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    Depuis 1975, l’avortement est une affaire de femme. C’est elle qui peut, seule et librement, décider de la suite qui sera donnée à une grossesse qu’elle ait été ou non désirée. La loi en effet, ne fait pas mention du géniteur, de celui qui, avec la femme, est aussi à l’origine de la vie qui éclot doucement. Pourtant, certains hommes n’en ressentent pas moins douloureusement les conséquences. Gènéthique attire l’attention sur cet aspect ignoré de la question depuis 40 ans

     

    Michel Hermenjat[1] se souvient de cet avortement. C’était il y a justement 40 ans. Il se souvient de chaque instant. Et il reconnait : « J’ai mis 20 ans pour me dire que j’étais peut-être concerné par cette histoire. Ma soi-disant neutralité m’a rendu complice de la perte de mon premier enfant dont l’absence s’est longtemps faite sentir » (cf. Témoignage de Michel Hermenjat recueilli par Gènéthique : « Cet avortement m’a complètement dépossédé »).

     Déchus de paternité, ils éprouvent un sentiment d’impuissance

    Si le partenaire masculin est souvent vu comme celui qui pousse la femme à avorter, ou comme le grand absent, force est de constater qu’ils ont largement été évincés du processus de prise de décision. Stéphane Clerget[2], psychiatre, constate : « Les hommes n’ont pas légalement la parole. Ils ne l’ont que si un dialogue est possible avec la femme : s’ils sont informés de la grossesse et si on leur demande leur avis ». 

     Pour Michel Hermenjat, « la femme qui décide seule de poursuivre ou non une grossesse a un pouvoir considérable. La détresse de la femme suppose que l’homme est méchant, rejetant, tyrannique, abuseur ou négligeant et qu’il peut revendiquer des droits sur l’enfant qu’elle porte. On tombe dans la caricature ! » Il ajoute : « Le droit de la femme à l’avortement suppose l’inadéquation de l’homme à la maternité, qui justifie de retirer à l’ensemble des hommes toutes formes de droit sur la grossesse». Une marque d’indignité qui favorise la déresponsabilisation de l’homme, un cercle vicieux.

    En d’autres circonstances, l’homme « se sent menacé » comme l’explique Stéphane Clerget. « Il est démuni, sorti du processus et en plus, si elle poursuit sa grossesse, si elle n’avorte pas, il va devoir payer une pension alimentaire pendant 20 ans ! Il se sent piégé. Il va faire pression pour qu’elle avorte. L’homme ne s’engage plus, parce que ça n’est plus sa décision ».

    Face à ce terrible constat, Sabine Poujade qui accompagne des femmes après l’IVG, remarque, depuis quelques années, que ce sont aussi des hommes qui viennent confier leur détresse, soit, comme Michel Hermenjat, qu’ils aient joué la carte de la neutralité, soit qu’ils aient souhaité en vain s’y opposer : « Les hommes qui ont voulu empêcher l’avortement n’ont rien pu faire. Ils n’ont aucun recours. Ils se sont trouvés impuissants alors qu’ils étaient puissants en mettant la vie. Là, ils sont confrontés à une impuissance radicale qui les laisse complètement démunis » (Cf. Témoignage de Mickaël recueilli par Gènéthique : « Elle veut avorter. Il ne peut rien faire pour l’en empêcher »).

    Les hommes également victimes d’un syndrome post-avortement ?

    Taboue pour la femme, la question d’un syndrome post-avortement l’est encore plus quand il s’agit de l’homme. Dans le travail d’anamnèse qu’il mène auprès de ses patients, Stéphane Clerget reconnait qu’« on ne pense pas à lui demander s’il a ‘vécu’ un avortement. Quand la question est posée, elle est posée aux femmes, pas aux hommes. On considère que ça n’est pas leur affaire, que ça n’est pas potentiellement traumatique ». Dans sa pratique, il constate, par ailleurs, que « chez l’homme le syndrome est beaucoup moins fréquent. D’abord parce que la femme vit la grossesse dans sa chair ».

    Pourtant, Sabine Poujade constate que les hommes manifestent aussi des signes douloureux de l’absence de l’enfant : « Pour eux comme pour les femmes, le temps semble avoir basculé à la date de l’avortement ». Si durant le mois qui suit l’avortement, tant l’homme que la femme, ressentent un soulagement et une libération, l’après s’avère souvent beaucoup plus difficile à vivre. Regrets, remords, ils ont en même temps le sentiment d’avoir été mis à part, d’avoir été dépossédés de ce qu’ils ont déposés dans le ventre de la mère, d’avoir été mis sur la touche, alors qu’ils sont coauteurs. Et l’homme pourra ressentir une très grosse colère. Un sentiment auquel il accède beaucoup plus vite que la femme. Parfois, la colère se mêle d’une agressivité, qui pourra, à certains moments, s’exprimer contre sa compagne ou contre leurs enfants nés vivants. Il pleurera après la femme. Plus discrètement et plus longtemps. Mais, comme la femme, il aura besoin d’être consolé. Pour Sabine Poujade : « Les hommes comme les femmes ont un travail de deuil à vivre ». Dans ce travail de deuil, Michel Hermenjat, considère que « c’est à l’homme de prendre l’initiative de ce travail de deuil, à commencer par reconnaître sa contribution, souvent première, à cette tragédie. »

    L’homme défaillant face à la paternité

    Le reproche est parfois adressé aux hommes de ne pas être assez protecteurs, mais ils ont été mis à part alors que c’était pour eux le moment de protéger, de répondre au besoin de sécurité et de protection d’une compagne souvent ambivalente en début de grossesse. Sabine Poujade raconte : « Je pense à cet homme… Avec sa femme, ils ont eu deux enfants, le troisième est arrivé trop vite. Ensemble, ils ont décidé d’avorter. Il l’a déposée à la clinique. Il ne l’a pas accompagnée, elle lui a dit que ça allait. Quand elle est ressortie, elle est montée dans la voiture et il a eu l’impression qu’un mur de verre s’était dressé entre eux : ‘J’étais là et je ne l’avais pas protégée’. Il a été immédiatement pris d’angoisse, il s’est mis à faire des cauchemars. Il n’arrivait plus à entrer en contact avec elle : ‘Je ne savais plus comment la prendre, parce que j’avais été défaillant’ ». 

    Ces couples ont été dérangés, ils étaient désemparés, par la venue de ce bébé qui les confrontait à l’inconnu. Pour peu que la réflexion nécessite du temps, les hommes ne s’engagent pas vis-à-vis de l’enfant. Stéphane Clerget explique que « le délai de 12 semaines va reporter d’autant le soutien de l’homme à la femme. Il ne se projettera dans un rôle de père qu’une fois ce temps écoulé ». Aussi, le plus souvent, ce n’est qu’après que les hommes culpabilisent, une culpabilité qui sera d’autant plus forte qu’ils ont eux aussi voulu, ou été complices, cette IVG. « La culpabilité », explique Sabine Poujade,  « est un sentiment diffus qui rejoint l’homme dans sa honte de ne pas être un bon père, dans sa peur d’être un mauvais conjoint. Ils sentent qu’ils sont passés à côté de quelque chose. Ils s’en veulent de ne pas s’être rendu compte de la gravité de l’acte ». Elle se souvient de cet homme qui, quand son amie s’est trouvée enceinte, lui a expliqué qu’« il y avait des solutions pour ça ». Celle-ci a tenu ferme et gardé le bébé. Bien des années après, mariés, il avait oublié l’épisode, parce que « c’est dur, lourd, de ne pas accueillir la vie de celui qu’on a engendré. Ça signe l’arrêt de mort de l’enfant. » Il avait honte d’avoir pu entrevoir l’avortement comme une solution tant il s’émerveillait devant l’enfant qui était là et qu’il aimait : « Comment ai-je seulement pu y penser ».

