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    Un tremblement de terre

     

    Songe du Seigneur reçu en 2015 :

    Il venait d'y avoir un tremblement de terre dû à une énorme catastrophe.

    Les habitants quittaient leurs domiciles et se sont réunis ensemble.

    Je me suis retrouvée dans la foule. J’étais remplie de l'Esprit.

    Derrière la foule, j'ai vu une lumière très brillante qui les attirait.

    C’était une lumière satanique, une puissance extrême qui les attirait comme un aimant !

    Ils pensaient que cette lumière puissante allait les sauver.

    Nous étions à cet endroit trois chrétiens remplis de l'Esprit.

    J'ai dit aux gens que s'ils allaient vers cette lumière, ils allaient mourir, mais personne ne m'a cru.

    Certains ont juste douté.

    J'ai parlé de l'enlèvement, mais personne ne voulait me croire.

    J'ai pu voir des personnes de ma famille partir vers cette lumière satanique !

    L'Esprit nous a alors appelés (tous les trois) à quitter ce lieu : c'était trop tard pour la foule.

    J'ai demandé au Seigneur où étaient mes enfants, et il a répondu qu'il les avait mis à part, hors de danger, que je n'avais rien à craindre et que j'allais les rejoindre !

    Il n'y avait pas non plus d'enfants dans la foule : ils étaient tous dans un lieu protégé par DIEU.

    Certains chrétiens étaient avec les enfants à ce moment-là.

    L'Esprit nous a demandé de laisser la foule, car l'enlèvement était proche.

    Il nous a conduits à rejoindre nos enfants et les chrétiens qui étaient avec eux dans un lieu que seul DIEU connaît (le lieu ne m'a pas été révélé).

    Je savais qu'il ne restait que quelques heures avant l'enlèvement.

    Nous étions dans une paix et joie totale.

    Fin du songe.

    DIDI

     

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    yeshua

    ANNÉE 2014

    Voici un songe que j'ai reçu du Seigneur. Il y aura bientôt un tremblement de terre en France :

    Le Seigneur m'a amenée dans les airs.

    Je me suis retrouvée près de JÉSUS.

    Il était sur une montagne, en haut à ma droite.

    Lorsque je l'ai regardé, j'ai vu qu'il ne me regardait pas, mais il regardait en bas.

    En bas, il y avait la terre.

    Il venait d'y avoir eu une catastrophe de type tremblement de terre.

    J'ai vu les habitants courir avec une grande terreur ! (C’étaient des Français.)

    J'ai regardé le Seigneur, il avait l'air prêt à venir !

    Ce qui m'a le plus frappée, ce n'est pas son visage, mais la force qu'il dégagée.

    J'ai compris que le Seigneur revenait bientôt.

    Fin du premier songe.

    DIDI

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    jesus-croix-nuit

     

     

     


    Ezechiel 2.7
    : « Ainsi parle le Seigneur qu’ils écoutent où qu’ils n’écoutent pas »….

    Ezechiel 33.3 « si cet homme voit venir l’épée sur le pays, sonne de la trompette, et avertit le peuple »

    Mercredi 18 novembre 2015 deux visions me sont apparues suite à des temps passés avec le Seigneur (1Rois.17.18.19)

    La première était celle de la prise de la bastille que tout le monde connait avec Marianne dénudée. Sur cette image il y avait  beaucoup de drapeaux français et énormément, énormément de sang partout (sur les gens et les drapeaux).

     

    Au milieu de cette image il y avait une croix, mais elle n’était pas comme celle que nous sommes habitués à voir, ce que je veux dire, c’est qu’elle n’était pas entière… En voyant cette image, je n’arrêtais pas de dire « mais Seigneur il manque le bout, il manque le bout ! » et cela me faisait peur (je ne sais pas pourquoi j’ai dis ça) « Seigneur pourquoi la croix n’est pas entière ? »

    Effectivement, le haut était recouvert d’un épais brouillard, ce qui cachait l’extrémité, cela me faisait très paniquer et je ne savais pas pourquoi…

    À titre d’image, la croix ressemblait à un T majuscule.

