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    Ce que les médias ne vous dirons pas sur le comportement abjecte de certains migrants

     

    Le témoignage d’Aida Bolevar a de quoi surprendre quand on connait la manière dont le flux migratoire est présenté de manière idyllique aux français. Cette femme, parlant couramment l’arabe, a récemment voyagé dans un train reliant Budapest et Vienne. Lorsqu’elle est arrivé à la gare, une masse de migrants a tout d’abord refusé de la laissé rentrer. Ils l’ont insulté et ont essayé de lui prendre ses bagages. Des personnes déféquaient là ou elles se trouvaient. Des femmes criaient et se faisaient battre par leurs propres fils. Il y avait d’énormes piles de détritus. Les migrants étaient incapables de parler la moindre langue européenne. 

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    D’après elle, 90% de ces migrants étaient des hommes entre 18 et 45 ans et apparemment bien portants. Dans les wagons, certains migrants parlaient entre eux en se demandant s’il n’allaient pas voler les passagers, notamment les femmes car elles n’avaient pas le voile. Lorsque le train indiqua que les passagers devaient sortir car le train ne poursuivrait pas sa course, certains migrants ne voulaient pas laisser sortir Aida. La station de train était complètement « en état de siège ».

    Davantage de migrants sont alors venus et ils ont jeté des pommes, du pain et des biscuits sur les voies. Tout ce qu’ils voulaient c’était de l’argent. Certains attrapaient des passants et essayaient de leur soutirer des objets de valeur. Ils prenaient leurs bagages, ne laissaient pas les voyageurs passer, il les poussaient et les insultaient. Elle a pu constater par elle-même que pendant qu’on apporte de l’aide à ces gens, ils vous sourient tout en vous insultant.

    Alors, il est pas beau le « vivre ensemble »? Mais puisqu’on nous dit que c’est bon pour l’Europe tout ça, ne faisons pas la fine bouche hmm hmm…

    Cette autre vidéo montre comment certains certains provocateurs se servent d’enfants pour aller narguer la police devant une frontière. Cet homme a le visage protégé contre les gaz lacrymogènes mais il emmène avec lui de force une jeune fille qui sera aspergée. Il profite pour faire des doigts d’honneur à la police tout en les insultant copieusement et il enverra ultérieurement de gros paves sur eux. Une femme fera de même avec une autre jeune fille qui pleure car elle est visiblement emmenée de force vers les policiers. Puis, les enfants sont dirigés vers les photographes le tout sous les jets de pierre de nombreux migrants. Quelle magistrale mascarade!

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    Et ça donne ces belles photos émouvantes pour faire pleurer dans les chaumières.

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    Source: Fawkes News

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    Poutine ordonne aux Américains de quitter la Syrie

     

    Premières frappes russes en Syrie, visant les positions rebelles et non l’État Islamique, alors que Moscou ordonne aux avions américains de quitter l’espace aérien syrien.

    Selon l’observatoire syrien des droits de l’Homme, ces frappes russes ont tué 36 civils, selon l’opposition aujourd’hui, dont 5 femmes et 6 enfants, autour de positions majoritairement « rebelles », d’après des sources diplomatiques françaises, dont l’armée libre syrienne et aucunement celles de Daesh alias Etat Islamique. Des vidéos en attestent.

    Des avions de guerre russes se dirigent vers la Syrie

    Au lendemain de demandes de « clarification » par la Maison Blanche sur les intentions russes en Syrie, lors du sommet Obama-Poutine à New York, le Président Vladimir Poutine a sérieusement aggravé les tensions militaires autour de la Syrie, mercredi 30 septembre. Un responsable américain de haut rang a signifié que des diplomates russes ont envoyé un démarche officielle exigeant que les avions américains quittent la Syrie, ajoutant que les avions russes occupaient désormais l’espace aérien survolant l’ensemble du territoire. Des sources militaires américaines ont déclaré à Fox News que les avions américains n’avaient aucune intention d’exécuter les ordres des Russes. « Il n’y a rien qui indique que nous allons changer le sens de nos opérations en Syrie », a déclaré un responsable de la défense. Un peu plus tôt, Poutine est allé chercher auprès de la Haute-Chambre de Russie, le Conseil Fédéral, l’autorisation de la force militaire à l’étranger. Il n’a spécifié aucun pays particulier ni de région, mais la seule partie du monde où la Russie regroupe actuellement ses forces terrestres, aériennes et navales hors du pays se situe en Syrie.