    La colère, la honte, la culpabilité, les hommes les vivent comme les femmes avec « cette nuance d’un sentiment de protection défaillante face à la paternité ». Stéphane Clerget ajoute que « chez l’homme, c’est la paternité potentielle qui est atteinte ». Quand la décision d’avorter est prise, elle peut s’accompagner de la prise de conscience qu’on n’a pas envie de fonder une famille ensemble, d’avoir des enfants ensemble. C’est la possibilité d’une histoire d’amour qui est « expulsée » et qui s’accompagne de la tristesse de la fin de la relation. « L’IVG s’inscrit dans le deuil d’une histoire, d’une vie de famille. C’est plus qu’un deuil de paternité. »

    Renouer le dialogue 

    Entre l’homme et la femme, il est urgent de réapprendre à se parler comme le souligne Michel Hermenjat : « Nous sommes victimes d’un immense malentendu préjudiciable pour les futures générations ». Un dialogue qui doit aussi impliquer des changements, car pour Sabine Poujade : « Les hommes risquent d’avoir face à eux des femmes dures, dominatrices, qui ne leur révèlent pas leur virilité, ni la grandeur de leur paternité ».

    Pourtant, de nouveaux comportements apparaissent qui laissent présager qu’il est possible de relever le défi comme le remarque Stéphane Clerget : « Il y a un nouveau discours des hommes ». Les jeunes pères sont aujourd’hui beaucoup plus investis dans le soin des enfants, mais, pour lui, le changement semble encore plus perceptible chez les mineurs touchés par un contexte économique qui ne leur offre pas de perspectives, le chômage qui les met professionnellement à l’écart : « S’ils ne peuvent pas être actifs économiquement, ils peuvent être actifs comme parents ». Bousculant parfois leurs aînés dans leurs évidences et leurs « acquis », ils n’hésitent pas à se détourner de l’IVG et investissent dans la famille en devenant parents. Parfois très tôt.

    [1] Michel Hermenjat est socio-pédagogue. Il est l’auteur du livre : « Cet enfant qui m’a manqué. Parole d’homme face à l’avortement », publié aux éditions première partie.

    [2] Stéphane Clerget, « Quel âge aurait-il aujourd’hui ? Le tabou des grossesses interrompues »,publié aux éditions Fayard qui donne la parole aux femmes.

     Source : Gènéthique

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    Mais aussi un tsunami de morts à la Mecque le 24 septembre 2015. Y a-t-il un lien spirituel de cause à effet ?

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    LE TSUNAMI D’IMMIGRÉS : TROP TARD ?

    Par Michelle d’Astier de la Vigerie

     

    Nous avons connu l’immigration économique de millions de Musulmans, depuis cinquante ans. Nous l’avons même largement favorisée au départ pour avoir de la main-d’œuvre à bas prix, sans d’ailleurs jamais tenir compte des cris d’alarme que poussaient déjà des politiques, des sociologues ou des philosophes lucides, qui tentaient de faire comprendre que l’Islam n’était pas une religion parmi d’autres, mais une idéologie guerrière déclarant clairement que son objectif était d’islamiser la planète et d’y imposer la charia.

     

    Oh, à l’époque, les Musulmans ne s’en vantaient vraiment pas et d’ailleurs, la plupart d’entre eux cherchaient juste à vivre mieux en Europe, particulièrement en France où les prestations sociales étaient très attractives, ou encore en Angleterre où les aides à l’intégration étaient alléchantes….. Mais il suffit juste de suivre l’Islam depuis son apparition  vers l’an 600 : il a importé partout les invasions, les massacres, la violence, et la misère dans les pays où il s’imposait. D’où d’ailleurs ces vagues d’immigration incessantes vers des pays plus prospères.

    Cette immigration-là, on la connaît, on peut la mesurer car chaque Français la sent peser sur ses salaires et ses impôts depuis longtemps. Elle a eu ses détracteurs, elle a eu ses partisans, car c’était aussi l’apport de générations nouvelles, ces immigrés faisant des familles nombreuses alors que le taux de natalité européen dégringolait dangereusement…

    Je pourrais déjà ici dire que le visage de l’Europe a changé depuis des décennies, parce que nous, Européens, avons jeté à la poubelle ou au feu des millions d’enfants, par l’avortement, pratiquement toujours pour des motifs très égoïstes, avortement légalisé en France en 75 après la mise en application de la contraception en 72. Il est intéressant de constater que le nombre d’immigrants, légaux ou sans papiers, est à peu près similaire au nombre d’avortements. Environ 9 millions en quarante ans en France. Hasard ? Le mot « hasard », dans la Bible, n’existe pas, car Dieu compte chaque cheveu de la tête de chaque humain …

    Depuis des années Dieu m’interpelle sur le jugement qui un jour ne manquerait pas d’arriver. Mais le Seigneur est patient, et donne toujours du temps pour conduire l’homme à la repentance.…

    «Ou méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance?» (Ro.2:4).

     

    C’est le contraire qui est arrivé : soudain, coup d’accélérateur dans tout l’Occident : dans les trois dernières années, les uns derrière les autres, les pays ont multiplié des lois abominables aux yeux de Dieu : mariage gay, assouplissement de plus en plus grand des conditions de l’IVG jusqu’à la rendre gratuite pour les moins de 18 ans, jusqu’à l’encourager au détriment de l’adoption ou d’une aide pour les femmes enceintes confrontées à une situation difficile, légalisation de l’euthanasie (appelée « sédation profonde en France »), et qui se résume par le fait qu’on laisse mourir le patient de soif et de faim, et jusqu’à la légalisation de l’euthanasie des enfants en Belgique.

    On ne sait même plus où s’arrête l’horreur. L’homme franchit encore et encore de nouvelles lignes jaunes …

    LA VISION DU TSUNAMI

    Il y a deux ans, j’ai commencé à recevoir nuit après nuit la vision d’un tsunami qui se levait sur la mer méditerranée, qui devenait une énorme vague, puis un véritable mur qui allait s’abattre sur notre pays. Dans ma vision, le tsunami final, un monstre, devait mesurer quelque 150 m de haut. J’en ai parlé sur mon blog à l’époque, à l’occasion du scandale Trierwiller/Gayet, quand la France s’est couverte de ridicule dans le monde entier à cause de sa décrépitude morale, manifestée au plus haut de l’Etat (http://www.michelledastier.com/affaire-hollandegayet-un-tsunami-arrive-sur-la-france-par-michelle-dastier-de-la-vigerie/). J’ai pensé alors à un tsunami politique. Mais la vision continuait nuit après nuit et alors qu’il allait selon toute vraisemblance s’écraser sur les côtes françaises, j’ai vu ce tsunami glisser littéralement sous la France, comme disparaître, mais je savais qu’il était là. J’ai alors reçu la vision des régions s’entrechoquant entre elles. C’était comme si ce tsunami disloquait tout, en dévastant les fondements.