    Tout de suite après je vis une autre image : la seconde était celle de Jésus.

    Je ne voyais pas du tout son visage, c’était flou, mais distinctement on voyait sa couronne d’épines, car sa tête était penchée complètement en avant, et ceci était dû au fait qu’Il portait un joug énorme sur sa nuque et c’étaient ses membres, en fait, qui faisaient la forme de la croix (je précise qu’Il n’était pas crucifié)..

    Son corps formait également un T.

    Suite à cela, je me suis mise debout, et une crainte terrible, une peur indescriptible m’a envahie davantage.  J’étais en sanglots, et disais « oh Mon Dieu!! Seigneur, oh Seigneur!! je sais/je sens qu’il va se passer quelque chose de grave, et je répétais cela sans cesse. Je sentais une panique terrible, un chaos énorme, arriver en France, essentiellement sur le corps de l’Eglise, car je disais :

    « Il faut les prévenir, il faut les prévenir »

    il est difficile d’expliquer mon ressenti à ce moment… et j’ai dis, mais Seigneur je ne comprends pas tout… Çà veut dire quoi, ces images, tout ce sang!

    Cette angoisse/crainte a duré quelques minutes ensuite plus rien, j’étais complètement en paix. Même si cela, bien entendu, m’a marquée, je n’ai rien dit à personne et j’ai gardé dans mon coeur attendant le bon moment pour en parler. Ce chaos touchera la population en général.

    Le lendemain le jeudi 19, je ne m’attendais pas à revivre encore quelque chose de semblable.. Toujours dans la même posture de prière,  j’ai reçu une autre vision. Une fois de plus j’ai cru que c’était mon imagination, d’autant que je voyais le même fond d’image… Je revoyais la prise de la bastille… mais au lieu d’une croix au milieu, je voyais un monument tout droit. J’ai cru au premier abord,je ne connais pas particulièrement les édifices de Paris, que c’était la tour Eiffel, parce que je voyais comme une grande colonne. Il s’avère que c’était la colonne de Juillet, qui se trouve place de la bastille justement (chose que je ne savais absolument pas avant de chercher ensuite).

    Ce qui m’effrayait c’est que je sentais au plus profond de mon coeur que Dieu allait prévenir son peuple (Le Corps de l’Eglise) une dernière fois.

    « Restaurez l’autel, repentez-vous, avant son retour imminent. »

    Et je sentais que la France allait être particulièrement touchée.

    Il y a plusieurs jours, une autre pensée me venait constamment… Je sentais que ça venait de Dieu, mais j’étais tellement dépassée qu’une fois de plus j’avais des craintes..

    Je me posais la question, pourquoi deux « T »? 

    J’ai fait le pas d’aller jusqu’au bout de cette pensée, me disant que de toute façon, si cela ne venait pas de Dieu, et bien il n’y aurait rien derrière et par ce fait, je ferais fausse route.

    Dieu me montrait des lettres… L’hébreu n’est pas une langue ordinaire comme le français, l’anglais ou encore l’espagnol… Toute personne ayant eu accès à cette langue, pasteur, étudiant ou autre pourront le certifier. La langue (le membre) de Dieu parle en profondeur et dans nulle autre langue ne peut en être ainsi.

    Dans l’alphabet hébreu il y a par exemple 22 lettres . Chaque lettre signifie un mot, qui lui-même correspond à un chiffre. Par exemple 1=aleph (Un), 2=beth(maison), 3=guimel(chameau)etc….

    Pour en revenir à la lettre T.

    Voyez ci-dessous, cette lettre fait fortement penser à un T majuscule. Elle se nomme zayin. Elle est la septième lettre de l’alphabet hébreu (forme du T de la croix et du corps de Jésus dans ma vision)

    La lettre précédente se nomme Vav. Elle est la sixième lettre de l’alphabet hébreu et ressemble au I majuscule. (forme de la colonne)

    Pour récapituler :  le zayin (les T) correspond au chiffre 7 et le Vav (la colonne) au chiffre 6 .