    Peu de temps après cette requête, le Conseil de la Fédération a annoncé qu’il avait donné à l’unanimité l’autorisation de l’emploi de la force militaire russe en Syrie. C’est le même genre d’autorisation que Poutine est allé requérir au début 2014 avant de décider d’annexer la Péninsule de Crimée en l’arrachant à l’Ukraine. Son action contredit actuellement ses allégations à CBS, le 28 septembre : « La Russie ne participera pas à des opérations de troupes sur le territoire de la Syrie ni dans aucun autre Etat. Du moins, nous projetons pas de le faire pour le moment ».

    Les sources militaires de Debkafile révèlent que les préparatifs russes en vue d’une action militaire en Syrie, de toute évidence, ne se limiteront  pas à ce pays.  Elles sont dirigées et planifiées par le commandement avancé d’une coordination conjointe, depuis une salle des opérations instaurée il y a à peine quelques jours, par la Russie, l’Iran, l’Irak et la Syrie à Bagdad. Il se conçoit comme le contrepoids au Commandement Central avancé américano-jordanien établi au nord d’Amman pour les opérations conjointes américano-saoudo-qataro-jordaniennes et des Emirats Arabes Unis, en soutien aux opérations rebelles syriennes contre le régime Assad.

    Deux puissantes salles de commandement rivales sont, par conséquent, positionnées aux extrémités du théâtre de guerre syrien – l’un représentant une alliance menée par les Etats-Unis organisant les opérations contre Assad et l’autre, dirigée par la Russie qui relève le défi de combattre pour le compte d’Assad.

    Ce qui est flagrant, dans cette situation syrienne qui évolue à la vitesse de lumière, c’est l’avancée détaillée de la planification des renforts militaires russes et de ses partenaires et la perception au ralenti de ce qui est en train de se passer, de la part des Etats-Unis et d’Israël.

    Mardi, le Secrétaire à la Défense Ashton Carter a ordonné à son équipe d’établir un canal de communication avec le Kremlin afin d’assurer la sécurité des opérations militaires américaines et russes et « déviter des chocs conflictuels indésirables dans l’espace aérien » entre les deux armées. Le Ministère russe de la défense a rétorqué par des stipulations provocatrices, affichant que la coordination avec les Etats-Unis devait absolument passer par Bagdad, une tentative de contraindre Washington à accepter que ces deux salles de commandement opérationnel communiqueraient désormais dans les mêmes termes.

    Le Ministre de la Défense d’Israël, Moshe Ya’alon a démenti mardi soir qu’Israël menait la moindre coordination de ses opérations avec l’armée russe, insistant sur le fait qu’Israël se réserve la liberté de mouvement pour Tsahal au-dessus de la Syrie et qu’il continuerait à empêcher les livraisons d’armes d’aboutir entre les mains des organisations terroristes telles que le Hezbollah.

    Pendant ce temps, six avions de combat russes SU-34 atterrissaient à à l’aéroport international Al-Assad de Latakieh, après avoir volé vers leur destination à travers l’espace aérien irakien.

    On, est en droit de supposer que le déploiement militaire russe va atteindre des proportions bien plus vastes qu’on ne l’a imaginé, en repoussant bien loin tous les efforts américains ou israéliens de « coordination » [qui ne concerne que ses alliés eurasianistes, au premier chef l’Iran comme fer de lance russo-chinois anti-occidental].

    Adaptation : Marc Brzustowski.

    L’organe de presse All4Syria favorable aux rebelles a rapporté ce matin que les avions russes ont mené des raids très tôt ce mercredi sur le villafe de Zafarana, au nord d’Homs, autant que contre la ville de Lataminah, au nord-ouest d’Hama, dont aucune n’est un bastion de Daesh.

    Un nombre d’autres sites internet militants ont aussi diffusé des récits sur ces frappes, qui ont pris pour cible un certain nombre d’autres villes tenues par les rebelles anti-Assad, au nord d’Homs.

    Un Commandant du mouvement de libération d’Homs – une organisation rebelle formée en 2014, qui avaient des liens précédemment avec l’armée libre syrienne – a déclaré à des reporters que « c’est la première fois que la région assiste à des frappes de ce genre ». Les explosions massives provoquées par ces bombardements sont sans précédent.