    .

    Jamais à l’époque je n’aurai pensé à un tsunami humain !

    Aujourd’hui je réalise que ce n’était pas seulement la France qui était impliquée, mais toute l’Europe. Le tsunami de l’immigration brutale de 500.000, voire 1.000.000 de réfugiés, commence à créer partout, dans l’EU, des tensions, des oppositions, des confrontations… L’Europe est en cours de dislocation, et, d’après ma vision, cela devrait conduire aux mêmes effets au niveau de la France intra muros. Une  chose est de plus en plus évidente, c’est que les politiques n’ont aucune réponse à cette invasion, et surtout, face à leur impuissance, ils ne peuvent se mettre d’accord.

    La panique est encore camouflée, mais elle est là.

    Car cette immigration n’a rien à voir avec tout ce que nous avons connu auparavant, RIEN!

    Elle a été annoncée par un cheik du DAECH, en réponse aux tirs que nous y faisions, et c’est une volonté délibérée de NOYER l’Europe sous une immigration irrépressible, dans laquelle se faufilent déjà des milliers de djihadistes avec un ordre de mission, de l’argent, des contacts, et qui pourront facilement se procurer des armes pour des attentats, sans doute synchronisés : les réseaux existent et les djihadistes sont tous candidats à la mort ….

    Mais voilà : tous arrivent en réclamant un statut de réfugiés syriens ou Irakiens, ou soudanais, érythréiens, etc, fuyant la guerre, la famine, les tortures et la mort !

    Comment, humainement, les refouler ? Comment chrétiennement les refouler ?

    Comment repérer les vrais réfugiés et les infiltrés ? Ils racontent tous la même histoire et il n’y a aucun moyen de vérification, surtout face à cette marée humaine !

    C’EST MISSION IMPOSSIBLE !

    Le DAECH est si malin qu’il fait vibrer notre corde humaniste. Il est tout de même bien affligeant de voir que personne, ou presque, ne s’est levé face à des centaines d’enfants décapités, enterrés vivants, simplement parce qu’ils étaient chrétiens, des fillettes vendues et violées pour les mêmes raisons, mais il aura fallu un enfant retrouvé sur une grève européenne, dans une mise en scène créée à l’évidence pour prendre une photo qui heurte les consciences, pour que le monde entier soit sous le choc  et verse des larmes !

    Cela, le DAECH le sait. Il sait comment utiliser notre sentimentalisme et notre humanisme, pour nous donner mauvaise conscience et nous faire ouvrir les portes, de gré ou de force, à cette invasion humaine. Il nous envoie par centaines de milliers – comme annoncé- des gens dans une détresse extrême, mais y glisse des milliers de terroristes, ET TOUT LE MONDE LE SAIT !

    Il n’y a pas de solution humaine, sauf du bricolage humanitaire, social ou politique qui sera forcément, ou bien débordé, ou bien injuste, ou les deux !

    Regardons de face ce qui nous attend

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    La seule vraie question à se poser sans aveuglement candide, ni dureté déplacée: Veulent-ils s’intégrer à la France en respectant les lois et coutumes du pays qui les accueille,

    Ou bien veulent-ils que la France se plie à leurs propres lois ?

    Le Coran répond:

    (Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes)

    [Sourate : Al-Baqara : La Vache :193]

    (Et préparez [pour lutter] contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d’effrayer l’ennemi d’Allah et le vôtre)

    [Sourate : Al-Anfâl : Le Butin :60]

    (Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi même, et incite les croyants (au combat) Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition)

    [Sourate : An-Nissa : Les Femmes :84]

    (Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d’Allah qu’ils sont morts. Au contraire ils sont vivants)

    [Sourate : Al-Baqara : La Vache :154]

    (Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux – sauf ceux qui ont quelque infirmité – et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense; et Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants en leur accordant une rétribution immense)

    [Sourate : An-Nissa : Les Femmes : 95]

    Etc..


    L’étonnant est qu’aucun politique n’a jamais – semble-t-il – pris le temps de lire le Coran et les hadiths. Sinon ils sauraient que ce n’est pas une religion « de paix et d’amour », mais que le Coran est truffé d’appels au meurtre, qu’il est sexiste, qu’il est pour la polygamie, pour le mariage (viol) avec des fillettes de neuf ans, et qu’il appelle tous les Musulmans à la guerre sainte pour plier le monde entier à l’Islam. Les Hadiths (composés d’après les actes de Mahomet: châtiments horribles, viols multiples, massacres, polygamie….) sont encore bien pires et sont la base de la charia: LEUR LOI, qu’ils veulent imposer.

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    Image: Ceci se nomme « amputation croisée » : main droite et pied gauche.

    C’est l’application de la loi coranique : la charia.

    (note MAV: pour avoir entendu une condamnation similaire à Abu Dhabi il y a une trentaine d’années, contre un homme qui avait volé quelques billets sur un étal de changeur – sans bien sûr aller voir l’exécution qui fut accomplie dans l’heure – Je sais qu’il ne s’agit pas d’actes isolés, mais bien d’une loi qui s’accomplit systématiquement contre les voleurs, même des tout petits voleurs, partout où l’Islam devient dominant)

    Et ceci ? Cela fait aussi partie des règles Piece jointe sans titre 00056admises par les hadiths.

    Pardon pour ces images violentes, en n’oubliant pas que l’Inquisition, au nom de Jésus, a commis des actes de tortures insoutenables sur des millions de gens, ou les a brûlés vifs, et ce durant cinq siècles. En n’oubliant pas que ceux que nous condamnons à mort sans le moindre état d’âme, ce sont des millions d’enfants sans défense, aspirés ou découpés vivants dans le ventre de leur mère !

    Ce n’est donc pas un jugement contre les Musulmans, eux-mêmes emprisonnés dans une religion de mort, mais simplement un rappel lucide. L’Islam devrait être interdit en France (et dans tout le monde dit civilisé) pour incitation au meurtre, rejet des lois françaises, misogynie, racisme, sexisme, polygamie (beaucoup d’immigrés vivant en France, avec femme et enfant, vont faire leur deuxième ou troisième mariage parallèle et secret en Algérie),  intolérance et souvent violence face aux autres religions (mais c’est toujours les Musulmans qui sont prêts à monter au créneau pour racisme ou pour blasphème contre « leur » prophète).

    Au lieu de cela, on déroule à l’Islam le tapis rouge, pétrole oblige. Les mosquées se multiplient, pendant qu’on freine par tous les  moyens la construction d’assemblées évangéliques ou qu’on leur fait fermer leurs portes sous prétexte de respect rigide des normes.