    Autrement dit deux zayin (puisqu’il y avait la croix en forme de T et le corps de Jésus en forme de T) et un vav (I majuscule- la colonne que j’ai vue après les deux T). Soit  : zayin 7 zayin 7 et Vav 6, soit 776

    J’ai donc cherché la correspondance de ce chiffre

    776 correspond :

    Alors qu’en anglais nous écrivons l’année juive entrant en 5776, en hébreu nous écrivons comme תשע »ו: ת = 400 + ש = 300 + ע = 70 + ו = 6, un montant total de 776. ( le chiffre 5 pour indiquer 5000 ans n’est généralement pas noté, tous les juifs sachant que nous sommes dans le 5ème millénaire de leur calendrier. Les numéros se distinguent des mots en hébreu avec l’utilisation d’une hachure: תשע« ו)

    תִשׁעוּ Tish’u – « se tourner vers »– (se repentir). Tish’u est conjugué en tant qu’ordre, au pluriel. Nous sommes tous pris en compte. Sur le plan individuel, l’année à venir nous dit:

    « Attention à votre vie. »

    On trouve d’autres exemples de 776 dans certains passages de la Bible. Exemple:

    L’heure est Venue = 776

    Le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob = 776

    Le royaume de David sera éternel = 776

    Revenez à moi, et je reviendrais à vous = 776

    Le dernier royaume = 776

    שְׁלֵמוּת shlemut égale 776, le même que תשע »ו. Shlemut signifie « plénitude« . Il dérive de la même racine que שָׁלוֹם shalom (Paix)

    (1 Thessaloniciens 5 : …Pour ce qui est des temps et des moments…3.Quand les hommes diront: Paix et sûreté! alors une ruine soudaine les surprendra….)

    En outre, il y a aussi : B i’at Ha M oshiach, ביאת המשיח, qui se traduit par  » Machia’h va venir », est égal à 776

    Un érudit de la Torah Glazerson explique pourquoi la valeur numérique de l’ensemble de ces phrases est 776 et non 5776, qui est le nombre total de l’année juive à venir. « Parce que vous voyez, selon notre tradition [juive], le Messie viendra dans ce millénaire – dans le sixième. C’est pourquoi les chiffres ne sont pas 5 ici car il est auto-entendu que lorsque vous parlez de Messie, vous vous reliez à 5000, le sixième millénaire « .

    D’après la tradition juive : Il ya beaucoup d’indices que l’année hébraïque 5776 (qui correspond à Septembre 2015-Octobre 2016) est favorable à l’apparition du Messie. 

    Beaucoup dirons : « nul ne connait ni le jour, ni l’heure »… et c’est vrai!

    Je vous partage cette explication très claire justement trouvée sur internet (vérifiable par ailleurs dans des écrits juifs)

    Toutefois, il est nécessaire d’étudier d’un peu plus près ces paroles du Seigneur, pour comprendre un aspect important de la pensée et des traditions Juives. Il faut savoir en effet que l’expression : « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, » est une expression idiomatique courante de l’Hébreu, pour désigner le jour de la Fête des Trompettes, appelée aujourd’hui « Rosh Hashanah, » ou premier jour de l’année civile Juive, le premier jour du septième mois de l’année religieuse.

    Les Juifs suivaient le calendrier lunaire. Chaque nouveau mois commençait immédiatement après la nouvelle lune, dès le moment où l’on commençait à apercevoir le début d’un mince croissant de lune. Chaque nouvelle lune, qui marquait le début de chaque mois, était donc un moment très important, qui était d’ailleurs fêté.

    La nouvelle lune est l’opposée de la pleine lune. Douze fois par an, la lune devient « noire » et disparaît de la vue. Puis elle réapparaît, sous la forme d’un fin croissant, qui va grandissant jusqu’à la pleine lune. Puis la lune entre dans une phase décroissante, jusqu’à la nouvelle lune suivante. Au moment de la nouvelle lune, la lune est complètement invisible pour l’œil humain.

