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    État de Palestine :  les détours de la diplomatie vaticane

     

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    Je rappelle ceci: bien que j’aime beaucoup le site Dreuz, je le soutien, il est primordial de savoir que c’est un site catholique, un site réveillé, mais dans ce site ils n’ont pas la pleine connaissance à cause de ce lien du catholicisme ! C’est à dire que toutes les informations ne sont pas forcément juste !

    Nous connaissons l’identité du Faux-Prophète, et c’est bien le Pape ! Il est certain que même si le Vatican n’a pas reconnu l’état palestinien, il le fera ! Même s’il l’a fait il y a des années, il le confirmera ! Regardons les prophéties bibliques ainsi nous pourrons comprendre ce qui se trame dans les coulisses ! La Rédaction

    Suite des articles:

    Dans l’affaire de la soi-disant «reconnaissance de l’État palestinien par le Vatican», plutôt que de croire les dépêches de l’AFP et les médias qui les reprennent, je préfère aller voir directement à la source de quoi il est question.

     

    Je suis toujours étonnée de voir que les mêmes personnes qui dénoncent les médias traditionnels lorsqu’ils publient les dépêches biaisées de l’AFP concernant Israël (voir les reportages sur l’abominable «rapport» de Breaking the Silence), s’empressent de croire chaque mot publié dans ces mêmes journaux dès qu’il est question du Vatican ou du Pape !

    Or de quoi s’agit-il exactement?

    La Croix du 13 mai explique:

    «À l’approche de la canonisation de deux Palestiniennes, le Vatican a annoncé, mercredi 13 mai, la signature prochaine d’un nouvel accord bilatéral qui protège l’activité de l’Église catholique et la liberté religieuse en Palestine, reconnu pleinement comme État…. Sur le fond, l’accord bilatéral conclu avec les autorités palestiniennes donne à l’Église catholique, selon Mgr Camilleri (le sous-secrétaire pour les rapports avec les États au Vatican) , une «liberté d’action», un statut juridique sur le territoire palestinien et y règle également les questions fiscales et de propriété.»

    Mgr Camilleri souligne que le Saint-Siège espère bien que cet accord conclu avec un pays à majorité musulmane, de surcroît la «terre où est né le christianisme» et reconnaissant «la liberté religieuse et de conscience, de manière élaborée et détaillée» pourrait être suivi par d’autres pays à majorité musulmane.

    Le Saint-Père, qui s’apprête à canoniser deux palestiniennes veut donc en profiter pour remettre les pendules à l’heure concernant le statut des Chrétiens en Cisjordanie et les responsabilités de Mahmoud Abbas à leur égard.

    Comment parler de l’autorité dont on voudrait qu’Abbas fasse preuve, sans lui reconnaître aucun pouvoir sur un «État» dont l’existence n’est pas certaine ?

    Une porte doit être ouverte ou fermée

    • Soulignons en passant que la canonisation concerne deux religieuses ayant vécu sous l’Empire ottoman au 19ème siècle (époque où la «Palestine» n’existait pas).
    • De plus, l’une de ces deux futures saintes, Myriam Baouardy, était une carmélite qui, à l’âge de 13 ans, refusa de se marier car elle souhaitait consacrer sa vie à Dieu. Elle s’enfuit, fut recueillie par un musulman qui lui trancha la gorge parce qu’elle refusait de renier sa foi catholique. La croyant morte, l’homme la déposa dans une rue d’Alexandrie. Ayant miraculeusement survécu, elle raconta avoir été sauvée par la Vierge Marie.

    Pour faire avaler cette canonisation de deux «palestiniennes» à Abbas et du même coup obtenir que soit mis fin aux exactions auxquelles font face les Chrétiens de Cisjordanie, le Saint-Père devait donner quelque chose.

    Comment demander à un Abbas vieillissant (il a fêté ses 80 ans le 26 mars dernier) et affaibli (son alliance avec le Hamas ne tient pas la route et ce dernier essaie périodiquement de l’assassiner ou de le faire démissionner) de protéger les droits des Chrétiens sans lui redonner un peu de pep sous forme d’autorité sur un «État» virtuel ?

    Le Rabbin David Rosen, directeur des affaires inter-religieuses pour le Comité Juif Américain, ne s’y est pas trompé et a dit au New York Times que cette entente n’avait rien de spectaculaire.

    D’intenses querelles entre l’Église et les Palestiniens sur la liberté de religion pour les 60 000 Chrétiens

    D’après lui, il y a eu d’intenses querelles entre l’Église et les Palestiniens sur la liberté de religion pour les 60 000 Chrétiens vivant dans le territoire palestinien parmi des millions de Musulmans.

    «Du point de vue du Vatican, il y a une nouvelle réalité dans la façon de nommer les choses» a t-il déclaré, «mais en substance, je ne pense pas que quiconque doit conclure que le Pape François est moins attaché à la sécurité, au bien-être et à l’épanouissement d’Israël»

    Un porte-parole du ministère des affaires étrangères israélien s’est contenté d’exprimer la déception ressentie au gouvernement et a ajouté que son ministère va étudier le traité avant de considérer les suites à donner à cette décision.

    Autrement dit pas de panique à Jérusalem, probablement pas de surprise non plus.