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    Alors, cette vague d’immigrés ? Combien de vrais réfugiés pour qui c’est une question de vie ou de mort, combien de terroristes camouflés en réfugiés ? Qui finance leur immigration, sachant que chaque passage coûte au final entre 4.000 et 10.000 euros, alors qu’ils ont dans leur pays des salaires de misère ou que, justement, on leur a tout pris ? Pourquoi tant d’entre eux ont-ils des téléphones cellulaires pour appeler des contacts partout en Europe ?

    EX :

    http://coolamnews.com/avant-apres-ils-etaient-tueurs-de-masse-en-syrie-aujourdhui-refugies-en-europe/

    Avant, après. Ils étaient tueurs de masse en Syrie, aujourd’hui, réfugiés en Europe

    21 septembre 2015

    «  Les organisations de droits de l’Homme et des rescapés de la barbarie qui sévit actuellement en Syrie et en Irak ont diffusé ces dernières semaines des clichés montrant des criminels recherchés dans leur pays pour avoir abattu des civils et participé à des massacres collectifs. Ces tueurs en série se sont pour des raisons diverses désengagés des combats et ont rejoint les hordes de refugiés qui frappent aux portes de l’Europe.

    La première série de photos présente les hommes qui sont déjà installés comme réfugiés en Europe. La seconde est diffusée comme un appel à témoins, afin d’identifier les noms et les pays qui ont accueilli les assassins déguisés en réfugiés. » 

    Un jugement divin terrible, via cette vague irrépressible, arrive sur nos pays. Nos pays se sont moqués du Dieu Tout-Puissant, le Dieu d’Israël. Puisse l’Église se repentir dans les supplications pour que nos pays changent radicalement leurs voies iniques !

    Cela n’exclut pas, bien entendu, des jugements aussi contre ces pays qui tentent de nous déstabiliser et de nous détruire en finançant et en organisant cette invasion brutale d’immigrés. Les centaines de victimes lors du Hadj à la Mecque, le 24 septembre 2015, ne sont pas le fruit d’un vilain hasard.

    Dieu envoie des avertissements au monde entier, et ces avertissement s’accélèrent comme un tourbillon. L’Allemagne vit aussi un descente aux enfers avec la mise en lumière des tricheries de Wolswagen depuis des décennies, et ce pourrait être le début d’un écroulement économique qui touchera bien au-delà de l’Allemagne. Mais revenons au tsunami d’immigrés.

    LE CAS DE CALAIS.

    Ce qui nous attend, sans doute partout, c’est ce qui se déroule actuellement à Calais, pour les Calaisiens, tandis que nos médias ne nous montrent que le sort terrible de ces immigrés coincés par milliers dans un coin de France. Mais qui montre le sort des Calaisiens qui en sont tout autant victimes et qui sont en sus culpabilisés par de multiples associations caritatives, toujours prêtes à se servir des situations humaines catastrophiques pour faire étalage de leur propre « bonté », mais qui se gardent bien de se soucier de ceux qui en paient directement le prix : les malheureux Calaisiens abandonnés par l’Etat à leur sort.

     

    Source: http://www.delitdimages.org/le-calvaire-des-calaisiens/

    «  L’afflux massif et rapide des clandestins de Calais a bouleversé la vie quotidienne de ses habitants. Ils vivent un véritable calvaire. Leurs témoignages impressionnants montrent leur détresse devant l’abandon des « autorités », l’imposture des discours politiques profondément falsifiés et le relais complaisant des médias officiels.

    A noter, dans la dernière partie de la vidéo, l’interview exclusive de Nadine Guerlach, dont la fille a publié une vidéo sur la réalité de ce que vit sa mère au quotidien. » 

    Aurons-nous bientôt des centaines de Calais dans notre pays ? Déjà le Maire de Paris ne peut plus gérer les immigrants qui squattent tous les lieux qu’ils peuvent. Et puisqu’ils n’ont pas le droit de travailler, quand s’empareront-ils par la violence de ce dont ils ont un besoin immédiat ?

    J’ai reçu une étude faite par un Chrétien qui posait cette question: pourquoi tous ces jeunes gens fuient-ils leur pays « en guerre », en réclamant l’asile politique, au lieu de se battre pour leur nation. Cela m’a frappé comme une évidence. Quel énorme pourcentage de jeunes hommes dans cette vague d’immigration ? 70 % ? Plus ? (récemment Dreuz info avançait le chiffre de 85 % !) Et justes quelques femmes et quelques enfants qui ressemblent davantage à des otages pour que les médias agitent le sentimentalisme des foules occidentales, qu’à un vrai souci de ces « conquérants » pour les sauver. Le moins que l’on puisse dire, quand on voit toutes les scènes de prises d’assaut des trains ou le franchissement massif de frontières au forcing, c’est que ce n’est pas:

    • – « Les femmes et les enfants d’abord !», mais le piétinement des faibles et un « chacun pour soi » sauvage.

    Voici un article récent paru dans Europe-Israël

    Allemagne: recrutement de terroristes parmi les migrants clandestins

    http://www.europe-israel.org/2015/09/allemagne-recrutement-de-terroristes-parmi-les-migrants-clandestins/

    Dans tous les camps de réfugiés aux frontières de la Syrie et de l’Irak, ce sont 70 % de femmes qui sont dénombrées, et 15 % d’enfants. Seulement 15 % d’hommes, tous les hommes valides étant au front !

    Bien étonnant renversement des proportions quand ils arrivent de tous côtés à nos frontières.

    Dans la vidéo de Calais, un intervenant déclare à un moment: « les Français ont des DEVOIRS, les immigrés ont des DROITS. »

    Quels droits ? Nous, notre devoir est effectivement d’accueillir en priorité ces femmes et ces enfants en danger de mort, à commencer par les Chrétiens d’Irak, de Syrie, d’Iran …. Mais à la place, c’est un flot de jeunes hommes dont beaucoup sont certainement des islamistes en mission qui ont pour ordre de mettre à sac nos pays, et qui font le forcing pour passer, quitte à piétiner les autres.

    Quand nos jeunes tentaient de fuir lors des guerres sur notre propre sol, on les appelait des déserteurs, pas des « ayant-droit », et on les fusillait !

    Que notre sentimentalisme émotionnel ne nous fasse pas devenir des « humanistes candides » au détriment de nos propres enfants: nous aurons à leur rendre des comptes le jour où tout sera à feu et à sang ! Et cela va arriver, car nos politiques sont dans l’incapacité de gérer ce flot migratoire et de trier ceux qui sont vraiment en danger de mort, et ceux qui viennent pour conquérir nos pays et leur imposer la Charia. Car c’est un constat, le cri le plus entendu dans tous ces flots migratoires, quelle que soit la frontière qu’ils tentent de franchir, c’est « Allah Akbar ! » . Même si cela veut dire : « Allah est grand », c’est un cri de guerre … vraiment pas des larmes de reconnaissance d’être accueillis et nourris !

    TEMPS PROPHÉTIQUES

    Beaucoup ont prophétisé une catastrophe planétaire se préparant pour ce mois-ci, en se basant notamment sur des phénomènes astronomiques (les 4 lunes de sang), et sur la base du calendrier hébraïque. J’ai relayé ces diverses prophéties sur le blog, y compris la menace d’astéroïde, car le Seigneur nous demande de tout examiner et de prendre ce qui est bon.

