinker News

    Traduction par Aube Digitale

     

     

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