    Aujourd’hui, nous avons des calendriers précis qui nous indiquent toutes les phases des changements de lune. Il n’en était pas ainsi dans l’Antiquité. Les Juifs devaient observer attentivement les phases de la lune. Car il fallait pouvoir calculer précisément les dates des Fêtes de l’Eternel.

    L’une des grandes responsabilités du Sanhédrin était donc de fixer avec précision la date de chaque nouvelle lune, pour marquer le point de départ de chaque nouveau mois. Il devait informer le peuple du moment précis du début de chaque mois. Dès que la nouvelle lune était annoncée, le premier jour du nouveau mois commençait. En Hébreu, ces observances étaient toujours considérées comme des moments sacrés, des « meodim. » Ces moments appartenaient à Dieu, et personne n’avait l’autorité de les modifier. Ceux qui l’auraient fait auraient commis un grand péché. Ces moments précis étaient observés en raison de leur implication messianique.

    Le septième mois, Tishri, était particulièrement important, parce que c’était le seul qui comportait une sainte convocation dès le premier jour du mois. Cela posait un problème unique en son genre. En effet, personne ne pouvait commencer à observer la Fête des Trompettes avant d’avoir entendu, de la bouche du Chef du Sanhédrin, la parole sacrée traditionnelle : « Sanctifié ! » Personne ne pouvait commencer à préparer et à observer cette fête, tant que l’on ne connaissait ni le jour ni l’heure où celle-ci pouvait être déclarée.

    En effet, selon les phases de la lune, chaque mois comportait vingt-neuf ou trente jours. Le mois, nous l’avons vu, commençait à partir de la nouvelle lune. Mais celle-ci n’était pas toujours observable avec précision. Cela dépendait aussi des conditions atmosphériques. Le Sanhédrin devait donc se réunir dans la « salle des pierres polies, » et attendre la déclaration de témoins dignes de foi, qui avaient pu observer avec certitude le début de la nouvelle lune. Deux témoins de confiance étaient préposés à cet effet, et entretenus sur les fonds publics.

    Si la nouvelle lune était observée au commencement du 30e jour (ce qui correspond au soir du 29e jour), le Sanhédrin déclarait alors que le mois précédent ne comporterait que 29 jours. C’était un mois dit « imparfait. » Le début du nouveau mois de Tishri était immédiatement signalé dans tout le pays, et même dans toute la diaspora, par un système de tours de guet qui allumaient des feux visibles à de longues distances dans la nuit.

    Si les témoins crédibles ne s’étaient pas présentés au soir du 29e jour, c’était le jour suivant, c’est-à-dire le soir du 30e jour, qui était considéré comme le commencement du nouveau mois. Dans ce cas, le mois précédent comportait 30 jours, et était déclaré « complet. »

    Les Juifs ne savaient donc jamais d’avance si la Fête des Trompettes allait commencer le 30 du mois d’Elul, ou le 1r du mois suivant, le mois de Tishri. Elle pouvait commencer l’un ou l’autre de ces deux jours. Ils ne savaient pas non plus à partir de quelle heure la Fête des Trompettes allait être annoncée. Pour cela, il fallait connaître l’heure exacte de l’apparition du premier croissant de la nouvelle lune. C’est pourquoi, même aujourd’hui, la Fête des Trompettes est une fête qui dure deux jours (en dehors d’Israël).

    Dès que le jour et l’heure du début de la Fête étaient proclamés, on faisait retentir le « shofar, » pour une « sainte convocation » de tout le peuple. Cela marquait un temps de repos. La moisson devait s’arrêter (encore un signe prophétique), et le peuple se rendait au Temple pour célébrer la fête. (H. Viaud-Murat)

    Dans ce que je partage, je n’annonce nullement un jour, mais un laps de temps qui semble très court (un temps de la fin…)

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