    En sus, tout cela est conforme à ce que la Bible annonce. Ce n’est qu’une question de temps.

    Et si tout simplement ce tsunami d’immigrés envoyé par le DAESCH allait renverser tous nos systèmes et déclencher de tels attentats, que l’Europe ne s’en remettrait que difficilement… Elle pourrait même éclater, avec une dégringolade massive de l’économie dans chacun des pays qui la composent. Je ne suis pas en train de prophétiser, je ressens simplement que l’on arrive dans des temps de grands tourments, qui sont aussi des jugements divins.

    Est-ce le temps de Dieu ? Je ne fais pas de « catastrophisme », j’ouvre simplement ma Bible, je lis les journaux avec un regard d’eschatologue, et je sais dans mon cœur que nos péchés sont montés jusqu’au ciel. En sus, tout le monde le sait, tous nos systèmes monétaires sont absolument artificiels, nos monnaies ne sont que du vent, et cela va forcément s’écrouler… comme annoncé dans la Bible.

    Bon, relevons notre tête, notre délivrance approche !

    ET LES 720 MORTS DE LA MECQUE ?

    Il y a sans doute une corrélation entre la vague migratoire qui nous est envoyée par le Daech, soutenue financièrement et politiquement par l’Arabie saoudite, et le nombre de victimes mortes ou blessées, piétinées à la Mecque. Sauf que ce ne sont pas les mêmes. Ceux de la Mecque, ce sont souvent de braves Musulmans intégrés dans des pays d’accueil, que le Coran et ses Imams convainquent de devoir faire ce pèlerinage hasardeux et onéreux, sous peine de ne pas pouvoir accéder au paradis d’Allah. Les autorités saoudiennes ont parlé de bousculade. Une bousculade aussi mortelle alors que 100.000 policiers étaient mobilisés, justement pour assurer la sécurité ?

    Ces voyageurs, eux ne sont pas financés par les pays pétroliers: cela leur coûte environ 4.000 euros par personne pour faire ce «  pélerinage » à leurs risques et périls.

    Mais comment ne pas faire un rapprochement entre ces centaines de Musulmans censés faire un voyage de paix et finissant dans un carnage, alors que des milliers de musulmans nous sont envoyés chaque jour entassés sur des bateaux qui ont de grandes chances de couler. Combien de centaines ou de milliers de morts depuis le début de l’année ? Qui les a financés pour pouvoir « passer » ? L’Islam a la culture de la mort (c’est eux qui le déclarent) et le mépris de la vie, mépris de la vie des autres avant tout, surtout pour les dirigeants islamistes. Vous n’en verrez aucun dans un attentat suicide. Mais ils sont maîtres dans l’art de convaincre de jeunes naïfs que s’ils assassinent des créatures de Dieu, désignées comme « infidèles » (terminologie qui peut recouvrir tout et n’importe quoi, y compris des Musulmans d’autres factions islamiques),  ils gagneront un bien étange paradis, où, semble-t-il, aucune femme musulmane n’aura la moindre place puisque ce paradis sera peuplé de « Houris » (des vierges, retrouvant sans cesse leur virginité après « usage »  en récompense du sacrifice des meurtriers pour Allah !).

    L’actualité démontre que le pire ennemi des musulmans, c’est l’Islam lui-même, avec ses divisions, les plus virulents pour appliquer la charia à la lettre traitant toujours les plus tempérés d’infidèles, donc de personnes à tuer pour gagner ce paradis pour obsédés sexuels ! Alors, quand toutes ces factions se rencontrent, par millions, dans un même lieu, comment n’y aurait-il pas des affrontements meurtriers ?

    Bien sûr, il y a eu d’autres hécatombes lors du Hadj à la Mecque, mais jamais de cette ampleur.

    Car Dieu avertit aussi les Musulmans ! Le temps de l’Islam conquérant durera le temps que Dieu voudra lui accorder pour accomplir sa justice sur les nations devenues rebelles à SA loi, celle qui doit sortir de Sion lors du retour de Christ, la Thora, car Christ est la Thora !

    ET NOUS, L’ÉGLISE, QUI NOUS CALFEUTRONS DANS UNE PAIX ILLUSOIRE ALORS QUE LE MONDE AUTOUR D’ELLE S’ÉCROULE ?

    Je voudrai parler aussi de notre responsabilité, à nous, l’Église, à qui Dieu a donné la mission d’être le soutien et la colonne de la vérité et d’être ses témoins jusqu’aux extrémités de la terre pour faire des nations des disciples, en les enseignant dans tout ce que Jésus a prescrit … ce qui implique d’ouvrir la bouche, fut-ce au prix de notre vie (Ac 4 :19 – Lu 17 :33).

    —-> Nous nous sommes tus, en nous défaussant sur quelques ONG (dont bien peu émanaient d’églises) de notre devoir, quand l’Erythrée a commencé ses exactions contre les chrétiens, les tuant par centaines de milliers depuis trente ans ou plus;

    —-> Nous nous sommes tus quand les sbires de Ouattara ont massacré les Chrétiens en Côte d’Ivoire avec l’aide très active de l’armée française, la Licorne.

    —-> Nous nous sommes tus durant le printemps arabe alors qu’on nous faisait croire qu’on éliminait, par « humanisme », des despotes sanguinaires… alors que la vraie motivation était de mettre à la place des despotes islamistes encore plus sanguinaires, mais soutenus par les pays pétroliers, Arabie saoudite et Qatar en tête. Bilan, en Egypte, en Tunisie, en Libye, des milliers de morts, et un tapis rouge au Daech pour faire de la Lybie une base arrière.

    —-> Nous nous sommes tus durant la guerre de Syrie, pointant du doigt le vilain Président despote qui refusait de laisser le pouvoir aux rebelles, de fait, des sunnites, les copains du Daech, soutenus par l’Arabie saoudite et le Qatar à grand renfort de pétrodollars, et pratiquant l’islamisme le plus sanguinaire ! Et maintenant on s’étonne qu’une bonne part de la Syrie soit envahie par le Daech qui y installe ses bases… avec la complicité tacite de l’Occident qui n’arrive, décidément pas, à se réveiller et ouvrir les yeux – pétrole oblige – (les financiers du Daesh comme du Hamas, c’est l’Arabie saoudite, l’Iran, le Qatar…). Les quelques bombardements de la France sur le Daech se sont avérés d’une telle inefficacité que l’on a l’impression que ces tirs ne sont faits que pour tromper l’opinion publique sur nos vraies intentions d’en finir avec cet État assassin. Un tir par jour ? On est parti pour faire la même chose en Syrie. Mais qui veut-on duper ? L’opinion publique, justement, et cela fonctionne !

    —-> Nous nous sommes tus, ou avons protesté très mollement (quelques voix), quand le massacre des Chrétiens au Daech a commencé. Qui a hurlé quand des enfants on été décapités (nous recevions des vidéos et d’ailleurs le Daech s’en vantait), et les fillettes de cinq ans et plus vendues pour être violées…. (nous pouvions voir sur internet le prix de vente de ces fillettes !) ?