    Il a expliqué que ces nouveaux avions russes ont mené leurs bombardements dirigés contre Zafarana, à partir « d’une très haute altitude », sans plonger sur leurs cibles, comme c’est généralement la pratique suivie par les frappes de l’armée syrienne dans le passé, ajoutant que des « bombes très sophistiquées » ont été déployées lors de ces attaques de mercredi.

    Au Nord d’Hama, le commandant du Rassemblement d’Al-Izza a déclaré à All4Syria que des avions avancés ont frappé les quartiers-généraux de l’Armée Libre Syrienne à Lataminah.

    Le Major (déserteur de l’armée d’Assad) Jamil Saleh a déclaré à All4Syria que ces avions russes volaient à très haute altitude – identiques aux attaques sur le nord d’Homs -, en ajoutant qu’il n’y avait pas de pertes civiles à Lataminah, puisque la ville a été vidée de l’essentiel de ses habitants.

    Source: now.mmedia.me

    Adaptation : M.B

    Source: JForum

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    Deux évènements se sont produits, l’un à Moscou, l’autre dans le Golfe, qui pourraient être les déclics d’un affrontement généralisé.

     

    En 1914, tout a commencé un 28 juin par l’assassinat à Sarajevo de l’archiduc d’Autriche. A l’époque, évidemment, personne n’avait imaginé que cet attentat, perpétré loin des grandes capitales, allait conduire à la boucherie de la Grande Guerre. C’est le jeu des alliances et l’irresponsabilité des « somnambules » qui gouvernaient alors les grandes puissances qui ont entraîné le monde vers l’abîme.

    Pourquoi une comparaison avec aujourd’hui ? On a appris, ce 30 septembre, deux nouvelles apparemment peu graves mais qui, combinées, pourraient être la double étincelle d’une déflagration que beaucoup redoutent depuis quelque temps. De quoi s’agit-il ?

    1Iran-Arabie, le ton monte très vite

    D’abord, l’Arabie saoudite aurait arraisonné aujourd’hui deux navires battant pavillon de son ennemi intime, l’Iran. Les bateaux étaient, semble-t-il, remplis d’armes à destination des rebelles outhistes du Yémen que Riyad combat militairement. Cet arraisonnement est à l’évidence un acte hostile, si ce n’est de guerre.

    Il se produit dans une atmosphère particulièrement tendue entre les deux pôles de l’Islam. Téhéran a violemment reproché aux Saoud, gardiens autoproclamés des Lieux Saints, de ne pas assurer la sécurité de base des pèlerins à la Mecque. Une accusation gravissime en ces périodes d’affrontements entre Chiites et Sunnites.

    2Poutine est entré en guerre en Syrie

    Ce n’est pas tout. Ce mercredi 30 septembre, Vladimir Poutine a fait voter par son parlement fantoche une loi l’autorisant à mener une opération armée en Syrie. Son aviation a déjà commencé à bombarder à Homs. Or, on sait que, sur le terrain, les Russes seront alliés au régime de Bachar et, surtout, aux Iraniens. Tandis qu’en face, Occidentaux et pays sunnites du Golfe mènent leurs propres opérations.

    Les deux coalitions, qui ont, sur plusieurs points, des objectifs totalement opposés, risquent de se retrouver face à face. Il semble, d’ailleurs, que les bombardements russes de ce jour aient déjà touché une position de rebelles soutenus par les Etats-Unis – une information qui n’est pas encore confirmée.

    Hubris et bras de fer

    Quoi qu’il en soit, la crainte est donc de voir le Kremlin, tout à son affirmation extérieure pour faire oublier la déroute économique interne, et Téhéran, pris par l’hubris qui a suivi l‘accord nucléaire de juillet, de tester au maximum la volonté de l’autre camp. Et de voir les Saoudiens, effrayés par la montée de l’ennemi mortel chiite, entraîner ses alliés, dont la France, dans un bras de fer sans fin, qui pourrait gravement dégénérer.

    Évidemment, ce scénario catastrophe n’est pas sûr. Il n’est pas écrit que les gouvernants actuels soient des « somnambules », qu’ils n’empêcheront pas le conflit militaire de s’étendre au delà de la Syrie et de l’Irak. Mais certains acteurs de cette partie sont tellement à cran qu’on ne peut l’exclure tout à fait.

    Vincent Jauvert – L’OBS

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