    Cela n’empêche pas les Gauchistes athées pro-palestiniens de s’empresser de ressortir la photo du Pape François se recueillant devant le mur de sécurité lors de sa visite en Cisjordanie en mai 2014 et de clamer que le Vatican reconnaît l’État palestinien comme si c’était une nouvelle.

    Tout se passe comme si cette photo était plus emblématique de la visite du Saint-Père que la gerbe de fleurs déposée sur la tombe de Theodor Herzl, le fondateur du mouvement sioniste !

    D’autres ressortent Pie XII et sa soi-disant collaboration ou complaisance envers les nazis (une autre fausseté véhiculée par les anti-chrétiens) pour ergoter sur ce qu’ils considèrent comme une trahison.

    Pour être juste, il faudrait reconnaître qu’il n’est question dans cette entente ni du Hamas, ni de l’occupation de terres palestiniennes par les «sionistes» et encore moins de droit de retour des Palestiniens!

    La solution des deux états que défend le Vatican est une solution dans laquelle Israël devra vivre en sécurité et l’État de Palestine devra être démocratique.

    Le Pape vient donc d’obliger Abbas à reconnaître le droit d’existence de l’État d’Israël ce que Nétanyahou n’avait pas réussi.

    Reste à savoir si Abbas signera !

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc pour Dreuz.info

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    Mercredi 13 mai

     le Pape François n’a pas reconnu l’État de Palestine qui n’existe pas

     

    Le Pape devant la barrière anti-terroriste coté Judée Samarie
     
     
    Le Pape devant la barrière anti-terroriste coté Judée Samarie

    Suite de l’article: Alerte Info: Le Vatican reconnaît l’Etat palestinien

    Le Vatican vient de reconnaitre, par la promesse de signature d’un traité, l’Etat de Palestine qui n’existe pas, rapportent l’ensemble des médias.

    Le gouvernement israélien s’est déclaré déçu de cette décision. Pour mémoire, le Vatican a attendu 52 ans, soit la visite de Jean Paul II à Jérusalem, en 2000, pour reconnaitre l’État juif en « Terre sainte ». 

    Sauf que l’information sera imprécise, et a été rapportée faussement par Associated Press.

    Le Vatican a en réalité reconnu l’Etat de Palestine en 2012, après la déclaration aux Nations Unies, affirme Tablet Magazine il y a quelques minutes, ajoutant que ce fait est confirmé par une dépêche de l’agence d’information palestinienne Maan de 2014.

    Quelle que soit la réalité…

    « Nous sommes déçus par la décision prise par le Saint-Siège », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, qui a ajouté : « Nous sommes persuadés qu’une telle décision n’est pas propice à amener les Palestiniens à la table de négociation ».

    Le nouveau gouvernement indique que son ministère étudiera le traité, qui a été rédigé mais pas signé, avant d’envisager les suites à lui donner.

    Le Vatican a surpris, ce mercredi, en annonçant qu’il entendait signer un accord avec « l’Etat de Palestine », expression adoptée par le Saint-Siège à la suite du vote de l’ONU, et qui laisse entendre que le Saint Siège ne traitera plus avec l’OLP mais avec l’Etat de la Palestine.

    Le traité constitue donc une reconnaissance officielle de l’Etat palestinien par le Vatican. En 2012, le Vatican avait approuvé la résolution de l’Assemblée générale des Nations unies qui reconnaissait l’Etat palestinien.

    L’accord, selon plusieurs sources, porterait sur le statut et les activités de l’Eglise catholique dans les territoires palestiniens, a annoncé mercredi un communiqué du Saint-Siège, alors que la France a décidé de ne pas renoncer à ses droits de propriété sur les nombreux édifices religieux et terrains qu’elle possède à Jérusalem.

    Selon l’agence I.Media, l’accord pourrait être signé le week-end prochain, lors de la visite de Mahmoud Abbas au Vatican pour la canonisation dimanche de deux religieuses palestiniennes.

    Dans l’annuaire pontifical, est mentionné « M. Kassissieh Issa, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire, représentant de l’Etat de Palestine auprès du Saint-Siège ».

    « Il est très clair que le Saint-Siège considère la Palestine comme Etat de Palestine (…). Ce qui est nouveau, c’est que pour la première fois cela est exprimé à l’occasion d’un accord », a déclaré le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi.

    L’accord porterait « sur la liberté religieuse et de conscience (…), sur la vie et les activités de l’Eglise dans les Territoires palestiniens : sa liberté d’action, son personnel et sa juridiction », selon Mgr Antoine Camilleri, chef de la délégation du Saint-Siège, dans un entretien au quotidien du Vatican, l’Osservatore Romano.

    Mgr Camilleri espère également que cet accord aide « même de manière indirecte (…) les Palestiniens à voir établi et reconnu un Etat de la Palestine indépendant, souverain et démocratique, vivant dans la paix et la sécurité avec Israël et ses voisins », et qu’il « encouragerait la communauté internationale (…) à entreprendre des actions plus décisives pour parvenir à une paix durable et à la solution souhaitée des deux Etats ».

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alain Leger pour Dreuz.info

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    Conference David Wilkerson

     

    Conference David Wilkerson Paris 2007 3/8

     

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