    Cela n’a pas fait la une des journaux, aucune photo n’a circulé (mais il y en avait). Et tout le monde le savait. Et là, un enfant rejeté par la mer, une photo choc, et la conscience de l’Europe et du monde se réveille.

    TROP TARD !

    Dieu a patienté depuis des décennies, il nous a vus bien plus occupés à regarder le prix du pétrole qu’à regarder les chrétiens massacrés partout, enfants compris….

    TROP TARD !

    Ce qui ressort, c’est notre égocentrisme puant, c’est le silence apathique de nos églises bien plus occupées à compter les dîmes pour changer la moquette qu’à intercéder dans les larmes.

    Nous sommes aujourd’hui confrontés à un tsunami d’immigrés, strictement ingérable, une invasion suffisamment puissante et armée pour mettre à genou nos démocraties et les conduire à persécuter les Juifs (contraints de fuir), et les Chrétiens (cible de choix)…

    Ça a commencé et cela va s’amplifier, jusqu’à l’insupportable ! C’est devenu une évidence.

    C’EST TROP TARD POUR EMPÊCHER CELA … Mais il n’est jamais trop tard pour s’humilier devant Dieu et implorer sa grâce ! Il le fera quand nous aurons enfin compris !

    Que notre grand Dieu soit loué et qu’Il ait pitié de nous !

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    La Fête juive des Trompettes et l’Enlèvement des Chrétiens,

    Article de Russ Pickett, suivi d’un article de Henri Viaud-Murat

     

    Dates de Roch Hachana

    • lundi 14 et mardi 15 septembre 2015 
      À Paris, début le dimanche 13 à 19h51 et fin le mardi 15 à 20h53. 

    = fête des trompettes :on célèbre le nouvel an. Dans la tradition rabbinique, Roch Hachana est également considérée comme le jour du jugement. Elle représente alors l’inauguration de dix jours de repentir avant le jour du grand pardon accordés aux repentis le jour de Yom Kippour.

    Dans la Torah, le jour de Roch Hachana est donné aux enfants d’Israël comme un appel divin. C’est une fête invitant à se repentir et à prier pour se faire pardonner de ses péchés.

    1-Par Russ Pickett : La Fête juive des Trompettes et l’Enlèvement des Chrétiens

    A quelle époque de l’année pourrait se produire l’Enlèvement ?

     

    L’auteur montre comment l’Enlèvement de l’Eglise doit se produire un prochain jour de la Fête des Trompettes (Rosh Hashanah), seule Fête de l’Eternel dont les Israélites ne connaissaient ni le jour ni l’heure !

    Pouvons-nous savoir quand se produira l’Enlèvement de l’Eglise ?

     Depuis que notre Seigneur est mort sur la croix pour nos péchés, tous les véritables Chrétiens attendent le jour de l’Enlèvement de l’Eglise.

    Dans cet article, nous vous présentons un moyen possible de savoir au moins à quelle période de l’année devrait se produire ce magnifique événement.

    Chaque fois que l’on parle de l’Enlèvement, on en vient à citer un verset qui clôt immédiatement toute discussion :

    « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul » (Matthieu 24 : 36).

    Toutefois, il est nécessaire d’étudier d’un peu plus près ces paroles du Seigneur, pour comprendre un aspect important de la pensée et des traditions Juives. Il faut savoir en effet que l’expression : « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, » est une expression idiomatique courante de l’Hébreu, pour désigner le jour de la Fête des Trompettes, appelée aujourd’hui « Rosh Hashanah, » ou premier jour de l’année civile Juive, le premier jour du septième mois de l’année religieuse.

    En disant : « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, » Jésus voulait faire clairement comprendre aux Juifs qui L’écoutaient qu’Il allait revenir lors d’une Fête des Trompettes, à une date future inconnue. C’est comme si quelqu’un nous disait aujourd’hui : « Je vous reverrai le jour où l’on échange traditionnellement les cadeaux. » Nous saurions aussitôt qu’il s’agit du jour de Noël.

    Pouvons-nous donc nous attendre à voir notre Seigneur revenir lors d’une prochaine Fête des Trompettes ?

     Les sept Fêtes de l’Eternel données au peuple Juif.

    L’Eternel avait demandé à Son peuple d’observer sept fêtes solennelles :

    1 – Les fêtes du printemps :

    • La Pâque

    • : correspond à la mort de Jésus-Christ. Jésus est mort le jour même de la Pâque Juive (premier mois, quatorzième jour du mois).

    • La Fête des Pains sans Levain

    • : correspond à l’ensevelissement de Jésus-Christ. Jésus fut enseveli le jour même de cette fête (premier mois, quinzième jour du mois).

    • La Fête des Prémices

    • : correspond à la résurrection de Jésus. Jésus ressuscité le jour même de cette fête (premier jour de la semaine suivant le sabbat de la Pâque).

    • La Fête de Pentecôte

    • : cinquante jours après la résurrection de Jésus. Le Saint-Esprit fut répandu le jour même de cette fête Juive (cinquante jours après la Fête des Prémices).

    2 – Les fêtes de l’automne :

    • La Fête des Trompettes

    • : premier jour du septième mois (Tishri). C’est le Nouvel An Juif.

    • Le Jour des Expiations

    • (Yom Kippur) : dixième jour du septième mois.

    • La Fête des Tabernacles

    • : quinzième jour du septième mois.

    Ces fêtes sont décrites dans Lévitique 23. Elles étaient fixées à des dates précises, et devaient aussi symboliser le plan prophétique de Dieu concernant la venue du Messie et la rédemption de l’humanité. Les quatre premières fêtes, celles du printemps, ont déjà été accomplies lors de la première venue de Jésus. Elles constituent un processus complet, commencé le jour de la Pâque, et achevé le jour de la Pentecôte.

    Ces quatre fêtes du printemps sont distinctes des trois dernières fêtes de l’automne. Ces trois dernières fêtes (Rosh Hashanah, Yom Kippur et Tabernacles) forment aussi un tout, mais leur accomplissement prophétique est encore à venir, lors du retour de Jésus.

    Prophétiquement, le Fête des Trompettes (Rosh Hashanah) est associée au prochain Enlèvement de l’Eglise. Le Yom Kippur trouvera son accomplissement prophétique à la fin de la Tribulation, lorsque tout Israël sera sauvé. La Fête des Tabernacles sera prophétiquement accomplie quand Dieu viendra à nouveau habiter au milieu de Son peuple, au commencement du règne millénaire de Jésus-Christ sur la terre.

    La prochaine fête à voir son accomplissement prophétique sera donc la Fête des Trompettes. Pourquoi associons-nous la Fête des Trompettes à l’Enlèvement de l’Eglise ?

    Les Juifs appellent encore le Rosh Hashanah le « Yom Teruah, » ou de « jour du son qui réveille. » Ensuite, nous trouvons les « jours redoutables, » qui représentent la Tribulation. Ensuite viennent le Yom Kippur et la Fête des Tabernacles. Cette succession d’événements est, en soi, un argument formidable en faveur d’un Enlèvement qui précède la Grande Tribulation.

    De nombreux thèmes sont associés au Rosh Hashanah : le couronnement du Roi, la résurrection des morts, la joie du Royaume Messianique, et les noces du Messie. Un autre thème très fortement associé à ce jour est celui du « réveil. » « Teruah » peut aussi être traduit par « cri. » Ces thèmes nous rappellent ces versets de la première épître aux Thessaloniciens :

    « Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thes. 4 : 15-17).

    Ce passage est rempli d’expressions idiomatiques Juives, qui sont explicitement associées au Rosh Hashanah, la Fête des Trompettes. Ce passage tend donc à nous prouver que le jour de l’Enlèvement de l’Eglise et de la résurrection des morts interviendra un jour de Rosh Hashanah.

    L’un des thèmes significatifs de la Fête des Trompettes est celui des noces du Messie. Examinons donc les antiques coutumes Juives associées à la cérémonie du mariage, pour constater que certaines de ces pratiques correspondent à de nombreux thèmes de cette Fête des Trompettes. Voici ce qui se pratiquait lors d’un mariage Juif (avec la correspondance lors des noces de l’Agneau) :

    • La fiancée indiquait à son fiancé qu’elle acceptait de se marier avec lui en buvant une coupe de vin qu’il lui tendait. (Jésus a offert à Ses disciples une coupe de vin, lors du dernier repas). Quand nous buvons cette coupe, cela signifie que nous avons accepté de faire partie de Sa Fiancée.

    • Le fiancé devait payer un certain prix aux parents de sa fiancée. (Jésus-Christ a payé de Sa vie et de Son sang le rachat de Sa Fiancée).

    • Le fiancé offrait ensuite des cadeaux à sa fiancée. (Jésus a donné Son Saint-Esprit à Sa Fiancée).

    • Le fiancé allait ensuite préparer une maison, pour y vivre avec son épouse après son mariage. (Jésus est parti nous préparer une place pour nous y emmener avec Lui).

    • Le fiancé venait chercher sa fiancée au milieu de la nuit, accompagné par une foule d’amis et de membres de sa famille, qui criaient et sonnaient du shofar. (« Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel »).

    • Après leur mariage, l’époux et l’épouse devaient passer sept jours ensemble pour consommer leur union dans la chambre nuptiale. (Le Seigneur et Son Epouse, l’Eglise, doivent passer sept ans ensemble pour consommer leur union. Pendant ce temps, ce sera la Tribulation de sept ans sur la terre).

    Rappelez-vous que mille ans sont comme un jour pour le Seigneur. Le Seigneur a été absent « deux jours. » Le « troisième jour, » Il reviendra pour chercher Son Épouse.

    Notez aussi que la fiancée Juive devait quitter son environnement familial habituel pour se rendre à un endroit où elle n’avait jamais été : la maison que lui avait préparée son fiancé. Dès l’arrivée du fiancé, ils se rendaient immédiatement au repas des noces, puis entraient dans la chambre nuptiale pour une période de sept jours, afin de consommer leur union.

    Le Rosh Hashanah est aussi connu comme le « jour de la dissimulation. » En effet, pendant les sept années de la Tribulation, que Dieu le Père enverra sur un monde rebelle et incrédule, l’Eglise sera « dissimulée » dans la chambre nuptiale avec son Epoux. C’est encore une indication du fait que l’Enlèvement doit précéder la Tribulation.Quand les « sept jours » (ou sept années) seront terminés, nous retournerons avec Jésus sur la terre, pour célébrer avec Lui le Yom Kippur et la Fête des Tabernacles. C’est à ce moment-là que ces deux dernières fêtes trouveront leur accomplissement prophétique.Nous croyons que tous les événements de la fin des temps sont déjà divinement planifiés, et qu’ils ne se produiront pas n’importe quand. En outre, nous croyons que l’Enlèvement se produira au moment fixé par Dieu, et que ce moment nous a déjà été indiqué par le Seigneur dans Sa Parole, notamment quand on étudie la signification prophétique des Fêtes de l’Éternel.

    Nous croyons que tous les véritables Chrétiens entendront le « son qui réveille, » le son du shofar, et le « cri » de l’Archange. Nous irons alors demeurer dans la présence intime de notre Seigneur, pendant que les « jours redoutables » de la Tribulation se dérouleront sur la terre.


     2 – Article de Henri Viaud-Murat :

    C’est en faisant une recherche sur la Fête des Trompettes que nous avons compris ce que le Seigneur Jésus avait voulu dire quand il avait dit :

    « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul » (Matthieu 24 : 36).

    Les Chrétiens ont été, pendant des siècles, séparés de leurs racines Juives. A cause de cela, ils ne sont plus en mesure de comprendre la signification de certaines expressions de l’Hébreu, ni de certaines coutumes Juives.

    En prononçant cette phrase, Jésus, en réalité, voulait clairement dire à Ses auditeurs Juifs : « Faites attention ! Je reviendrai un jour futur de la Fête des Trompettes ! »

    En effet, la Fête des Trompettes était la seule Fête de l’Eternel dont on ne pouvait connaître à l’avance ni le jour ni l’heure ! Toutes les autres fêtes commençaient en général au milieu d’un mois, ou après le commencement d’un mois. La Fête des Trompettes était la seule à commencer le premier jour d’un mois.

    Les Juifs suivaient le calendrier lunaire. Chaque nouveau mois commençait immédiatement après la nouvelle lune, dès le moment où l’on commençait à apercevoir le début d’un mince croissant de lune. Chaque nouvelle lune, qui marquait le début de chaque mois, était donc un moment très important, qui était d’ailleurs fêté.

    La nouvelle lune est l’opposée de la pleine lune. Douze fois par an, la lune devient « noire » et disparaît de la vue. Puis elle réapparaît, sous la forme d’un fin croissant, qui va grandissant jusqu’à la pleine lune. Puis la lune entre dans une phase décroissante, jusqu’à la nouvelle lune suivante. Au moment de la nouvelle lune, la lune est complètement invisible pour l’œil humain.

    Aujourd’hui, nous avons des calendriers précis qui nous indiquent toutes les phases des changements de lune. Il n’en était pas ainsi dans l’Antiquité. Les Juifs devaient observer attentivement les phases de la lune. Car il fallait pouvoir calculer précisément les dates des Fêtes de l’Eternel.

    L’une des grandes responsabilités du Sanhédrin était donc de fixer avec précision la date de chaque nouvelle lune, pour marquer le point de départ de chaque nouveau mois. Il devait informer le peuple du moment précis du début de chaque mois. Dès que la nouvelle lune était annoncée, le premier jour du nouveau mois commençait. En Hébreu, ces observances étaient toujours considérées comme des moments sacrés, des « meodim. » Ces moments appartenaient à Dieu, et personne n’avait l’autorité de les modifier. Ceux qui l’auraient fait auraient commis un grand péché. Ces moments précis étaient observés en raison de leur implication messianique.

    Le septième mois, Tishri, était particulièrement important, parce que c’était le seul qui comportait une sainte convocation dès le premier jour du mois. Cela posait un problème unique en son genre. En effet, personne ne pouvait commencer à observer la Fête des Trompettes avant d’avoir entendu, de la bouche du Chef du Sanhédrin, la parole sacrée traditionnelle : « Sanctifié ! » Personne ne pouvait commencer à préparer et à observer cette fête, tant que l’on ne connaissait ni le jour ni l’heure où celle-ci pouvait être déclarée.

    En effet, selon les phases de la lune, chaque mois comportait vingt-neuf ou trente jours. Le mois, nous l’avons vu, commençait à partir de la nouvelle lune. Mais celle-ci n’était pas toujours observable avec précision. Cela dépendait aussi des conditions atmosphériques. Le Sanhédrin devait donc se réunir dans la « salle des pierres polies, » et attendre la déclaration de témoins dignes de foi, qui avaient pu observer avec certitude le début de la nouvelle lune. Deux témoins de confiance étaient préposés à cet effet, et entretenus sur les fonds publics.

    Si la nouvelle lune était observée au commencement du 30e jour (ce qui correspond au soir du 29e jour), le Sanhédrin déclarait alors que le mois précédent ne comporterait que 29 jours. C’était un mois dit « imparfait. » Le début du nouveau mois de Tishri était immédiatement signalé dans tout le pays, et même dans toute la diaspora, par un système de tours de guet qui allumaient des feux visibles à de longues distances dans la nuit.

    Si les témoins crédibles ne s’étaient pas présentés au soir du 29e jour, c’était le jour suivant, c’est-à-dire le soir du 30e jour, qui était considéré comme le commencement du nouveau mois. Dans ce cas, le mois précédent comportait 30 jours, et était déclaré « complet. »

    Les Juifs ne savaient donc jamais d’avance si la Fête des Trompettes allait commencer le 30 du mois d’Elul, ou le 1r du mois suivant, le mois de Tishri. Elle pouvait commencer l’un ou l’autre de ces deux jours. Ils ne savaient pas non plus à partir de quelle heure la Fête des Trompettes allait être annoncée. Pour cela, il fallait connaître l’heure exacte de l’apparition du premier croissant de la nouvelle lune. C’est pourquoi, même aujourd’hui, la Fête des Trompettes est une fête qui dure deux jours (en dehors d’Israël).

    Dès que le jour et l’heure du début de la Fête étaient proclamés, on faisait retentir le « shofar, » pour une « sainte convocation » de tout le peuple. Cela marquait un temps de repos. La moisson devait s’arrêter (encore un signe prophétique), et le peuple se rendait au Temple pour célébrer la fête.

    On comprend l’importance de la juste détermination de la Fête des Trompettes, car de cette date allait aussi dépendre la détermination exacte des deux fêtes suivantes, celle du Yom Kippur et celle de la Fête des Tabernacles, un peu plus tard dans le même mois.

    Les paroles de Jésus s’appliquent donc parfaitement à la Fête des Trompettes, dont personne (sauf le Père) ne connaissait jamais ni le jour ni l’heure. Notez bien que Jésus ne parle que du jour et de l’heure de Son retour. Mais tous les premiers Chrétiens, qui étaient des Juifs convertis, savaient que le Seigneur avait laissé entendre qu’il reviendrait lors d’un jour futur de la Fête des Trompettes. Si l’on ne connaissait ni le jour ni l’heure du début de cette fête, on savait du moins qu’elle devait se produire à l’époque de la nouvelle lune de Tishri.

    De même, si nous ne savons ni l’année, ni le jour ni l’heure de l’Enlèvement de l’Eglise, nous devons savoir qu’il se produira au début d’une future Fête des Trompettes, tout au moins si cette analyse est exacte, et confirmée dans les cœurs par le Saint-Esprit et la Parole de Dieu.

    L’apôtre Paul savait que le jour de la résurrection serait celui du retentissement du shofar (1 Cor. 15 : 52 ; 1 Thes. 4 : 16).

    Il est intéressant de savoir que, dans la tradition Juive, la résurrection des morts devait se produire le jour du Rosh Hashanah. C’est pour cela que de nombreux Juifs font graver un shofar sur leur tombe. Toujours selon la tradition Juive, le Jour du Rosh Hashanah marquait l’ouverture des portes du Ciel, pour que les justes puissent y entrer. C’est une nouvelle indication du fait que la résurrection des Chrétiens doit se produire le jour du Rosh Hashanah. Les Juifs et les Gentils convertis au Messie ressusciteront ce jour-là. Ceux qui L’auront rejeté ou méconnu devront passer par les « jours redoutables » de la Tribulation.

    Zacharie dit, à propos de l’attaque de Jérusalem par toutes les nations, à la fin de la Tribulation :

    « Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né » (Zacharie 12 : 10).

    Ce sera le grand Yom Kippur, le dixième jour d’un septième mois, jour où tous les survivants des Juifs se repentiront et se convertiront à Jésus-Christ. Puis, peu après :

    « Voici, le jour de l’Eternel arrive, et tes dépouilles seront partagées au milieu de toi. Je rassemblerai toutes les nations pour qu’elles attaquent Jérusalem ; La ville sera prise, les maisons seront pillées, et les femmes violées ; la moitié de la ville ira en captivité, mais le reste du peuple ne sera pas exterminé de la ville. L’Eternel paraîtra, et il combattra ces nations, comme il combat au jour de la bataille. Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des oliviers, qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté de l’orient ; la montagne des oliviers se fendra par le milieu, à l’orient et à l’occident, et il se formera une très grande vallée : une moitié de la montagne reculera vers le septentrion, et une moitié vers le midi… Et l’Eternel, mon Dieu, viendra, et tous ses saints avec lui. En ce jour-là, il n’y aura point de lumière ; Il y aura du froid et de la glace. Ce sera un jour unique, connu de l’Eternel, et qui ne sera ni jour ni nuit ; mais vers le soir la lumière paraîtra Tous ceux qui resteront de toutes les nations venues contre Jérusalem monteront chaque année pour se prosterner devant le roi, l’Éternel des armées, et pour célébrer la fête des tabernacles » (Zacharie 14 : 1-7, 16).

    L’Éternel habitera à nouveau au milieu de Son peuple, et ils fêteront ensemble la grande Fête des Tabernacles, le quinzième jour du même septième mois.

    L’attente de l’Enlèvement doit être un temps de réveil et de préparation spirituelles pour l’Eglise.

    Il est encore temps pour tous ceux qui se sont écartés du Seigneur ou qui se sont attiédis de revenir à Jésus et de se repentir. Le Seigneur fera encore grâce et rétablira, car Il veut que tous soient sauvés.

    Nous vivons une époque solennelle, celle de la manifestation de l’Antichrist, et du retour proche de Jésus-Christ pour enlever Son Eglise et juger les rebelles. Il est urgent de choisir notre camp, qui doit être celui du Seigneur ! Ceux qui Lui appartiennent sauront entendre la voix du Saint-Esprit.

    Article traduit par Henri Viaud-Murat, 
    publié autrefois sur le site Internet paroledevie.org (site fermé depuis Août 2007)
    Source:http://www.russpickett.com/endtimes/rap03.htm
     
    Blog de Henri Viaud
     
      Murat http://bloghenriviaudmurat.wordpress.com/
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